À partir de quand y aura-t-il trop de Noirs au Québec?

À partir de quand y aura-t-il trop de Noirs au Québec?

Tout gouvernement responsable doit se poser la question honnêtement et sans détour pour la protection de sa population et le maintien de l’ordre public: à partir de quand, de quel nombre, y a-t-il trop de Noirs dans un pays?

3%, 6%, 9% ?  La limite sécuritaire est vite atteinte. La dépasser viendra compromettre l’ordre établi.

La question se pose aussi autrement: à partir de quand, de combien, y a-t-il trop de Noirs dans une rue? un quartier? une ville? dans une province ou état? dans un pays?

On sait que les États-Unis sont aux prises avec de graves problèmes causés directement par la forte concentration de Noirs dans certaines villes: criminalité, violence, fusillades quotidiennes, assassinats, gangs, rappeurs misogynes, proxénétisme, prostitution, drogues, ghettos dégradés et dangereux, vols, viols, voies de fait, contrebande d’armes, pillage, acteur noir qui perd le contrôle en direct à la remise des Oscars, champion de golf accro au sexe, comédien agresseur, candidat avorteur, rappeur raciste, la liste se poursuit sans fin. Et le tout va en augmentant.

Plus il y a forte concentration de Noirs dans un endroit donné, plus le crime, la violence et le reste augmentent. Les statistiques objectives ne mentent pas.

Et ce sont des Noirs qui tuent froidement 93% des Noirs assassinés, pas les Blancs. Cela fait réfléchir. Que les bandes de wokes qui cherchent à tout justifier en accusant les Blancs se le tiennent pour dit.

À lire ici: quelques centaines de crimes et délits commis récemment au Québec, commis par de dangereux importés sous-civilisés, Noirs, maghrébins, hindous, et autres multiethniques.

Les chiffres officiels le démontrent sans l’ombre d’un doute: plus il y a de Noirs installés à un endroit donné, plus les problèmes augmentent en gravité. Dans un pays comme Haïti composé de Noirs et de dirigeants noirs, tout va de mal en pis, c’est le chaos total. Ce triste état de choses ne pourra que se détériorer avec le temps. C’est la sorte de gens qui habitent à un endroit donné qui fait que tout va bien ou tout va mal. Et ce sont ces mêmes Haïtiens capables de commettre tant de ravages que certains veulent continuer à accueillir ici à bras ouverts. Cherchez l’erreur.

En Afrique du sud, depuis qu’on a entrepris d’en chasser les Blancs qui réussissaient tant bien que mal à maintenir un semblant d’ordre, de moralité, de décence sociale, de fonctionnement économique, le pays est en débandade, descendant en spirale infernale vers un retour à la barbarie tribale typiquement africaine. Rien d’étonnant là-dedans. Il va leur arriver ce qui est arrivé à tous les autres pays africains. C’est le même triste sort qui les attend tous. Leur pauvre libérateur Nelson Mandela doit se retourner dans sa tombe d’avoir croupi en prison toutes ces années en pure perte, et de voir que toutes ses actions et sacrifices furent accomplis en vain.

Les Noirs ne sont pas tous de dangereux criminels, peu s’en faut. Mais comme on ne peut identifier d’avance ceux qui le sont où ceux qui sont susceptibles de le devenir, il convient de limiter leur nombre total pour ne pas prendre de chance. Car les faits parlent d’eux-mêmes: plus on les laisse augmenter en quantité et en proportion de la population générale, plus les sociétés se dégradent. On ne peut se permettre de courir un tel risque si on tient à prévenir l’inévitable catastrophe. Notre population ne doit pas être prise en otage, en devenir la cible non consentante.

C’est pourquoi il importe de déterminer avec précision le pourcentage de la population totale qu’il ne faut pas dépasser. Aux États-Unis, on a laissé grimper ce nombre à 15%, et tout le monde en paie le prix. Et attendez de voir ce qui les attend avec l’afflux massif et illimité de latinos tant légaux qu’illégaux qui affluent sans limite aux frontières: seconde crise de taille en vue qui s’ajoutera à l’autre.

Photo ci-dessus, rassemblement à Montréal célébrant la culture rap gangsta

Au Québec, le pourcentage de Noirs est rendu à 3% (dont la moitié d’anglos), et on s’aperçoit que la situation à Montréal est devenue intenable (fusillades quotidiennes, guerres de gangs, recrutement dans les cours d’école, leurre de jeunes filles blanches, féminicides, intimidation, quartiers dangereux comme Montréal-nord que les gens fuient comme la peste).

Cessons de jouer à l’autruche, ce serait une grave erreur de jugement que de dire: « on va les laisser doubler ou centupler en nombre comme ils le voudront, la situation semble encore assez gérable au fond. Il ne faut pas s’alarmer outre mesure. Tout va rentrer tranquillement dans l’ordre en leur demandant poliment de rester gentiment tranquilles ». Encore gérable? mais plus pour longtemps. Car jamais les choses ne vont s’arranger, se tasser, comme les statistiques criminelles américaines le prouvent. Voyons lucidement les choses comme elles se présentent, et agissons préventivement, de manière responsable, en prenant les mesures conséquentes.

C’est pour toutes ces raisons qu’on peut alors considérer avoir déjà atteint le pourcentage maximum qu’il ne faut plus dépasser au Québec, sinon tout empirera, et ce n’est certainement pas l’enfer que souhaite la population. Il y a une limite à ce que la population peut supporter comme mise en péril constante, comme menace planant au-dessus de nos têtes. Au-delà de cette limite vite atteinte surgissent division, frictions et conflits ouverts, attaques wokes, comme dans les villes américaines devenues violentes en raison de la forte présence noire. Faut-il rappeler que les villes américaines considérées les plus dangereuses du pays sont celles où la proportion de Noirs est la plus élevée. Ce sont les faits, tristes mais vrais.

Certains diront qu’il y en a suffisamment, d’autres qu’il en a déjà trop, mais personne ne dira qu’il en faudrait encore beaucoup, beaucoup plus, considérant l’effet que leur présence collective a sur l’insécurité générale, sur la dangerosité des rues et des quartiers.

Nous sommes chez nous après tout, et nous avons le droit légitime de choisir qui mérite d’habiter ici: ceux qui sont à notre image, ceux qui répondent à nos critères élevés de civilisation, ceux qui reflètent la réalité démographique historique du peuple fondateur, et ceux qui correspondent au type de société que nous voulons maintenir et non pas voir reculer comme chez eux.

Il importe de le faire au nom de la sécurité publique, c’est une nécessité de plus en plus reconnue avec l’escalade des fusillades quotidiennes perpétrées par des Noirs, qu’ils soient haïtiens ou africains, secondés par des bandes de maghrébins importés, techniquement des africains eux aussi.

Est-ce que ce sera correct que le Québec comporte un jour une majorité de Noirs? ou 75%? ou 90%? C’est ce qui arrivera si on ne fixe pas de limite à 3, 6 ou 9% maximum. Une fois la limite atteinte, qu’on ferme les vannes.

À noter que cet article prenait les Noirs uniquement à titre d’exemple. Mais il aurait tout aussi bien pu s’appliquer au pourcentage de maghrébins ou d’autres multiethniques à haut risque de dangerosité sociale.

Par exemple, l’Angleterre qui a reçu des hordes d’hindous, de sikhs, des paquets de pakistanais en pagaille en paie maintenant le prix, étant aux prises avec des épidémies de viols collectifs commis sur des Blanches qui servent à divertir ces ethnies comme chez eux.

La question peut alors se reformuler de multiples façons avec autant de pertinence:

  • À partir de quand y aura-t-il trop de Noirs, de maghrébins, au Québec?
  • À partir de quand y aura-t-il trop d’anglophones au Québec?
  • À partir de quand y aura-t-il trop d’immigrants annuellement au Québec?
  • À partir de quand y aura-t-il trop de multiethniques au Québec?
  • À partir de quand y aura-t-il trop de migrants illégaux au Québec?
  • À partir de quand y aura-t-il trop de musulmans islamistes au Québec? Si on n’empêche pas les islamistes de venir, ils vont venir.

Il est nécessaire de mettre des limites, des quotas, des balises au nom de la sécurité publique.

Le tiers-monde sous-civilisé n’a à offrir en spectacle que dégradante barbarie et désolante inhumanité. Qui veut déménager en Iran juste pour voir?

Importez des barbares, et la barbarie sanglante se répandra sur nous comme une coulée de lave bavante.

Ce sera l’éruption du Vésuve de Pompéi qui se renouvellera chaque jour comme dans le film du Jour de la marmotte, l’humour en moins.

Gardons le Québec à l’image de son peuple fondateur, pour son salut.

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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