Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.
Au programme :
- Renforcez votre système immunitaire
- Le scandale McKinsey
- Levée des dernières mesures sanitaires
- Liberté académique et censure
- Des médecins prennent la parole
- Autre
Réinfo Santé France
Depuis le début de la crise sanitaire, les autorités n’ont donné aucun conseil de santé.
Non seulement des médicaments distribués à des milliards de personnes depuis des décennies sans quasiment aucun effet secondaire comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ont été interdits, mais aucune communication n’a été faite pour nous rendre davantage en santé et améliorer notre système universitaire. Par exemple, prendre de la vitamine D, du zinc, mais aussi faire de l’exercice, manger sainement… tous ces conseils simples et pourtant reconnus ont été les grands absents de ces deux dernières années.
On en est resté à prendre de l’aspirine, attendre le dernier moment pour aller à l’hôpital et la vaccination ARNm.
Le site web de Réinfo Santé France est plein de conseils pratiques qui vous permettront de renforcer votre système immunitaire et de le rendre plus efficace, notamment face à la COVID-19. À consulter pour être en santé!
Le scandale McKinsey
Dans l’ombre, la firme McKinsey était au cœur de la gestion de la pandémie au Québec comme en France (Radio-Canada, le 30 sept. 2022)
Le gouvernement Legault n’a pas tout dit du rôle joué par les consultants, payés 35 000 $ par jour. Ce n’est pas le conseil scientifique qui conseillait le directeur et le ministre de la santé contrairement à ce que le premier ministre Legault nous prétendait (voir aussi ici et ici).
Au total, le gouvernement a déboursé 1,7 million de dollars officiellement pour que McKinsey l’aide à préparer son plan de déconfinement, et 4,9 millions pour l’appuyer dans le plan de relance de l’économie.
Bref, c’est McKinsey qui nous gouverne… dans l’indifférence générale alors que l’on sait qu’il en est de même dans tous les pays occidentaux. En France, le scandale a été tellement énorme que le Sénat a déclenché une commission parlementaire. Au Québec : rien.
Levée des dernières mesures sanitaires visant les voyageurs
COVID-19 : le gouvernement Trudeau lève les mesures sanitaires visant les voyageurs à partir du 1er octobre 2022. (Radio-Canada, 26 sept 2022)
Depuis le 29 avril 2020, ArriveCan de Justin Trudeau a couté près de 20 millions de dollars aux contribuables canadiens. Des élus américains appellent l’administration Biden à emboîter le pas au Canada et à assouplir les restrictions liées à la COVID-19 aux frontières.
Liberté académique
Le 13 juin 2022, le Dr Provost, professeur de microbilogie et spécialiste de l’ARNm, était suspendu par l’Université Laval durant huit semaines, sans salaire, pour avoir participé à une conférence avec d’autres médecins et scientifiques sur l’utilité, l’efficacité et les risques de la vaccination des enfants contre la COVID-19. La suspension faisait suite à une plainte déposée par un collègue.
Sans parler des risques de perdre des fonds de recherche et les conflits d’intérêts auxquels font fasse les universités, elles qui sont financées pour une très large part par le secteur privé, dont l’industrie pharmaceutique. Et qui les poussent à poursuivre les professeurs qui critiquent leurs donnateurs, ou tout cas nuisent à leur chiffre d’affaires.
On comprend mieux pourquoi aucun universitaire, sauf rares exceptions comme Patrick Provost, n’ose prendre la parole. Le problème est que les conséquences sont gravissimes.
Californie : Projet de loi pour les Médecins et chirurgiens à propos d’une conduite non professionnelle.
Un projet de loi, AB 2098, vise à punir les personnes qui vont à l’encontre du consensus dominant.
Ce projet de loi définit comme suit la désinformation : « Désinformation » désigne de fausses informations qui sont contredites par un consensus scientifique contemporain contraire à la norme de soins.
Voici ce qui est affirmé :
« (b) Les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) fédéraux montrent que les personnes non vaccinées sont exposées à un risque de mourir de la COVID-19, ce qui est 11 fois plus élevé que celles qui sont entièrement vaccinées.
(c) L’innocuité et l’efficacité des vaccins COVID-19 ont été confirmées par une évaluation par la Food and Drug Administration fédérale (FDA) et les vaccins continuent d’être soumis à une surveillance intensive de la sécurité par les CDC.
(d) La propagation de la désinformation et de la désinformation sur les vaccins COVID-19 a affaibli la confiance du public et mis des vies en danger sérieux.
(e) Les principaux médias ont rapporté que certains des propagateurs les plus dangereux d’informations inexactes concernant les vaccins COVID-19 sont des professionnels de la santé agréés.
(f) La Fédération des conseils médicaux d’État a publié une déclaration avertissant que les médecins qui se livrent à la diffusion de la désinformation ou de la désinformation sur le vaccin COVID-19 risquent de perdre leur permis médical, et que les médecins ont le devoir de fournir à leurs patients des informations précises et scientifiques. »
Ce projet de loi est extrêmement grave puisqu’il vise à museler tout professionnel exprimant des doutes quant à la politique sanitaire et la vaccination. Rappelons pourtant que les faits énoncés dans ce projet de loi sont très contestables. Par exemple, toutes les études montrent que les vaccins ne protègent que quelques semaines, ce qui force à faire des rappels tous les 4 mois.
Cette étude publiée dans The Lancet le 20 Septembre 2022 conclut même à une efficacité négative des vaccins. Les auteurs affirment ainsi dans leur discussion :
De manière quelque peu invraisemblable, nous avons même observé une efficacité négative contre l’infection par Omicron à partir de la semaine 14, ce qui indique que les personnes vaccinées ont connu un risque d’infection plus élevé que les personnes non vaccinées.
Cette étude réalisée en Thailande montre même que 30% des adolescents vaccinés développent des problèmes cardiaques :
The most common cardiovascular signs and symptoms were tachycardia (7.64%), shortness of breath (6.64%), palpitation (4.32%), chest pain (4.32%), and hypertension (3.99%). One participant could have more than one sign and/or symptom.
Même si les auteurs affirment que tous se sont remis, il n’en reste pas moins que les études montrent que de tels symptomes ont un impact majeur sur l’espérance de vie…
Finalement, comme le professeur de l’UCSF Vinay Prasad l’a déclaré dans un éditorial il y a 2 ans, « Les scientifiques qui expriment des opinions différentes sur le COVID-19 devraient être entendus, pas diabolisés« .
Si ce projet de loi est adopté, que se passera-t-il? Les discours officiels des autorités ne pourront plus être contestés et n’auront plus aucune limite. C’est dans une société totalitaire que nous nous dirigeons!
Le muselage des scientifiques organisé au plus haut niveau
Un article du New York Post affirmait que Facebook avait organisé la censure en partenariat avec… la maison blanche. Maintenant, on a les preuves que les entreprises de médias sociaux ont reçu l’ordre d’étouffer les opinions scientifiques qui s’opposaient aux mesures de verrouillage du gouvernement. Qui était responsable de cette infraction ? Selon le dossier juridique, l’affaire s’étend jusqu’aux plus hauts niveaux du pouvoir à Washington, et le principal responsable serait le conseiller médical en chef du président, Anthony Fauci.
Une crise sanitaire ou politique?
« Ceux qui croient encore que cette crise est sanitaire, il va falloir se réveiller » : Philippe de Chazournes, médecin (Interview sur France Soir, 22 sept 2022)
Pour le Dr Chazournes, la crise du Covid-19 n’est pas sanitaire, mais bien politique. Une crise politique qui n’a pas démarré en 2020 avec l’arrivée du virus en Europe, mais qui remonterait au temps de la grippe H1N1 avec un scénario aujourd’hui identique à celui de 2009, chaperonné par les mêmes acteurs.
Cela est confirmé par Corinne Lalo, ancienne journaliste de TF1 (télévision française), qui rappelle les propos de Roselyne Bachelot, alors Ministre de la Santé (pendant la « pandémie » de grippe H1N1 en 2009) et qui a déclaré : « il y a deux choses qu’on se reproche et la prochaine fois je vous promets qu’on fera attention :
- La première chose, c’est que les gens n’ont pas eu assez peur. […]
- J’ai un deuxième regret, c’est qu’on n’a pas assez verrouillé internet. »
Depuis, ils ont appris et bien retiré la leçon.
Obligation vaccinale
Le port du masque en classe ainsi qu’un total de trois doses d’un vaccin contre la COVID-19 sont obligatoires pour fréquenter l’Université Western en Ontario.
Une magistrate de la Cour supérieure de l’Ontario a ainsi tranché que l’Université Western à London a le droit d’exiger que ses étudiants et employés reçoivent une dose de rappel de vaccin contre la COVID-19.
Selon la magistrate Kelly Tranquilli, l’établissement a le pouvoir d’imposer une telle politique en tant qu’établissement indépendant et autonome.
Tant pis si les études montrent que les masques contiennent du titane, du graphène et des nanoparticules et que les émanations de ces substances sont cancérigènes. Tant pis aussi si comme le montrent les quelques études que nous présentons dans cet article (mais il y en a tant d’autres!), il est évident que les risques de la vaccination l’emportent sur les bénéfices (en tout cas au moins chez les moins de 50 ans qui n’ont quasiment rien à craindre de la COVID-19)!
Vaccinolâtrie en échec?
Seulement 1,3 % des Américains ont reçu des rappels bivalents. (The Wall Street Journal, du 22 sept 2022)
Apparemment, les rappels bivalents testés sur 8 souris ne sont pas aussi bien accueillis que les promoteurs du vaccin l’espéraient. Sur 330 millions d’Américains, seuls 4,4 millions ont reçu le rappel bivalent. Cela ne représente que 1,3 % de la population américaine.
Raisons :
- Les gens ne sont pas convaincus qu’un autre vaccin en vaille la peine
- La plupart ont eu la covid malgré les rappels
Des études ont montré que les vaccins Covid-19 originaux ne sont pas aussi efficaces contre Omicron que contre les souches antérieures du virus. Les nouveaux boosters « bivalents » ciblent à la fois la souche initiale de Wuhan et les sous-variants Omicron BA.4 et BA.5.
Les vaccins bivalents auraient peut-être gagnés à être testés, cela aurait pu sauver cette dame en Saskatchewan, décédée 7 minutes après son injection.
On vous rassure, selon le coroner, il n’y a aucun lien entre son décès et la vaccination!
L’infection secondaire plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés
Une étude récemment examinée par des pairs dans Nature Communications (23 sept 2022) s’est penchée sur la transmission à domicile de la variante Omicron du SARS-CoV-2 au Danemark.
Ils concluent : la durée de l’effet protecteur est actuellement inconnue, et l’efficacité de la deuxième dose contre le variant Omicron diminue rapidement, ce qui soulève certaines préoccupations quant à la longévité de la dose de rappel. »
Ces auteurs sont bien délicats car on ne compte plus les études qui montrent que la « protection » conférée par les vaccins n’est au mieux que de 3 mois, avant de devenir négative (cf. plus haut et nos revues de presse précédentes)
Effets indésirables
Dans une lettre à la Canadian Medical Association (CMA), le médecin William Makis a demandé une enquête sur les décès de 32 jeunes médecins canadiens depuis le début de la campagne de vaccination contre le coronavirus. (UnCut New, 26 sept 2022)
Le Québec a enregistré pour sa part son plus bas taux de naissances pour les 6 premiers mois de 2022 depuis les 12 dernières années… alors que les décès n’ont jamais été aussi élevés (voir https://statistique.quebec.ca/fr/produit/tableau/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec).
Ainsi, la moyenne des naissances au premier semestre de 2010 à 2019 est de 42 114. Contre 39 500 en 2022.
Pour les décès, la moyenne du premier semestre de 2010 à 2019 est de 32 557. Contre 37 950 en 2022.
Coïncidence ou corrélation ?
Les analyses des vaccins covid resteront secrètes : la FDA refuse de divulguer ces données
Il y a quelques jours, le Dr Walensky a publié une lettre dans laquelle elle admet que les CDC ont donné de fausses informations au média The Epoch Times en ce qui concerne leur processus de vérification de la sécurité des vaccins.
Elle a finalement déclaré qu’elle refusait que la FDA dévoile données…
Madame Walensky s’était déjà fait remarquer par différentes déclarations, notamment en juillet 2021 lorsqu’elle déclarait que les vaccins ne protégeaient pas de la contaminatio ni de la transmission. Malgré cela, la plupart des pays du monde ont mis en place le passeport vaccinal.
Détection des ARNm vaccinaux COVID-19 dans le lait maternel
Cette étude explosive montre que l’on peut retrouver de l’ARNm dans le lait maternel 48h après la vaccination!
Les scientifiques ont choisi 11 femmes allaitantes, qui ont reçu des vaccins Pfizer (6 femmes) ou Moderna (5 femmes) pendant la lactation.
Après la vaccination, le lait maternel a été analysé pour la présence de nanoparticules d’ARNm. Sans surprise, 7 échantillons étaient POSITIFS pour la présence d’ARNm.
Les mères peuvent donc transmettre l’ARNm des vaccins à leurs enfants via leur propre lait. Qu’en est-il des foetus? N’oublions pas que tout est fait pour cacher les effets de la vaccination sur les femmes et leurs bébés. Par exemple, une étude publiée dans The Lancet ne montrait quasiment aucune différence entre les femmes enceintes vaccinées et non-vaccinées.
Pourtant, une simple lecture de l’article apprenait que les « chercheurs » avaient arrêté leurs observations au bout de 7 jours!
Un cardiologue pro-vaccin appelle maintenant à la fin immédiate des vaccins contre la COVID.
Dans un article évalué par des pairs publié dans le Journal of Insulin Resistance, le Dr. Aseem Malhotra, l’un des plus éminents cardiologues du Royaume-Uni, a appelé à la fin immédiate du déploiement du vaccin COVID-19 et à la « pandémie de désinformation sur les vaccins à ARNm COVID-19 ».
Le Dr Malhotra a pourtant été l’un des premiers à prendre deux doses du vaccin. Il en a même fait la promotion dans l’émission « Good Morning Britain ».
Le Journal of Insulin Resistance a publié son article de recherche en deux parties. Il est intitulé « Curing the pandemic of misinformation on COVID-19 mRNA vaccines through real evidence-based medicine« .
Malhotra affirme aujourd’hui que, depuis le lancement du vaccin, les preuves de son efficacité et les taux réels d’effets indésirables ont changé et que « de solides arguments scientifiques, éthiques et moraux plaident en faveur de l’arrêt immédiat du lancement du vaccin COVID-19 jusqu’à ce que les données brutes soient publiées pour un examen totalement indépendant. »
En outre, les données du monde réel révèlent que dans la population non âgée, le nombre de personnes à vacciner pour éviter un décès dû au COVID-19 se compte en milliers et que la ré-analyse des données des essais contrôlés randomisés des premiers essais cliniques du vaccin suggère un risque plus élevé de subir un événement indésirable grave dû au vaccin que d’être hospitalisé à cause du COVID-19.
« Conclusion I : On ne peut pas dire que le consentement à recevoir cette inoculation était pleinement éclairé, comme cela est requis sur le plan éthique et légal. Une pause et une réévaluation des politiques mondiales de vaccination contre le COVID-19 s’imposent depuis longtemps. »
« Les autorités et certains pans de la profession médicale ont soutenu des politiques contraires à l’éthique, coercitives et mal informées, telles que les mandats et les passeports vaccinaux, sapant les principes de la pratique médicale éthique fondée sur des preuves et du consentement éclairé. »
Ces actions regrettables sont un symptôme du « désordre de l’information médicale » : La pointe d’un iceberg de mortalité où l’on estime que les médicaments prescrits sont la troisième cause de décès dans le monde après les maladies cardiaques et le cancer.
Les causes sous-jacentes de cet échec comprennent la capture de la réglementation – les gardiens qui sont censés protéger le public sont en fait financés par les sociétés qui ont tout à gagner de la vente de ces médicaments.
« L’échec des messages de santé publique a également entraîné un gaspillage de ressources et une occasion manquée d’aider les individus à mener une vie plus saine grâce à des changements de mode de vie relativement simples et peu coûteux.
« Conclusion II : Il existe de solides arguments scientifiques, éthiques et moraux pour justifier l’arrêt de l’administration du vaccin COVID jusqu’à ce que toutes les données brutes aient été soumises à un examen totalement indépendant.
« En regardant vers l’avenir, les professions médicales et de santé publique doivent reconnaître ces échecs et éviter le dollar contaminé du complexe médico-industriel. »
Voici ici un bref compte rendu de ces deux articles
Un médecin fait le lien entre cancer et vaccination anti-COVID-19
Un célèbre médecin belge pro-vaccin soupçonne que la piqûre de rappel de Pfizer a fait exploser son cancer (un lymphome angio-immunoblastique à cellules T (AITL), un type de lymphome qui avait été diagnostiqué avant l’injection de rappel) (The Defender, 27 sept 2022)
Après s’être rendu compte que son injection de rappel de COVID-19 avait peut-être fait exploser son cancer, Michel Goldman, M.D., Ph.D., professeur d’immunologie et de pharmacothérapie à l’Université libre de Bruxelles en Belgique, a déclaré que rendre cette information publique était « la bonne chose à faire ».
Les langues commencent à se délier mais il faut que les « victimes » soient célèbres et qu’elles aient des effets secondaires graves. On peut penser par exemple au célèbre animateur français Patrick Sébastien, qui affirme, suite à sa vaccination, s’être « retrouvé avec un prédiabète, une prostatite et maintenant un cancer du rein ». Il ajoute : « autour de moi les effets secondaires se multiplient »
Le plus extraordinaire est la réaction d’Emmanuel Macron. Lors d’un échange de textos, le président français aurait alors répondu à l’animateur : « Je suis surpris de ton truc tout de même. Écoute, vaccin et pass (vaccinal, ndlr) nous évitent beaucoup de merdes. Je pense que tes problèmes n’ont pas grand chose à voir avec le vaccin malgré tout. Mais ce que tu me dis m’inquiète et je vais surveiller » .
Emmanuel Macron joue donc à celui qui ne sait pas et qui pense que les vaccins sont efficaces et surs.
Au final, il ne fait pas bon d’émettre des doutes sur les vaccins publiquement : tout cela a valu à Patrick Sébastien une volée de bois vert dans les médias. Tandis que Myriam Hebuterne a été virée de la direction du magazine Public (France) car elle a critiqué les vaccins publiquement.
Un cardiologue explique que les myocardites pourraient être deux fois plus élevées après la vaccination que suite à une infection à la COVID.
Le Dr Sanjay Verma est cardiologue d’intervention en Californie du Sud. Dans cette interview, il évoque plusieurs études médicales sur la myocardite et le syndrome de mort subite de l’adulte (SADS) qui contredisent le discours dominant sur les effets secondaires des vaccins, tout en faisant part de sa propre expérience, qui l’a amené à constater une augmentation spectaculaire des cas de myocardite à partir de 2021.
Cependant, c’est surement beaucoup plus comme le montrait cette étude sur une cohorte nordique dans laquelle les chercheurs ont constaté 5,5 événements supplémentaires pour 100 000 injectés après la deuxième dose de BNT162b2 (Pfizer)… contre 1,4 pour 100 000 pour les personnes infectées. Mais ce n’est rien comparé aux personnes qui ont « mélangé » Pfizer et Moderna. La hausse est alors de 27,5!
Si on ajoute les péricardites, on arrive même à 37,9 événements supplémentaires pour 100 000 vaccinés !
Vaccins anti-CIOVID-19 et greffes d’organes
Des études montrent que les rejets de greffes d’organes sont consécutifs aux vaccins ou aux infections COVID-19. (The Epoch Times, 28 sept 2022)
Les vaccins COVID-19 ont été de plus en plus souvent associés à divers rejets d’organes, notamment la cornée, le rein, le foie, le poumon et le pancréas.
Depuis le lancement des vaccins en 2021, la base de données de pharmacovigilance des États-Unis, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), a recensé 57 cas d’échecs de transplantation, de complications et de rejets après des injections de COVID-19. Il s’agit d’un chiffre très élevé si l’on considère que seuls 92 cas de rejet, de complication ou d’échec de transplantation d’organe après un vaccin ont été signalés dans l’histoire du VAERS. Depuis le lancement des vaccins en 2021, la base de données de pharmacovigilance des États-Unis, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), a recensé 57 cas d’échecs de transplantation, de complications et de rejets après des injections de COVID-19. Il s’agit d’un chiffre très élevé si l’on considère que seuls 92 cas de rejet, de complication ou d’échec de transplantation d’organe après un vaccin ont été signalés dans l’histoire du VAERS.
Une étude japonaise récemment publiée a révélé qu’au moins 21 patients (23 yeux touchés) ont subi des rejets de greffe de cornée après la vaccination par le COVID-19.
Des études ont également signalé des rejets de greffe de cornée après les vaccinations contre la grippe, bien que le vaccin antigrippal soit toujours recommandé par les cliniciens.
Une étude australienne a signalé un rejet du foie chez trois femmes transplantées dans les deux semaines suivant la réception d’une vaccination COVID-19 « sans aucun autre précipitant identifiable pour le rejet », ont écrit les auteurs.
Tout cela est à mettre en lumière avec les propos de chirurgiens du Québec qui déclaraient qu’ils pourraient cesser de transplanter des non-vaccinés en raison des « risques accrus de rejet et de complications ».
En vertu d’une nouvelle directive, des patients qui n’ont pas été vaccinés contre la COVID-19 ne seront plus admissibles à une greffe de poumon au Québec. Une décision qui touche de façon dramatique une Québécoise de 36 ans atteinte de fibrose kystique.
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