Tarif : 5 à 7 000 $ le pourrissement. Intéressant ! Pour des « Californiens » ? Dès qu’il y a un petit billet à se faire sur les morts, qui pointe son gros nez fureteur ?
Ceci dit, pragmatiquement parlant, l’idée n’est pas mauvaise, à condition que les particules toxiques ne créent pas de nouveaux problèmes.
Et la tête des endeuillés quand on leur rend leur cher défunt après trente jours ! Le nez dans le mouchoir, c’est plus sûr.
L’alternative acceptable est le « cimetière naturel ».
Mais il faut de l’espace. Par exemple une partie des espaces verts, une fois déboisés (et la France se déboise à toute allure. L’IDF, sauf parcs privés et/ou protégés n’abrite plus que des bois et forêts/taillis où les arbres sont jeunes, trop jeunes, les clairières nombreuses, trop nombreuses).
Il faut surtout dégager de l’envahisseur sur le territoire, aussi bien animal (rats) que végétal (plantes parasites qui garnissent nos marronniers, champignons toxiques) qu’humain sans frontière, sans, pour ce dernier, passer par le cimetière bien sûr.
Et récupérer sa souveraineté pour protéger l’environnement de prédateurs étrangers du commerce international.
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