Immigration massive submersive
Prioriser les Québécois d’abord, partout et toujours
Voici 7 situations problématiques qui démontrent que l’afflux incontrôlé d’immigrants mal sélectionnés au Québec, provenant souvent des pays les plus sous-développés de la planète, désavantage bien des Québécois d’ici.
1- Il fut un temps où plusieurs immigrants pouvaient être considérés à juste titre comme des « voleurs de jobs ».
Mais c’est pourtant ce qui arrive encore lorsqu’un emploi est accordé à un immigré récent alors qu’un Québécois serait disponible pour l’occuper.
En effet, c’est ce qui continue de se produire avec tous ces programmes d’inclusion ethnique, de « discrimination positive à l’embauche » et autres lubies diversitaires déplorables qu’il faut faire abolir. On fait alors passer la compétence, les qualifications et l’expérience au second rang. Et on nuit sciemment aux nôtres.
2- Un nouveau problème dû à l’immigration massive dépassant nos capacités d’intégration est la pénurie de logements entraînée par tous ces immigrés qui s’emparent des logements qui devraient servir d’abord aux Québécois nés ici chez eux.
3- Outre ces logements conventionnels, plusieurs immigrés du tiers-monde cherchent à s’approprier plus spécifiquement les hlm conçus d’abord et avant tout pour nos propres pauvres. Faut-il souligner que pour ces immigrés, ces logements constituent de véritables palaces, comparés aux bidonvilles, cabanes de tôle, huttes et cambuses d’où ils viennent. C’est la première fois de leur vie qu’ils ont une toilette, l’eau courante, l’eau chaude, un toit qui ne coule pas, du chauffage, des murs solides, des fenêtres vitrées, parfois même l’électricité, etc.
4- Et comme si ce n’était pas assez, ce n’est pas long que les immigrés se mettent à engorger les cliniques externes, les urgences, les hôpitaux, avides qu’ils sont de profiter de notre médecine de pointe gratuite. Remarquez-le la prochaine fois que vous aurez à vous y rendre.
Et ce sont les Québécois qui écopent et qui n’arrivent plus à rencontrer de médecin pour leur intervention médicale, forcés qu’ils sont de leur céder leur place sur les listes d’attente pour subir leur opération, reculant loin derrière et devant prendre leur mal en patience.
5- Et de la même façon, les Québécois reculent sur les listes d’attente pour obtenir un médecin de famille.
6- On ne peut passer sous silence le pillage des banques alimentaires qui devraient être réservées à nos pauvres, pas aux miséreux du tiers-monde qui cherchent à tout se faire donner par charité en faisant pitié, une pratique qui leur est familière, et qui dépouillent les comptoirs Emmaüs, Ozanam et autres Saint-Vincent-de-Paul de leurs électros, meubles et vêtements pour leur usage personnel.
7- À ce qu’il paraît, certains immigrés auraient même commencé à s’approprier les refuges pour itinérants, les soupes populaires, etc.
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La solution à tout cela est simple d’application. Elle consiste à accorder la préséance aux Québécois d’abord, aux autres ensuite.
Quelques exemples concrets:
1- Si un logement est libre et qu’un Québécois et un étranger se présentent, le Québécois aura automatiquement la priorité. C’est notre pays après tout, comme s’il fallait le rappeler. On n’a à perdre aucun de nos avantages. On n’a pas à céder ce qui nous revient de droit. L’État doit offrir des services pour répondre à nos besoins en premier. Sachons nous faire respecter.
2- Une autre mesure efficace: aucun poste permanent ne doit être accordé à un immigrant. Dès qu’un Québécois est disponible pour l’occuper, l’étranger se fera remplacer. C’est ça ou le retour dans son pays natal. Chaque année, le poste en question sera remis en circulation pour trouver un Québécois qui, lui, pourra devenir permanent éventuellement.
Priorisons les Québécois d’abord, partout et toujours. Parce qu’on est ici chez nous.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec