Une étude française établit un lien entre la maladie mortelle de Creutzfeldt-Jakob et les vaccins Covid

Une étude française établit un lien entre la maladie mortelle de Creutzfeldt-Jakob et les vaccins Covid
Seringue insérée dans un flacon de vaccin Covid-19. (Robert Avgustin/Shutterstock)

Des études viennent d’établir un lien entre les vaccins Covid-19 et la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), une forme rare et mortelle de trouble neurocognitif dont une étude française en prépublication [sur laquelle a collaboré le professeur Luc Montagnier, décédé récemment, ndlr] indiquant que les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca pourraient avoir contribué à l’émergence d’un nouveau type de MCJ sporadique dont la progression est beaucoup plus agressive et rapide que la forme traditionnelle.

La MCJ est causée par des anomalies d’une protéine du cerveau appelée prion. Ces protéines naturelles sont généralement inoffensives. Or, lorsqu’elles deviennent anormales ou mal repliées, elles provoquent une déformation des prions voisins, entraînant la détérioration des tissus cérébraux et finalement la mort.

La maladie est incurable, car une fois qu’un prion est infecté, il continue à se propager aux autres prions. Il n’existe actuellement aucun traitement capable de freiner sa progression.

Généralement, les patients sont atteints d’une MCJ dite sporadique, c’est-à-dire qu’ils sont infectés sans cause apparente. Pour un petit sous-ensemble de personnes diagnostiquées, la maladie est due à l’hérédité.

La MCJ sporadique, bien que survenant de manière aléatoire, a été associée à la consommation de viande contaminée, telle que la viande d’une vache qui a été infectée par des prions malades.

Bien que le variant Omicron du Covid-19 ne comporte pas de région Prion dans sa protéine de pointe, le variant original du Covid-19 de Wuhan en avait une. Par conséquent, lorsque l’information génétique de la protéine spike du variant de Wuhan a été transformée en vaccin pour produire les vaccins à ARNm et à ADN adénoviral, la région Prion a également été incorporée. Une étude américaine publiée dans la revue Microorganisms a indiqué que la région Prion est capable d’interagir avec les cellules humaines.

Après qu’un patient a reçu un vaccin à ARNm de Pfizer ou Moderna, l’ARNm est naturellement incorporé dans les cellules de la personne. Ces dernières utilisent ensuite les instructions de l’ARNm pour produire une protéine de pointe synthétique. Les cellules sont ainsi amenées à croire qu’elles ont été infectées et à créer une mémoire immunologique contre un composant du coronavirus.

Pour le vaccin d’AstraZeneca, qui utilise une plateforme vaccinale à vecteur adénoviral, l’ADN de la protéine spike est transporté dans la cellule par un vecteur adénoviral, puis dans le noyau, où tout l’ADN humain est stocké. De là, l’ADN est transcrit en ARNm et transformé en protéine spike.

Bien que les grandes organisations de santé affirment que le matériel génétique des vaccins n’est pas incorporé dans l’ADN humain, des études sur l’ARNm menées sur des cellules humaines en laboratoire ont montré que l’ARNm peut être transcrit en ADN, puis incorporé dans le génome humain.

Malheureusement, le processus biologique de traduction des informations de l’ARNm en protéines n’est pas parfait ni à l’abri d’erreurs, et un mauvais repliement des protéines peut se produire.

Une autre étude américaine, publiée dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, a émis l’hypothèse qu’une protéine spike mal repliée pourrait, à son tour, créer une région Prion mal repliée qui pourrait être capable d’interagir avec des prions sains et causer des dommages, conduisant à la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

Des études antérieures sur la MCJ menées sur des groupes cannibales ont indiqué que la MCJ peut rester en dormance après l’infection pendant environ 10 ans ou plus. Toutefois, les auteurs de l’étude française ont constaté que les cas de MCJ observés chez les personnes qui avaient reçu le vaccin contre le Covid-19 se manifestaient beaucoup plus rapidement, les symptômes apparaissant dans les 11,38 jours suivant la vaccination.

Une étude à comité de lecture réalisée en Turquie (pdf) a identifié un cas soudain de MCJ chez une femme de 82 ans dont les symptômes sont apparus un jour après avoir reçu la première dose du vaccin Sinovac contre le Covid-19, également connu sous le nom de CoronaVac. Contrairement aux vaccins à base d’ARNm et de vecteurs, CoronaVac est un vaccin inactivé, ce qui signifie qu’il contient une version inactivée du coronavirus original.

L’étude française a identifié 26 cas en Europe et aux États-Unis. Vingt de ces personnes étaient déjà décédées au moment de la rédaction de l’étude, le décès survenant, en moyenne, 4,76 mois après la vaccination.

« Cela confirme la nature radicalement différente de cette nouvelle forme de MCJ, puisque que la forme classique nécessite plusieurs décennies », écrivent les chercheurs.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Jean-Claude Perez, a informé Epoch Times le 6 juin par courriel que les 26 patients sont décédés.

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Source : Epochtimes

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L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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