Après les fleurs, le pot. Je vous disais la semaine dernière beaucoup de bien du livre « Covid-19 : une autre vision de l’épidémie » mais je vais en dire un peu de mal aujourd’hui. Cet ouvrage m’a beaucoup plu parce qu’il expose implacablement que le récit politico-médiatique de la « crise sanitaire » a été multi-mensonger. Il m’a cependant parfois irrité parce que son auteur fonctionne sous logiciel pasteurien et que ça l’amène parfois à tenir des propos spécieux ou à s’appuyer sur des postulats douteux. Par exemple, Laurent Toubiana souligne l’inefficacité des masques buccaux mais écrit que ceux-ci « ont cruellement manqué » au début de l’épidémie. Où est la logique ? Il adhère par ailleurs à la chimérique immunité de troupeau en écrivant que « l’adaptation immunitaire individuelle permet de créer une barrière immunitaire collective qui est l’un des facteurs importants pour le reflux, voire la disparition du fléau ». Il est pourtant très clair, et la grippe covid l’a spectaculairement démontré, que ni les très nombreuses infections naturelles ni les injections vaccinales massives n’ont fait barrage à la propagation de la maladie imputée à une « circulation du virus ». Comme Toubiana le souligne lui-même, les différences géographiques et les différentes politiques en matière de confinement n’ont pas non plus exercé d’influence notable sur les courbes épidémiques. Elle est où, alors, cette immunité grégaire, sinon dans l’imaginaire des disciples de Pasteur ?
C’est pas chinois
Ce qui me désole le plus, c’est que l’épidémiologiste ne remet pas fondamentalement en cause la narration mainstream du virus émergeant en Chine et se dispersant sur le globe en prenant l’avion ou le bateau avec sa petite valise de protéines pointues. Comme je l’ai pointé dans une infolettre précédente, ce scénario « classique » est le plus gros mensonge du récit covidiste puisque des études ont montré que l’agent infectieux baptisé sars-cov2 était déjà repérable en Occident durant l’été et l’automne 2019. Toubiana cite d’ailleurs l’une d’entre elles, effectuée par l’Inserm et publiée en février 2021 par l’European Journal of Epidemiology. Certes, ces travaux méconnus ou ignorés permettent à l’auteur de justifier son rassurisme radical : puisque la durée d’incubation du covid est courte (3 à 8 jours) et qu’il a fallu 3 mois pour que les premiers morts apparaissent, ça signifie qu’il y avait déjà de très nombreux contaminés début 2020 et que le taux de létalité de la maladie était donc dérisoire. Les plandémistes ont bien maquillé un syndrome grippal banal en cataclysme mondial. Mais pourquoi l’épidémiologiste dissident n’en tire-t-il pas l’autre conclusion qui s’impose, à savoir que le scénario du virus mortel (naturel ou artificiel) apparu à Wuhan et se répandant à toute allure sur la planète est une fable sans fondement ? S’il n’était pas prisonnier de son paradigme pasteurien, Laurent Toubiana pourrait se rendre à l’évidence que le terrain est tout et que le virus couronné n’est rien puisque la présence de ce dernier est sérologiquement attestée bien avant sa prétendue émergence hivernale.
Pensez au cumin noir
La théorie infectieuse tient d’autant moins la route qu’il est allègrement prouvé que des compléments alimentaires naturels diminuent fortement la morbidité et la mortalité attribuées à l’assaillant viral. Je ne vais pas vous en rappeler la liste, je vais seulement en mentionner un dont je n’ai pas encore parlé : la nigelle, appelée aussi cumin noir. Les graines de cette plante sont utilisées comme épice dans divers endroits du monde mais son huile est également employée comme remède traditionnel dans les pays musulmans. Le prophète Mohammed disait d’elle qu’elle est « un remède pour toutes les maladies, sauf la mort ». Si vous voulez faire connaissance avec cette panacée, je vous suggère de consulter cette page internet qui est assez bien faite. L’action anticovid du cumin noir , je l’ai découverte grâce au Professeur Raoult qui, dans sa vidéo de la semaine dernière, conseille de consulter le site c19early.com comme source sérieuse sur les traitements précoces. Ce morceau de toile est en effet une mine d’infos car ses animateurs ont examiné près de 2.000 études scientifiques et ne se sont pas limités aux molécules chimiques. On y retrouve notamment la curcumine et la quercétine, mais aussi les effets de l’alimentation ou ceux de l’activité physique. Si vous cliquez à gauche sur Nigella sativa, vous pouvez voir que 5 des 6 recherches trouvées dans la littérature montrent une efficacité très significative de la nigelle à tous points de vue, tant en prophylaxie et en traitement précoce qu’en soin curatif tardif. Lorsque des nutriments provenant de la nature protègent les patients et améliorent aussi puissamment l’état des malades, il est absurde de continuer à croire que l’agent infectieux a une quelconque responsabilité causale dans leur pathologie.
Le docu qui dépote
Mais y-a-t-il seulement un faux coupable viral ? Sans me faire une opinion définitive, j’accorde un certain crédit, et même un crédit certain à la thèse selon laquelle le sars-cov2 n’a jamais été isolé et que son existence même est sujette à caution. Non content d’avoir été le premier à désigner les vaccins antigrippaux comme facteurs probable des pneumonies atypiques et à avoir aussi rassemblé tous les indices menant à la piste toxique du graphène, le « journaliste citoyen » Dominique Guillet a récemment dressé un récapitulatif de tous les articles, études et vidéos mettant sérieusement en doute la réalité même du virus causant prétendument la « coque vide ». Troublant, n’est-il pas ? Le trouble sera d’autant plus profond que certains médecins et scientifiques repris dans cette liste (Andrew Kaufman, Thomas Cowan, Stefan Lanka…) vont jusqu’à contester l’existence de TOUS les virus et donc la validité de la virologie dans son ensemble. Les particules qu’on appelle virus seraient en réalité des débris excrétés par les cellules intoxiquées ou des variétés d’exosomes, mini-vésicules précisément chargées d’ébouer les terrains cellulaires encrassés. Pour rappel, ces théories audacieuses ont été présentées dans les numéros 108 (février 2021) et 112 (juin 2021) du mensuel Néosanté. Si vous désirez en savoir plus à ce sujet, réjouissez-vous : les animateurs du site cv19.fr , qui s’est fait une spécialité de traduire les textes anglo-saxons les plus dérangeants pour le pasteurisme, viennent en effet d’assurer le doublage en français du film américain Terrain, conçu et réalisé par le Dr Andrew Kaufman. On y explique très bien l’escroquerie de la soi-disant isolation des virus et la fraude de leur action supposément délétère : en vérité, les expérimentateurs ne font que provoquer la mort de cellules qu’ils affament et détruisent en ajoutant des antibiotiques dans leurs éprouvettes ! Mais alors, que mesurent les tests PCR ? Cela paraît énorme, mais le séquençage génomique serait également une imposture et le génome des virus serait purement virtuel, construit in silico sur ordinateur et inexistant in vivo ! Quant à la fameuse protéine Spike, elle serait commune chez l’être humain, probablement altérée par un polluant extérieur et sans doute manipulée dans le vaccin à des fins obscures. Sans s’en tenir au covid, le film Terrain rend évidemment justice à la notion de terrain et absout complètement les microbes d’un quelconque rôle pathogène. On y retrouve la célèbre métaphore du cadavre et de la mouche (c’est le cadavre qui attire la mouche et non l’inverse) et on y entend également une très pertinente réflexion du Dr Kelly Brogan : « On ne dit pas d’un compost qu’il est infecté quand il décompose de la matière organique, alors pourquoi le faire avec notre corps ? ». Pour s’initier à la vision que défendait Antoine Béchamp (dont les microzymas sont ici appelés « protistes ») contre Louis Pasteur, le documentaire produit par le Dr Kaufman est à mes yeux un très bon début. Je vous invite à bien le visionner jusqu’à la fin car les 10 dernières minutes sont absolument bouleversantes. À mon sens, les sidérantes « photos d’eau » congelée de Veda Austin sont encore plus stupéfiantes que les clichés cristallins de feu Masaru Emoto et elles sont susceptibles de chambouler complètement notre compréhension de la vie en expédiant le matérialisme pasteurien aux oubliettes de l’histoire. Si vous voulez mon avis, et vous saisirez mieux mon émoi, ces prodigieuses images témoignent que l’Ère du Verseau (eau= symbole de connaissance et support de la conscience) a véritablement commencé ! Même si cet avènement s’avère assez pénible, on a la chance de vivre une fantastique époque….
Source : Néosanté
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