Andrew Torba, PDG de Gab.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de l’éditeur : Le discours du PDG de Gab, Andrew Torba, a été prononcé lors de la conférence d’America First Politic Action en février 2022. La couverture de ce discours n’implique pas que LifeSiteNews approuve les opinions de toutes les personnes impliquées dans la conférence.
28 février 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — À une époque de censure et de contrôle croissants par des sociétés laïques de gauche, au moins une plateforme de médias sociaux se consacre à la défense de la liberté d’expression et s’aligne sur les valeurs judéo-chrétiennes. Et son PDG exhorte les autres à s’engager dans cette voie.
Dans un discours convaincant prononcé le week-end dernier, Andrew Torba, fondateur et PDG du site de médias sociaux Gab, a appelé les conservateurs à se mobiliser et à construire des alternatives explicitement chrétiennes aux entreprises et services matérialistes et « démoniaques » qui promeuvent l’immoralité, contrôlent le flux d’informations, bannissent les voix conservatrices et cherchent à éradiquer les valeurs et la culture traditionnelles.
« Les gens au pouvoir veulent une Grande Réinitialisation, mais ce que nous allons leur donner à la place, c’est une Grande Restauration », a-t-il déclaré, affirmant que les conservateurs doivent restaurer et défendre les valeurs chrétiennes fondatrices des États-Unis en construisant une « économie parallèle ».
Selon M. Torba, un tel réseau de systèmes parallèles visant à concurrencer les oligarques de la Grande technologie (Big Tech) et les entreprises laïques « ne peut fonctionner que s’il est construit sur les bases solides de notre foi en Jésus-Christ et de la Vérité de la Parole de Dieu ».
Le fondateur de Gab a expliqué à l’auditoire qu’il avait lancé son site alternatif de médias sociaux de libre expression il y a six ans après avoir vu des Américains qui rejetaient les récits et les idéaux du « régime » moderniste être réduits au silence, « interdits d’accès à internet, [avoir leurs comptes] gelés par les banques, être mis sur une liste noire pour qu’ils ne puissent pas prendre l’avion, et être qualifiés de terroristes parce qu’ils osent avoir une opinion politique différente de celle du régime en place ».
« En refusant de me plier aux exigences du Régime, je suis moi-même devenu un dissident », a poursuivi M. Torba, qui travaillait auparavant à Silicon Valley, notant que lui et sa famille ont fait l’objet de menaces et de harcèlement répétés pour s’être opposés à la culture dominante.
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