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Le cow-boy irresponsable d’outre-Atlantique met la vie des Européens en grand danger entraînant avec lui des dirigeants européens aveuglés par la pseudo-sécurité que fait miroiter cette organisation dénommée OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord).
Macron (France) et Scholz (Allemagne) s’agitent quelque peu mais sont dans l’incapacité d’imposer leur point de vue en exigeant que cesse ce que l’on veut nous faire croire : la provocation de la Russie, laquelle n’envisage pas d’envahir l’Ukraine ni un autre pays limitrophe. Le premier veut jouer un rôle d’ambassadeur diplomatique de la paix mais sans succès étant donné qu’il est loin d’en avoir l’envergure ! Quant au second il a d’un côté les Américains lui dictant ses ordres et de l’autre côté l’attrait du gaz russe pour faire tourner ses usines. Cruel dilemme !!! Deux pantins s’agitent dans la cour des grands.
Poutine souhaite simplement obtenir des garanties que l’OTAN cesse son expansion en Europe inquiet de la possibilité que des bases à moins de 1000 km de Moscou soient installées par les États-Unis et les équipe de missiles à moyenne et longue portée.
L’OTAN a besoin de conflits pour exister, peu importe le sacrifice humain. Ce n’est rien d’autre qu’une fuite en avant menaçant la sécurité des Européens. Cette organisation, qui n’a plus vraiment lieu d’être, est l’outil commercial servant l’industrie de l’armement américaine et le bras armé des États-Unis pour s’imposer aux pays européens et notamment ceux ayant le plus souffert dans le passé de l’influence de l’URSS. On peut comprendre les craintes de ces derniers mais ce n’est pas en s’associant aux manoeuvres provocantes des Américains qu’ils auront la paix. Privilégier le dialogue à la violence est infiniment plus constructif.
Les Américains ont engagé une véritable fuite en avant pour tenter de maintenir leur hégémonie sur le monde occidental puisqu’une grande partie de la planète leur échappe chaque jour davantage. Sortiraient-ils vainqueurs d’une confrontation armée avec la Russie ? Rien n’est moins sûr. Ce qui est certain c’est que ce sont les peuples européens qui souffriraient le plus gravement d’une guerre russo-américaine.
Les dirigeants du continent européen adhérents à l’OTAN devraient interroger leurs peuples par referendum : « Voulez-vous d’une guerre entre Américains et Russes sur le continent européen sachant que nous en serons les premières victimes ? » La réponse n’est pas difficile à imaginer. Elle serait certainement identique si on demandait au peuple des États-Unis d’Amérique son avis sur l’idée d’envoyer leur « boys » se faire tuer pour satisfaire la recherche permanente de toujours plus de profits de la part de l’oligarchie financière anglo-saxonne.
Comment accepter que des personnages à l’esprit opportuniste, comme le montre la déclaration d’un ancien président des États-Unis en juin 1941 vienne faire tuer des centaines de milliers, voire des millions de citoyens européens pour maintenir l’hégémonie de la finance anglo-saxonne sur le monde occidental ?
Alors que la guerre faisait rage entre les Allemands et les Anglo-Soviétiques et que l’Amérique était encore non belligérante. Harry S. Truman déclarait : « Si nous voyons que les Russes l’emportent sur les Allemands. nous aiderons les Allemands. Si nous voyons que les Allemands l’emportent sur les Russes nous aiderons les Russes. (New York Times 22 juin 1941). Harry Truman (1884-1972) était à ce moment là vice-président des Etats-Unis.
source : La Plume du Citoyen
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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