Le grand cirque de l’opération COVID (SARS CoV-2) tire à sa fin pour faire place à une autre opération de manipulation de masse d’un autre type. Le Premier ministre britannique Boris Johnson ne s’y est pas trompé. Brillant tacticien, ce féru d’Homère dans le texte, a annulé d’un coup toutes les mesures et restriction stupides présentées comme sanitaire. Pas d’obligation vaccinale expérimentale, pas de nécessité de porter des muselières humaines en papier ou en tissu, pas de faux tests PCR et aucun sauf-conduit à code QR ou autre marqueur d’identité.
La Grande-Bretagne est subitement libre. Le monde devrait s’en réjouir mais les véritables raisons de ce changement d’attitude subit jusqu’au sein de la Chambre des Communes n’est pas lié à une quelconque prise de conscience salutaire mais plutôt à un changement de stratégie. L’opération COVID a échoué. Place à une guerre contre la Russie. Les commandos SAS britanniques sont déployés à quelques kilomètres de la frontière russe. Simple mesure défensive.
Plus on avance vers Moscou et Saint-Petersbourg et plus on démontre au monde la vocation défensive de l’OTAN.
Par contraste, le gouvernement autrichien vient de rendre la vaccination expérimentale obligatoire au nom de la liberté et par atavisme totalitaire. La population s’y oppose avec véhémence. C’est une sanction contre la population.
Toujours dans le domaine du surréalisme, le ministre de la défense de l’Australie vient d’affirmer sans craindre le ridicule que le monde doit repousser les pays menaçants et les dictatures.
Que faut-il comprendre de tout cela? Est-ce une nouvelle diversion? Certainement. Dans quel objectif? Entretenir le cirque et éviter que les populations ouvrent les yeux sur une réalité pas très bonne à voir. Le mythe doit être entretenu. Le vieux monde doit se maintenir par l’illusion et la menace, par les fausses crises. Il n’y a plus d’économie politique réelle. Il n’y a plus que des escrocs professionnels. Il n’y a plus de systèmes d’éducation efficients mais des fabriques d’un faux consentement et l’ingénierie de l’égo.
Le terrorisme n’existe plus, le COVID ne mobilise plus, il faut donc entretenir la plèbe dans la peur permanente avec d’autres thématiques. Une tâche loin d’être aisée en ces temps d’inflation à deux chiffres. Une guerre en Europe orientale avec un bonus est une affaire trop dangereuse. Le battage médiatique anti-russe a rapproché la Russie de la Chine et de l’Iran. Lors d’une récente rencontre entre les chefs de la diplomatie de la République islamique d’Iran et de la Fédération russe, les officiels iraniens ont appelé la Russie à résister comme ils le font depuis quatre décennies. En Corée du Nord, Pyongyang affirme que l’empire dépasse les lignes rouges et qu’il est temps de lui donner une leçon. Le monde a changé mais certains esprits demeurent englués dans une idéologie d’un autre âge et se montrent incapable de s’adapter aux mutations en cours. Demeure la terreur. Celle-ci ne peut être maintenue que par la manipulation de masse. Une manipulation qui révèle au monde l’ampleur de la compromission. La compromission des États confirme la perte totale de souveraineté de la quasi-totalité des pays du monde. La véritable carte géopolitique en 2022 est plus restrictive que celle de 1922 ou à l’époque des grands ensembles coloniaux. Dans le cas présent, il n’y a qu’un super-ensemble d’une couleur unie face à trois ou quatre États au plus.
Comme dans le film italien iconique “Le Bon, la Brute et le Truand” (1966), l’un des meilleurs Western spaghetti jamais produits, nous assistons à une course circulaire effrénée grotesque au milieu d’un cimetière dont les tombes sont arrangées comme les tribunes d’un amphithéâtre antique.
Ceci n’est pas une analyse. C’est un constat. Peu de personnes pardonneront le fait d’avoir été trompées tout le temps depuis des années. La tromperie de 2020, qui frappe par son aspect universel nous démontre l’existence d’une architecture méconnue du mensonge partagé au sein de la structure des relations internationales. Cet aspect repose sur la notion d’un intérêt commun plus ou moins tributaire de la peur ou de la cupidité. Dans les deux cas, le bétail humain n’est qu’une ressource à manipuler plus ou moins grossièrement. Après tout, il faut aussi le nourrir et le dresser pour divers usages dont un s’est émoussé. La chair à canon est une denrée rare non pas à cause du manque d’endoctrinement ou d’imbécilité mais parce que l’espèce n’est plus adaptée à la guerre. D’où l’obssession de remplacer l’élément humain, de plus en plus faible et faillible, par des machines.
Le simulacre électoral est mort. On ne le maintient plus que pour tricher et se donner une légitimité toute aussi fausse. La démocratie n’a jamais vécu. Même en Grèce antique, la fraude était la seule norme reconnue (cette fraude est attestée par des découvertes archéologiques). Il n’y a plus que des moulins à paroles qui tentent de capter l’attention des populaces, voire tuer le temps des pensionnaires des maisons de retraite.
On ne pardonnera jamais la grande comédie de 2020. Si la manipulation COVID a si bien réussie en 2020, un autre mensonge historique était tout à fait possible en 1969. Et bien d’autres encore. La masse des idiots ne tarira jamais. Et par définition nous sommes tous des idiots pour avoir été les dindons d’une farce aussi énorme, aussi flagrante, aussi grosse…Pour une forme de grippe! Sacré Bleu ! On a oublié que la grippe tue!
Le mensonge universel est nécessaire au maintien des institutions humaines. Il permet également à certains milliardaires de multiplier leurs richesses. Mais de grâce ne nous refaites plus ce cirque absurde auquel nous assistons, mi-etonnés, mi-medusés, depuis 2020. Ce cirque aura eu toutefois le mérite de décrédibiliser la médecine et la science, lesquelles sont devenues idéologiques et tributaires d’intérêts bien bas.
D’un cirque à l’autre. Voilà ce qu’est devenue l’histoire. Au prochain cirque!
Source: Lire l'article complet de Strategika 51