Par Maria Madise (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les sources pro-vie ont largement rapporté que, selon Worldometer, un grand site utilisant les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’avortement a été la première cause de décès dans le monde en 2021.
Worldometer a fait état de 42,6 millions d’avortements l’année dernière. En comparaison, les décès par cancer s’élevaient à environ 8 millions et les accidents de la route à environ 1,3 million par an. En 2021, l’OMS attribue 3,5 millions de décès au Covid. Toutes causes confondues, les décès s’élèvent à 101,5 millions de personnes, dont près de 43 millions sont des enfants à naître !
Il est certain que ces chiffres n’incluent pas les avortements précoces causés par les contraceptifs ni les millions d’embryons jetés au cours des procédures de FIV [Fécondations in vitro] ; ils ne prennent sûrement pas en compte non plus les avortements à domicile, pratique désormais courante dans de nombreux pays, dans lesquels les pilules abortives sont disponibles à la demande.
Voice of the Family a souvent souligné que l’avortement légalisé a tué plus d’êtres humains (environ 2 milliards au cours des 30 dernières années seulement) que toutes les guerres de toute l’histoire de l’humanité. Le ventre de la mère ─ selon l’expression courante, l’endroit le plus sûr de l’univers ─ est statistiquement l’endroit le plus dangereux !
Si la mesure de la civilisation est la façon dont une société traite ses membres les plus vulnérables, alors notre société est la plus barbare de l’histoire de l’humanité. C’est une pensée qui donne à réfléchir à l’aube de cette nouvelle année et qui devrait nous inciter à agir.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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