Les activistes platoniciens aiment bien faire appel à des scientifiques peu scrupuleux dans leur démarche, parce que clientélistes et/ou simplement eux-mêmes en position de dissonance cognitive vis-à-vis de la réalité matérielle qui ne cesse de contrevenir à leurs désirs intimes les plus chers et les plus fantaisistes. Je fais ici allusion aux hommes de toute catégorie socioprofessionnelle et de toute instruction qui ressentent de l’excitation sexuelle à se travestir occasionnellement avec des sous-vêtements stéréotypiquement féminins, et bien souvent, avec les sous-vêtements et vêtements de leur propre conjointe.
Nous appelons platonicien toute personne soutenant une idéologie dérivant du platonisme. Le platonisme, qu’il soit classique ou néo, est un système idéologique qui présuppose un dualisme entre le monde sensible et un monde transcendant, séparé et supérieur à celui-ci. L’on parlera de séparation ou de dualisme métaphysique. Pour les spiritualités dérivées du platonisme, il existe, grosso modo, un monde des idées éternelles et des essences pures, un monde qui est évidemment au-dessus du monde matériel et sensible et qui lui est éminemment supérieur : c’est le monde de la raison, de la rationalité mathématique, le monde accessible aux hommes doués de raison et dont l’âme participe de la rationalité divine. Les hommes ont une âme rationnelle (Noos) qui gouverne et ordonne le centre des émotions (Thumos) ainsi que le plus bas degré de la sensibilité humaine, l’appétence et les désirs (Epithumia), tandis que les esclaves, les femmes et les animaux sont dépourvus d’âme rationnelle et sont dès lors gouvernés par les émotions et les désirs. Les âmes de Platon sont des essences éternelles et immortelles, qui vont être incarnées selon des cycles vertueux, en homme si leur dernière incarnation fut sage et vertueuse (c’est le début de l’ascétisme sous toutes ses déclinaisons, y compris le stoïcisme), en esclave s’il y eut corruption, et dans le pire des cas, pour les plus corrompus, en femme. Voilà qui est dit. Il s’agit donc d’un procès compliqué de métempsychose[1], un voyage des âmes, qui connaitront des passages en machine à laver céleste à la programmation plus ou moins longue, fonction de leur degré d’impuretés, avant d’être renvoyées ici-bas dans des sacs à viande terrestres tout frais. Pour ceux et celles qui ne sont pas familières avec l’histoire de la phallosophie (l’amour de la sagesse selon les hommes, et son corollaire, la haine de la corporalité et des femmes), vous devez maintenant reconnaitre l’air de cette musique céleste. En effet, le christianisme est le rejeton con-spirituel du platonisme.
Quel est le rapport avec les hommes qui se travestissent occasionnellement ? Eh bien, parce que, pour se justifier, certains de ces hommes, pour tout un tas de raisons parmi lesquelles la culpabilité ou le déni, mais pas seulement (l’entitrement masculin à n’en faire qu’à leur tête étant ici un très fort moteur), parfois sincèrement et très souvent en mentant éhontément selon un script formaté qu’ils se partagent aisément sur les forums de manière à convaincre les médecins et psychiatres, ces hommes en appellent donc à l’idéologie de l’âme née dans le mauvais corps. Pour être une âme dans un mauvais corps, il faut présupposer un dualisme métaphysique, avec une essence qui va infuser dans un sac à viande. Le mauvais sac à viande.
Connais-toi toi même
Certains des activistes platoniciens, dans l’impossibilité de venir à terme de leur fétiche et refusant l’enseignement socratique du « connais-toi toi-même », décriant et calomniant, par exemple, les travaux des chercheurs et confrères Ray Blanchard, Michael Bailey autour de l’autogynéphilie, ainsi que d’Anne Lawrence, homme transidentifié, médecin de profession et platement honnête sur sa sexualité, en viendront même à renier la science et écrire des livres entiers de salades platoniciennes, niant les théories évolutionnaires provenant de la sélection sexuelle darwinienne, pour lesquelles nous connaissons bien aujourd’hui le rôle des femelles, étudié depuis les années 70 en anthropologie et génétique évolutionnaire. Ces hommes détestent les femmes et la réalité. Parce que l’existence des femmes et la réalité leur rappellent sans arrêt qu’ils ne sont pas des femmes.
Ces platoniciens sont évidemment des misogynes doublés de misosophes : la haine et la peur de la vérité. Aussi leur position platonique se traduira-t-elle, au XXIème siècle, dans le reniement et le remaniement des théories de la sélection sexuelle, tout comme ont cherché à le faire les créationnistes et leurs tenants pseudoscientifiques, chantres de la théorie du Dessein Intelligent. Il est à noter que nombreux·se sont de formation universitaire scientifique, telle, en France, Alexandra Henrion-Caude, généticienne anciennement directrice de recherche à l’Inserm et fervente catholique, plus connue sur ses positions liées à la crise du Coronavirus 19 que pour sa théorie (platonicienne) des amourons. Je n’ai aucune intention de présenter cette théorie, ni ici ni jamais. En revanche, ne soyez pas étonné·es de rencontrer des femmes au service d’idéologies patriarcales. C’est une très ancienne stratégie de survie psychique qui leur permet de conserver un tant soit peu de respect d’elle-même, lorsqu’il ne s’agit pas d’une stratégie de survie tout court. Aujourd’hui encore, pour une écrasante majorité de femmes sur terre, en Inde, en Chine, au Pakistan, en Iran et pas seulement, il faut se conformer aux injonctions de la domination masculine, obéir ou mourir. Souscrire au système idéologique qui fabrique et reproduit leur propre oppression est l’expédient qui leur permet de conserver une illusion d’autonomie dans l’agencement de leur vie subordonnée aux hommes.
Autogynéphilie
Mais le pourquoi du comment de ce que nous appelons « automisogynie » n’est pas l’objet de ce billet : nous parlions d’autogynéphilie masculine dont nous expliciterons une définition en cours de route. L’autogynéphilie est considérée par les hommes qui en font preuve comme une hérésie. Un blasphème. Je n’emploie pas ces mots à la légère étant donné que reconnaitre son existence contreviendrait au système idéologique platonique qui soutient leur argumentation, tout comme la théorie de l’évolution contrevenait à la Genèse judéo-chrétienne et à l’Église qui institutionnalisait son récit mythologique via la coercition. L’autogynéphilie est la seule sexualité paraphile qui se voit frustrée d’être nommée. L’homme autogynéphile qui décide de vivre sa sexualité au grand jour n’est excitable et excité que lorsque tout le monde joue le jeu : lorsque tout le monde le considère et le traite comme une femme. L’érotisation autogynéphile n’est possible que sous accord tacite entre l’autogynéphile et les personnages secondaires et autres figurant·es à l’affiche de son scénario personnel. Ci-dessous un exemple notoire d’homme autogynéphile. Philip Blunce est un père de famille traditionnel dans tous les sens du terme, y compris visiblement sur sa conception subjective de ce qu’une femme est censée être. Blonde et vêtue de rose. Philip s’habille en femme le lundi, mercredi et vendredi, et en homme les autres jours de la semaine. Ou quelque chose comme ça.
La sexualité des hommes autogynéphiles repose donc sur l’engagement tacite entre l’homme et ses observateurs participants. Malheur à celui qui brise cet accord tacite, le blasphémateur sera voué aux pires gémonies. Anne Lawrence lui-même s’est penché dans ses travaux sur la rage narcissique qui anime soudain ces hommes, dont il fait encore une fois partie, lorsque leurs proches refusent de participer à leur fantaisie. Lundy Bancroft[2] a extensivement écrit sur ce trait comportemental que partagent les hommes abusifs, ceux qui commettent les violences contre les femmes, explosant de rage devant quiconque les confronte à la réalité en dénonçant leur manipulation afin de les responsabiliser de leurs actes. Je ne suis pas en train de dire que tous les hommes autogynéphiles sont de violents manipulateurs. Je dis que quiconque rejette la réalité est voué à se faire violence pour perpétuer l’illusion du mensonge, et dès lors, à entretenir des relations conflictuelles avec toutes celles et ceux qui refuseront d’avaliser leur fiction. Mais ce n’est pas ainsi que fonctionne l’humain, animal social doué de langage et de communication symbolique. Nous sommes interdépendant·es les un·es des autres et avons besoin, dans une certaine mesure, du regard de nos pairs et d’interactions dynamisantes mutuellement désirées. Inutile de préciser que je ne souhaite pas participer au scénario érotique d’hommes autogynéphiles dans l’espace public, en entreprise ni nulle part (ce qui en plus d’être embarrassant, serait proprement insultant, ainsi Philip Blunce, sa perruque blonde, son collier de perles et sa robe rose ridicule), de la même manière que je ne souhaite pas être exposée aux croyances religieuses des gens dans ces espaces, et encore moins être forcée d’y participer d’une manière ou d’une autre.
Mais revenons à nos moutons. Comme tous les platoniciens et religieux misogynes, les scientifiques paraphiles qui servent une idéologie dualiste sont en croisade perpétuelle contre la chair, le monde sensible et matériel. L’esprit seul définit ce qui existe et ce qui est réel. Là où se sont a priori modernisés ces platoniciens, c’est en ce qu’ils tiennent maintenant compte du « ressenti » personnel. Or, ce ressenti personnel est ici utilisé en tant que sentiment irréductible, de l’ordre de l’infiniment intime, immatériel et immuable, indisputable, distinct de la réalité matérielle du corps. Un ressenti extérieur au corps physique, déterritorialisé comme dirait le platonicien Deleuze, qui n’est pas influencé par celui-ci, à l’image des essences, des idées pures et de l’âme rationnelle. La boucle est bouclée. La psychiatrie des psychotraumatismes, ou, simplement, les méthodes thérapeutiques permettant d’explorer et de traiter les traumatismes de l’enfance, les violences sexuelles infantiles et adultes, les violences intergénérationnelles, etc., sont jugées invalides face à ces ressentis sacrés de l’ordre de la foi religieuse. Seul un prêtre membre ordonné de cette religion aura son mot à dire, soit ici un maïeuticien accoucheur des âmes, appelé aujourd’hui « thérapeute du genre ».
Le pouvoir de décision ontologique
Ces scientifiques ne reculeront devant aucune compromission pour soulager leur dissonance cognitive : en diffusant des informations fausses (« il existe une multitude de sexes biologiques chez l’être humain »), en essayant de confondre leur audience de manière à créer un espace sous cloche dans le monde universitaire et médiatique. Un espace consensuellement psychotique (une illusion consensuelle) dans lequel ils pourront raconter ce qu’ils veulent, et faire valoir leurs revendications à agir comme ils le veulent. Le but est alors d’étendre le dôme anentropique[3] de cette illusion depuis le petit cercle d’universitaires et sophistes privilégiés jusqu’à l’ensemble de la société. Il s’agit de l’une des prérogatives viriles par excellence en patriarcat : les désirs des hommes deviennent des réalités. La classe qui cumule les pouvoirs de décision et les ressources exécutives, ainsi que les organes de propagande adéquats que sont les institutions et les médias, possède le pouvoir de décider de l’ordre du monde et des choses. Elle a le pouvoir sur l’institution des mythes, le pouvoir de symbolisation, et irrémédiablement, de construire la réalité sociale sans tenir compte de la réalité matérielle. Les féministes le savent bien, qui ont de tout temps lutté, souvent isolées les unes des autres, contre les construits sociaux et les mythes patriarcaux justifiant la domination masculine en établissant l’infériorité des femmes — la science ayant été mise au service des idéologies patriarcales tout au long du procès, d’Aristote à Herber Spencer qui a fini ses jours en héraut de la misogynie darwinienne.
Certains scientistes français ne sont pas en reste, et au chauvinisme proverbial vient s’ajouter la lâcheté ontologique et le plagiat. Non contents d’être seulement malhonnêtes, ils manquent en plus d’originalité et se contentent de reprendre les thèses pseudoscientifiques d’autogynéphiles anglo-saxons, avec lesquels ils partagent une même dissonance cognitive face à la réalité — thèses qu’ils auront parfois traduites eux-mêmes pour préparer l’auditoire francophone à tolérer leur fétiche en les habituant à manger des salades platoniciennes.
Étant donné la condescendance particulière que ces scientifiques semblent avoir à l’égard du monde animal, et sans rougir de leur regard anthropocentré, en bons patriarches convaincus, on ne s’étonnera pas que l’assimilation du développement sexuel de l’humain à celui du poisson-clown fasse partie d’un petit corpus de poncifs scientistes visant à platoniser la biologie, leur pire ennemie. Cela dit, une comparaison animalière pertinente, plutôt que celle des poissons qui, sous pressions environnementales mettant l’espèce en danger, ont la faculté de changer de sexe pour la survie du groupe, serait la kleptogamie notoire s’observant chez bon nombre de ces poissons.
Kleptogamie
Le comportement de ces poissons est surnommé « sneaky fuckers » par les biologistes qui les ont observés, soit de charmants petits « queutards tricheurs. » Klepto = le rapt, voler / gamie = relation sexuelle, fertilisation. La kleptogamie par déguisement est observée chez plusieurs espèces de poissons (saumons, gobies, épinoches, môles, ménés, etheostomatinae, …), manifeste d’une intelligence sociale de leur environnement. Figurez-vous que les mâles de ces espèces — #Notallmales — certains petits mâles adoptent l’apparence des femelles de manière à pouvoir les approcher sans qu’elles ne se méfient, afin de tromper les plus gros mâles qui se seraient autrement jetés sur eux. Une fois ce petit monde insidieusement mis en confiance, le mâle déguisé en femelle saute sur la femelle et la viole. Nous avons dit pas d’anthropocentrisme : et s’y accouple.
Chez les sèches existe un autre type de kleptogamie.
« Nous avons donc la preuve génétique que l’imitation sexuelle mène immédiatement à une fertilisation réussie. [4]»
Les sèches et autres calamars sont bien connus pour leur capacité de camouflage et leur communication dermique. Si le but reste évidemment l’accouplement et la transmission des gènes, parfois le camouflage ne vise qu’à tromper les autres mâles. Lorsqu’un petit male sèche convoite une femelle, il va souvent tenter de « tricher » en affichant des motifs typiques des femelles (des caractères phénotypiques devenus stéréotypes sociaux chez ces créatures intelligentes et sociales !) sur une partie de son corps, celle qui se trouvera du côté extérieur présenté aux autres sèches, tandis que l’autre face de son corps, celui qui se trouve du côté de la femelle, continuera d’afficher des motifs mâles typiques (même remarque). Ce déguisement vise à produire l’illusion, à destination de ses rivaux plus gros et plus matures, d’un couple de femelles qui trainent ensemble en toute innocence. Éloignant la suspicion d’un potentiel rival, ceci augmente les opportunités d’accouplement du mâle déguisé avec cette femelle. Il serait trop risqué pour lui de poursuivre ce double jeu en présence de plus d’un rival, car, si un autre mâle démasquait sa ruse, il le châtierait afin d’empêcher que ne se reproduise un mâle tricheur immature ou plus faible que lui. Plusieurs mâles adoptant la même ruse, ou tournant trop près du tricheur, entrainera souvent la découverte du pot aux roses et, donc, plus de risques de combat.
À sombrer dans le biais anthropomorphe, autant le faire de la manière la plus pertinente possible, n’en déplaise aux platoniciens qui, à défaut d’être drôles dans leurs comparaisons loufoques et leur tragique négation des réalités scientifiques, méritent d’être ridiculisés en bonne et due forme. Toutefois, là où tout ceci devient gênant, c’est lorsque les activistes platoniciens vont jusqu’à s’identifier fièrement à des sèches anthropomorphes, prenant l’animal comme totem en un nouvel avatar thérianthropique de rites cosmétiques modernes[5], prétextant que l’animal cherche ainsi à se protéger des autres mâles, les gros mâles violents qui leur chercheraient autrement des noises. Cette assertion n’est pas entièrement fausse, mais elle est incomplète. Nos thérianthropes chamans d’une nouvelle réalité oublient commodément la prémisse précédente ainsi que la suivante : les petits mâles sèches, empêchés d’approcher les femelles parce qu’ils sont encore immatures et pas assez gros pour une bonne reproduction de l’espèce bénéfique à tous et toutes, tentent néanmoins de n’en faire qu’à leurs instincts, le besoin de transmettre leurs gènes étant très fort. Ils se camouflent donc en femelle, pour tromper les garde-fous que sont les mâles plus matures, et vont tranquillement inséminer la femelle à laquelle ils ont ainsi pu accéder.
Les prêtres des rites sexuels modernes devraient réviser les comparaisons au genre animal qu’ils affectionnent le plus car en connaissance de l’éthologie de ces petites bêtes, cela revient à s’identifier aux stratégies prédatrices de mâles immatures et petits mâles regroupées sous la notion de « kleptogamie ».
Non seulement comparer ce que l’on nomme aujourd’hui transidentité — soit des comportements rituels d’inversion sexuelle qui se traduisent par l’adoption d’un ensemble de stéréotypes cosmétiques et comportementaux[6] — à des fins reproductives pour les mâles du monde animal marin et reptilien est d’une absurdité sans bornes, mais en plus, ces comparaisons fallacieuses et sélectives visent à camoufler ce que les activistes platoniciens souhaitent nous faire oublier : la sexualité. La leur. Qu’ils sont malgré tout bel et bien incarnés dans leur corps, ce corps qu’ils détestent parfois jusqu’à vivre en réelle souffrance psychique — ce que l’on appelle dysphorie sexuelle et qui est considéré comme une maladie mentale —, ce corps qui reste toutefois programmé par l’évolution pour la transmission de ses gènes et, donc, pour le coït. L’hypersexualisation de ces corps jusqu’au grotesque tend à nous anesthésier et nous faire oublier que le moteur principal de ces comportements d’inversion reste la sexualité, le sexe. Le sexe qu’ils prétendent effacer et vider de toute réalité.
Audrey A.
PS 1 : La misandrie ridiculise les mauvais hommes, la misogynie tue n’importe quelle femme.
PS 2 : la vie sexuelle des poissons est au moins aussi fascinante que celle des mouches. Très sérieusement ! Les mouches et la course à l’armement du sperme toxique dont l’anthropologue Sarah Hrdy fait un récapitulatif dans son ouvrage Mother nature : A History of Mothers, Infants, and Natural Selection (Les Instincts maternels) donne un éclairage édifiant sur la guerre des sexes et la sélection sexuelle.
https://www.livescience.com/21374-cuttlefish-gender-bending-disguise.html
- Je fais référence ici à la version du récit attribué à Platon dans le dialogue du Phédon. Son récit de la métempsychose ne sera pas le même dans La République ni dans le Phèdre. La migration des âmes n’est pas propre au platonisme et le précédait. Admirons tout de même la version chrétienne qui formula le purgatoire et permis aux fidèles soucieux de leur âme d’insérer des jetons couteux au lavomatique – autrement connues comme « indulgences ». ↑
- Why does he do that : Inside the Minds of Angry and Controlling Men. La traduction française est ce moment même en train d’être éditée. ↑
- Un espace hypothétique dans lequel les lois physiques fondamentales n’auraient pas cours. ↑
- https://www.nature.com/articles/news050117‑9 ↑
- https://www.partage-le.com/2022/01/06/legalite-des-sexes-nous-a-rendus-humains-une-reponse-au-texte-comment-changer-le-cours-de-lhistoire-de-david-graeber-david-wengrow-par-camilla-power/ ↑
- Vêtements et attitudes de la féminité archétypale en occident : blondeur, gros seins, talons haut, robe, maquillage, auto-pornification du corps, soumission, maniérisme, etc. La féminité est donc un construit social produit par les hommes d’une société androcentrée et patriarcale, maintenant déconnecté de tout processus physiologiques et biologiques réels, et que les femmes sont forcées d’adopter, qu’elles le veuillent ou non, pour ne pas être ostracisées de leur communauté hétéronormative. Dans d’autres parties du monde, l’adoption des normes de la féminité se fait au travers de mesures de coercition plus radicales telles que le viol correctif, le fémicide, le jet d’acide, l’immolation, l’enfermement,… ↑
Source: Lire l'article complet de Le Partage