Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Le mot trans vient du latin trans, « au-delà ». L’emploi du mot lui-même est un aveu que cette folie va au-delà de la réalité, et ce qui est au-delà du réel est tout simplement irréel. Les victimes de telles idéologies prétendent « dépasser » la réalité, alors qu’ils ne font que s’enfoncer dans l’irréalité.
Comme le dit Rob Siedlecki, le directeur de l’IFN, « Nous vivons dans un monde à l’envers, où la fiction est la vérité et la vérité la fiction… »
Une personne n’est plus définie par ce qu’elle est, mais par ce qu’elle décide d’être. Rob Siedlecki rapporte dans un article, « La Suisse a désormais rejoint un grand nombre de pays qui permettent à une personne de changer d’identité sexuelle sur simple déclaration… Désormais, pour changer légalement de sexe, il suffit de se rendre dans un bureau d’état civil et de remplir un simple formulaire. C’est aussi simple que cela. »
Le sexe n’est plus une réalité objective. Le sexe a été rabaissé à un coup de crayon sur un bout de papier.
Tant de personnes ferment les yeux à la réalité inhumaine de l’avortement, à l’existence d’un Dieu, ou à l’objectivité tout simplement, alors pouvons-nous être surpris qu’ils ferment les yeux à la réalité du sexe ?
La solution ? Rechercher, aimer, et défendre la vérité. « Pour mettre fin à cette folie, il est nécessaire que les personnes saines d’esprit — qui constituent la majorité de la population mondiale — prennent la parole et exigent que la réalité objective soit prise au sérieux. »
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