Coronacircus : Lu, vu, entendu…

Coronacircus : Lu, vu, entendu…

Par Yannick Sauveur

Dans quelques années, une fois le soufflet retombé, la raison revenue, les responsables corrompus chassés, jugés, punis, il faudra écrire une histoire sans concession de cette période folle, de ce qu’ils nomment une crise sanitaire et qui n’est rien d’autre qu’une instrumentalisation d’une prétendue crise sanitaire avec force moyens de propagande. Cette crise est tout à la fois une crise politique, économique, financière, sociale et sanitaire. Parmi tous ces aspects, le volet sanitaire est d’abord celui de l’hôpital, à savoir celui de la destruction de l’hôpital public avec sa suppression continue de lits depuis 30 ans, dont 69 000 de 2003 à 2017 plus 17 900 en 4 ans de présidence Macron et 500 lits de réanimation en moins au 31/12/2021 par rapport à mars 2020 à quoi il faut rajouter les milliers de lits fermés par manque de personnel. 

Je ne veux pas ici revenir sur ce qui a été dit, redit, relevé par nombre de personnes à propos de l’évolution du  discours politico-sanitaire, de ses innombrables  contradictions. Les esprits lucides (car il y en a tout de même un peu) observent le rouleau compresseur qui distille la Peur à longueur de journée et ce, depuis près de deux années. Il faut être d’une solidité à toute épreuve, s’informer par soi-même en dehors du Système, faire preuve du plus élémentaire bon sens et d’esprit critique (fermez votre télé, ouvrez votre cerveau !) pour constater que ce climat de Peur n’a d’autre objet que de conduire à la soumission de tout un peuple. Encore convient-il de remarquer que cette Peur est entretenue, relayée par le simple quidam, par le conservatisme ambiant, individualiste et égoïste. Il n’y aurait pas cette Peur et donc cette soumission sans la complicité de franges entières de la population. C’est cela que je veux décrire au travers de témoignages directs (vus, vécus) ou indirects (lus). 

Bienheureux les individualistes… 

Lors du premier confinement, des amis habitant la campagne firent cette remarque : « nous ici, à la campagne, nous avons plutôt de la chance. Tout va bien, on ne manque de rien… On nage en plein bonheur ». Faut-il rappeler qu’à l’époque il fallait rédiger une attestation pour s’autoriser à sortir (même Kim Jong-un n’y avait pas pensé !)… mais pour certains, « tout va bien ». Cette remarque est loin d’être isolée. Des membres de notre famille se prirent en photo sirotant l’apéro au bord de la piscine. La vie est belle ! Du moins pour ceux qui ne veulent pas voir combien nos libertés, à commencer par celle d’aller et venir, sont bafouées au nom de la Sécurité, de la religion de la sécurité brandie par les « gouvernants », un gouvernement d’incapables, de « fonds de cuve » (dixit Régis de Castelnau). Les divers confinements (surtout le premier) auront eu le mérite de voir la nature reprendre ses droits et moins de pollution. Moins de bagnoles et arrêt du tourisme de masse. Tant pis pour les bobo-écolo-friqués (pour qui le diesel pollue mais pas le kérosène !) privés de leurs « vacances » à travers le monde.

Un de mes amis relatant son journal de confinement conte ses mésaventures : il marchait seul sur un chemin près de la mer, personne à deux kilomètres à la ronde hormis une rencontre inopportune avec les gendarmes. Verbalisation. Était-il un véritable danger sanitaire ? Sans doute ! Il écopera deux semaines plus tard d’une seconde verbalisation. Motif : il lisait sur une plage déserte, là encore au mépris du danger qu’il représentait pour autrui ! Un autre de mes amis, perdu de vue depuis fort longtemps, mais retrouvé sur FB, pousse un coup de gueule à propos de cette idée de déconfinement progressif : ce que nous voulons c’est VIVRE. On en a assez que des technocrates parisiens nous imposent des mesures de privation de liberté totalement injustifiées. 

Absurdistan technocratique.

Dans des circonstances souvent dramatiques, il arrive aussi de rire (jaune) : le pilote d’Air France qui allait chercher une cargaison de masques en Chine (avril 2020) est revenu bredouille. Le contrôle sanitaire effectué à Shanghai a révélé qu’il était contaminé par le Covid 19 !

Au début du premier confinement, les enseignes spécialisées ne pouvaient  vendre de produits non alimentaires tels que terreau, semences et d’une manière générale tous les produits pour le jardin, c’est-à-dire l’essentiel de leur activité, tous produits qu’on pouvait se procurer sans difficulté en super ou hypermarché !

La bêtise sous toutes ses formes

Non contents des mesures prises par l’Etat, certains élus considérant qu’il fallait aller plus loin ont pondu des arrêtés plus restrictifs, à l’instar de ce maire : « Les promenades à pied, à vélo, à cheval, en quad, à moto, sont interdites sur l’ensemble de la commune, même avec une attestation de déplacement dérogatoire. Le non-respect de cet arrêté entraîne une amende de 135 € ». Naturellement, il en va de la santé de tous ! (Défense de rire). Il faudra réellement écrire une histoire de la bêtise, ainsi de ces personnes portant le masque en extérieur (alors qu’il n’est pas obligatoire), à vélo, seul en voiture, en randonnée, etc. 

Continuant avec la bêtise : un modeste citoyen (un « gueux ») jardinait chez lui et a été verbalisé parce que l’exercice sportif n’est pas autorisé. En fait, son jardin n’étant pas attenant à son domicile, pour y accéder il doit emprunter l’espace public. Dictature macronienne et absurdistan font bon ménage. Matraquage des media (publics ou privés), des journalistes perroquets ânonnant le credo du Pouvoir. Tout s’est amplifié avec le confinement. Tout avis différent relève du complotisme. Cela ne souffre aucune discussion. 

Bêtise et Propagande

Dans la série Propaganda, on a eu droit à 20 heures au concert d’applaudissements en soutien des soignants présentés comme des « héros » (sic !), voire comme les « guerrières du quotidien » (resic), les mêmes qui seront virées sans salaire parce que non vaccinées. J’ai entendu ce propos très pertinent d’une femme médecin (elle exerce en milieu hospitalier en Seine Saint-Denis) expliquant en substance : on n’a pas besoin d’héroïsation, on a besoin de moyens.   

Comment en est-on arrivé là ? C’est la question que beaucoup (enfin ceux qui réfléchissent) se posent : mon ami, C. : « Comment pouvons-nous en être arrivés là ? » (…) Pour ma part, j’ai envie d’aller plus loin. À ce niveau de délabrement, de décadence de la Société dont cette crise n’est qu’un révélateur de quelque chose de plus grave, de plus profond, à savoir la disparition de la France en tant que puissance, l’incapacité à créer une Europe puissance au lieu de cette Union Européenne (U.E.) à la solde des Etats-Unis et parallèlement la disparition de toute classe dirigeante au profit d’une oligarchie mondialiste dont Macron n’est que le fleuron emblématique (ou la marionnette), chargé de liquider toute résistance au projet mondialiste. Mais je m’égare. Cela mériterait de plus amples développements. À cette question : « Comment pouvons-nous en être arrivés là ? », je pense que la réponse tient au fait qu’il n’y a plus de contrepouvoirs, plus de contre-élites (élites de rechange), que les partis, mouvements, syndicats, media, élites au sens large, participent d’un même Système et s’en satisfont puisqu’ils en vivent et même plutôt bien. 

Relations, tensions, discriminations, manipulations.

Cette hystérie covidesque a entraîné des tensions plus ou moins fortes entre personnes d’un avis différent sur la question du port du masque. Voici quelques témoignages. Je me trouvais dans la file d’attente à l’extérieur de la boulangerie, une dame interpelle un homme devant elle dépourvu de masque. Il s’est mis alors, de la façon la plus sérieuse du monde, à énoncer des explications pour le moins alambiquées sur des raisons médicales qui l’empêchaient de porter le masque. Guère satisfaite de la réponse, elle s’est retournée vers moi en m’apostrophant : « Et vous aussi, vous avez le même problème médical ? », « Effectivement, lui dis-je, comment l’avez-vous deviné ? ». 

Décidément, ce port du masque aura divisé : à l’époque où les magasins avaient la faculté d’imposer le port du masque, je me souviens avoir mis un commentaire appelant au boycott des magasins imposant cette mesure, ce qui m’avait valu en retour cette réponse cinglante d’une amie médecin : « c’est comme si au bloc on ne mettait pas le masque pour les opérations ! ». No comment. Parallèle stupide ! 

Les commerçants (ou les employés de grandes surfaces) se sont fait les zélateurs des directives gouvernementales : obligation de mettre du gel hydroalcoolique (j’ai dû ressortir d’un magasin suite à mon refus de m’hydroalcooliser !), contrôle de la mise correcte du masque, etc.

Les tensions n’ont pas épargné les cercles d’amis ainsi que les familles, par exemple, dans le cas de séparation des parents lorsque le père et la mère ont des avis divergents sur la vaccination des enfants. Nous avons aussi le cas de conflit entre les parents et les grands parents. Ainsi ce témoignage relevé sur FB: « Je suis tombé sur tout un groupe de boomer twittos, complètement cinglés.

G. n’est pas le pire. Certains proposent de vacciner de force leurs petits enfants pendant les fêtes si les parents sont anti-vaxx. »

Voici un autre cas de figure qui n’est guère mieux et qui est plus fréquent qu’on ne croit. J’ai eu connaissance d’une dame de 90 ans, en pleine forme tant physique que psychique, dont la petite fille avait pris d’office un rendez-vous pour qu’elle se fasse vacciner. Certes, la dame aurait pu s’y opposer mais l’attitude de la petite fille est pour le moins choquante en ce qu’elle déresponsabilise la vieille dame. De la déresponsabilisation à l’infantilisation, il n’y a qu’un pas, vite franchi. Souvenons-nous du propos indigne de ce médecin : « On coupe la bûche en deux, papy et mamie mangent dans la cuisine et nous dans la salle à manger, avait-il encouragé, précisant qu’on ne mange pas avec eux, même à Noël, et même si on a pris toutes les précautions avant ». Au-delà de la bêtise à discriminer au sein de la famille, il faut remarquer toute la saveur du propos âgiste : ce sont les grands-parents qui sont relégués à la cuisine et leurs enfants et petits enfants sont dans la salle à manger.

Vaccination. Banalisation. Discrimination.

Dans la vie quotidienne, on a assisté à une évolution nette des relations, ainsi de ceux, nombreux, éprouvant la nécessité de dire qu’ils étaient vaccinés (alors qu’il est parfaitement indifférent qu’ils le soient ou non !). Rencontrant un ancien collègue, en guise de bienvenue, alors qu’on disait dans le monde d’avant : « Comment vas-tu ? », il annonce (avec un peu de fierté sans doute !) : « je suis vacciné » signifiant par là qu’il était dans la norme (je suppose). Le bonjour avec le poing ou avec le coude, gestes au demeurant parfaitement ridicules, ont remplacé la poignée de main ou la bise. J’ai remarqué que certaines personnes semblent avoir plaisir à se saluer ainsi,  montrant inconsciemment leur soumission aux diktats des gouvernants. 

La banalisation de la vaccination et de son expression est proprement stupéfiante s’agissant d’un acte médical et donc du secret médical. Imagine-t-on interroger quiconque sur une question intime ? Cela paraitrait totalement saugrenu. C’est devenu tellement normal qu’une amie a éprouvé le besoin de dire à sa voisine que nous n’étions pas vaccinés. Rien ne justifiait une telle annonce. Quelle raison ? Quel intérêt ? On se perd en conjectures. Il est tout de même ahurissant que ces gens ne comprennent pas l’incongruité d’une telle remarque. Comment l’expliquer autrement que par le formatage des esprits via l’absorption continue de la propagande télévisuelle.

Sans surprise, les media toutous ont fait le forcing pour tenter d’isoler les « rebelles », d’opposer les récalcitrants au reste de la population disciplinée et bien-comme-il-faut. Ce furent les invectives habituelles : complotistes, imbéciles, irresponsables. De la prose d’un journaliste, j’ai lu que nous aurions un Q.I. d’huitre ! Rien que cela ! Une amie relatait à ma femme la conversation qu’elle avait eue avec son fils. Celui-ci reproduisait le discours dominant, à savoir que toute manifestation d’une quelconque réserve par rapport à ce que disent nos zélites ( !) ne pouvait provenir que de gens attardés, diminués, des incultes, en clair des pauvres gens, de ceux que la délicatesse hollando-macronienne qualifiait de « sans dents », de « rien », d’ « analphabètes ». Pensant à nous, elle exprima son désaccord (quand même !) en disant à son fils qu’elle connaissait des gens (lui a-t-elle dit qu’ils ont l’air à peu près normaux ?) qui doutaient du bien fondé de tout ce qui concernait la pseudo crise sanitaire. 

Société de contrôle. Répression. Folie. Bêtise.

J’ai lu sur le mur d’un ami cet échange, hélas édifiant de la réaction de certains de nos concitoyens : 

« Joyeux Noël A. 

Votre Gouvernement est encore plus merdique que le nôtre. Je reviens de France pour acheter des vitamines bien moins chères que chez nous.

Je m’assieds à la terrasse. Chez nous, on peut… Encore… Et voilà que le gars dégaine son smartphone. Tu aurais dû l’entendre.

Vous n’avez pas de pass ?… J’aurai été nue comme un ver qu’il n’aurait pas eu l’air moins étonné. Il a eu pitié.

Il m’a servi un lait russe bien chaud et je me suis assise sur un bloc de béton juste à côté de la terrasse. Il s’est excusé, visiblement gêné et triste. Mais aucun des enfoirés en terrasse pour cloper ou en entrant dans l’établissement n’ont eu un seul mot à mon égard. La normalité, l’abjecte indifférence la veille de Noël.

Je n’avais que mépris pour tous ces crétins… Je souriais…. Ça picole, ça clope, c’est plus gras que du lard gras et ça court se faire pikouzzer par crainte d’un rhume. »

Ce gouvernement aura donc réussi, au moins partiellement, à discriminer les bons élèves des indisciplinés, les titulaires de l’ausweis de vaccination et les rebelles, le tout avec la complicité des multiples forces de contrôle (police, gendarmerie, salariés embauchés spécialement pour le contrôle, mais aussi des bénévoles, etc.). J’apprends que des cow-boys (!) sont entrés dans un cinéma à Chateaubriant en plein milieu de film pour contrôler les pass des spectateurs. L’exploitant a décidé de fermer son établissement. Comment lui donner tort. 

Dans un autre ordre d’idées mais on nage là aussi dans la folie (covidesque), cette anesthésiste relate cette histoire de « cas contact » dont elle dit   que c’est une imposture faramineuse mais j’extrais le passage qui m’apparaît le plus important : « J’ai même pris en charge une jeune femme en garde à 4h du matin pour une rupture de Grossesse Extra-utérine en choc hémorragique. La patiente était sub-claquante, on était sur une chirurgie de sauvetage mais la seule chose qui intéressait l’infirmier de salle c’était le résultat de sa PCR. Il voulait que je lui cure le nez avant de l’endormir, non mais vous imaginez le niveau d’annihilation, de débilité?

Désolée, Marc, je m’épanche… Je ne peux plus encadrer tous ces cons. »

Cette crise covidesque révèle beaucoup de choses sur les comportements de nos semblables, sur les mentalités de l’immense majorité, sur la soumission acceptée, l’apathie générale de la population dont témoigne la faiblesse numérique lors des manifestations anti-pass. Il faut dire et redire ici que lesdites manifestations rassemblent des gens de tous horizons, unis par leur attachement aux libertés publiques, qu’ils soient pro-vacc ou anti-vacc. Mais à mon sens, il y a plus grave que cette soumission, c’est la complicité active de tous ceux qui sont prêts à la délation. Il faut en vouloir davantage aux « pantins » qu’aux « marionnettistes ». Pour Christian Rol, « (…) le plus absurde, ce ne sont pas les caprices des marionnettistes, mais les pantins eux-mêmes, ce bétail veule, grande-gueules velléitaires, collabos de toujours qui applaudissent aux vexations à l’endroit des non-vaccinés mais courbent le dos à la dernière folie.

On leur dit que prendre le café debout (ou assis, peu importe) est dangereux pour la santé, que le pop-corn devant une toile et le jambon-beurre dans un train, c’est transmission du SIDA ou presque, (…) ».

Et Christian Rol de poursuivre : « Quand on a accepté de demeurer claquemuré des mois entiers because le vilain virus, que le masque sur une plage déserte était l’ultime civisme et que, même les mômes sont désormais mis à contribution, il n’y a plus rien à espérer d’un tel troupeau… ».

Et cependant, au-delà du pessimisme ambiant bien compréhensible, même s’il n’y a plus rien à espérer d’un tel troupeau (pour la bonne et simple raison qu’il n’y a jamais eu à espérer du troupeau !), je voudrais évoquer des motifs de satisfaction : la rencontre de personnes très intéressantes avec qui la discussion s’engage spontanément. Au-delà des clivages politiques, des classes sociales, j’ai pu rencontrer des gens de tous horizons perméables à l’argumentation logique. Le hasard du Covid fit bien les choses ! Bien des gens, plus nombreux qu’on imagine, raisonnent avec le bon sens de la terre, ainsi cet homme, plus âgé et ayant connu la guerre, faisait remarquer qu’en ce temps là, s’il y avait le rationnement au moins on pouvait sortir, propos qui rejoint celui de cette vieille dame : « il y avait des bombardements mais cela ne nous empêchait pas de sortir » mais aussi celles et ceux, non engagés, mais faisant part de leurs doutes : « J’ai l’impression qu’on est manipulés. »

C’est pourquoi il ne faut pas baisser les bras mais continuer de Résister et dénoncer cette Société totalitaire. La preuve en est que de plus en plus de français ouvrent les yeux et voient qu’on nous mène en bateau et que les mensonges sont monnaie courante chez les médecins de plateau TV alors qu’on n’entend pas -ou peu- dans les grands media les scientifiques exprimer une opinion différente, qu’il s’agisse de Luc Montagnier (Prix Nobel), des professeurs Didier Raoult, Christian Perronne, Jean-François Toussaint, Jean-Michel Claverie, du chercheur épidémiologiste Laurent Toubiana, du médecin réanimateur et animateur du réseau RéinfoCovid Louis Fouché, du Professeur Mickaël Peyromaure, de la psychiatre et députée Martine Wonner mais aussi des milliers de médecins qui s’expriment sur des blogs. Des milliers de médecins et soignants sont suspendus et interdits d’exercer, ce qui est une honte alors que le pays manque de bras et de talents.

La parole se libère. Imaginait-on, il ya encore peu de temps, le Dr. Martin Blachier s’exprimer ainsi qu’il le fait aujourd’hui ? Qu’il s’agisse des manifestations du samedi, des réseaux sociaux, on constate que l’état de l’opinion est loin d’être celui décrit en haut lieu.

Yannick Sauveur

Note :

1/  Source : DREES.

2/L’idée trottait à l’époque de mesures spécifiques pour les vieux (les seniors en langage académique !). Cf. Débat explosif autour du confinement des seniors in Le Figaro, 18 avril 2020.

3/ Serge Caillot, maire de Charrin (58). Source : Le Journal du Centre, 7 avril 2020.

4/ Professeur Rémi Salomon, Président de la Commission Médicale d’Etablissement (C.M.E.) de l’A.P.-H.P. (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris), novembre 2020.

5/ Pour une meilleure compréhension, on consultera l’échange complet entre le docteur Marc Girard et cette anesthésiste.

6/  Christian Rol, Misanthropie bien ordonnée, Facebook, 29/12/21. 

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Source: Lire l'article complet de Rébellion

À propos de l'auteur Rébellion

Rébellion est un bimestriel de diffusion d’idées politiques et métapolitiques d’orientation socialiste révolutionnaire.Fondée en 2002, la revue Rébellion est la voix d’une alternative au système. Essentiellement axée sur les sujets de fond, la revue est un espace de débats et d’échanges pour les véritables opposants et dissidents. Elle ouvre ses colonnes à des personnalités marquantes du monde des idées comme Alain de Benoist, David L’Epée, Charles Robin, Pierre de Brague, Thibault Isabel, Lucien Cerise … Rébellion se veut également un espace « contre-culturel » au sens large (arts, littérature, musique, graphisme).

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