C’est bientôt Noël, sauf qu’il est fini depuis déjà un moment. Qu’on se le dise, avec la complicité entière d’un prélat diabolique, en ce 2021 la Nativité est plus qu’inversée. Car ce qui est déjà engendré, tient de la nouvelle nécropolitique globalisée, et pour peut-être bien clôturer… notre chapitre chrétien, sa dernière réinitialisation en date sera encore satanique, voire sataniste. Et par les temps qui courent, il ne s’agit plus d’un jeu de mots.
Sous les apparences d’un pays parfois profond comme en Thessalie, rien ne va plus. Certes, nos rivières à leurs habitudes menacent de déborder en ce moment, nos montagnes sont plus belles que jamais et d’ailleurs, on y pratique la chasse… car du sanglier, il y en a. Monde encore… tangible, Dieu merci.
Sauf qu’en Grèce très contemporaine, pays comme tant d’autres, issu de « La Ferme des animaux » de George Orwell… de Klaus Schwab et de son valet local Kyriákos Mitsotákis, le Régime tue allègrement et cela même à moyen voltage. Et il le dit alors ouvertement. Comme à travers chaque… éradication durant la sombre histoire des humains… le radicalisme est comme on sait de mise. Nécropolis sous l’Acropole n’aura donc pas chômé la semaine qui se termine. On sent l’accélération, et l’on respire ce vent malade de plus en plus mauvais.
D’abord, il y a eu la mort… présumée assistée du vieux journaliste Yórgos Trángas, survenue mercredi passé au grand hôpital Sotiría d’Athènes. Les lecteurs de ce blog se souviennent sans doute qu’assez souvent, je mentionnais les écrits et surtout, les prises de position de Trángas à travers ses émissions ; lequel en fin de compte ne manquait ni d’informations, ni d’un certain sens d’analyse.
Yórgos Trángas était surtout ce vieux renard du journalisme, marié trois fois, suffisamment initié, étroitement lié durant sa carrière à certains services de renseignement grecs comme occidentaux et peut-être bien israéliens, ce qui n’est pas très exceptionnel finalement en Grèce, comme aussi ailleurs.
Mais enfin, il a été d’abord journaliste et cela jusqu’au bout ; de ce fait, ses scoops très gênants n’ont jamais été démentis, même si parfois il ne dévoilait que la partie de la vérité qu’il souhaitait seulement rendre publique.
Issu de la famille politique de la droite, Trángas a fini par dénoncer ouvertement et au moyen des faits avérés, toute l’emprise diabolique du clan des Mitsotákis, rapaces parmi les pires rapaces sur le pays dépecé, comme sur ce qui fut jadis un supposé camp politique.
Il est allé même plus loin dans son analyse car en bon connaisseur de tant d’épisodes, Trángas savait et il l’avait ainsi dit publiquement, que par exemple « Mitsotákis l’actuel, fut, du temps de ses années de collège l’amant de Níkos Georgiádis. Et tout le problème politique par la suite fut celui de Georgiádis devenu adjoint politique sous Mitsotákis, mais alors arrêté et condamné pour viol sur mineurs… voilà que Mitsotákis a tout fait pour couvrir les crimes de son adoré historique. De même que dans l’affaire de l’acteur Lignádis, le type que Mitsotákis avait placé à la direction du Théâtre national… pour qui l’ONG immigrationniste de Sóros dirigée en Grèce par la cousine de Mitsotákis, procurait des migrants jeunes et souvent mineurs ce même Lignádis pour que ce dernier les initie alors aux… charmes de la pénétration artistique théâtrale ».
Toutes ces affaires à la Sodome et Gomorrhe n’auraient autrement point intéressé ce pauvre blog, sauf qu’elles sont placées au centre d’un pouvoir local comme mondial, lequel ne fait que voler, violer et désormais génocider les idiots utiles, avares de télévision et de smartphone… et tous les autres avec.
Yórgos Trángas savait tout cela, d’autant plus que son fils Freddy, lui avait été en quelque sorte volé, pour ainsi faire partie du « harem masculin » qui se présente autant sous l’étiquette de l’équipe des conseillers de Mitsotákis. Trángas en souffrait beaucoup et il l’a même avoué dans une émission radio d’il y a seulement deux mois, retrouvée et rediffusée cette semaine par Zóis Béglis, cet ancien médecin en chef de la Marine nationale, et fondateur du mouvement politique « Ellas 21 », qui se dit à son tour « résistant et intraitable devant le pouvoir des salopards ». Nous avons également retrouvé ce document, si émouvant. Et c’est alors la voix de Yórgos Trángas… désormais d’outre-tombe.
« Très probablement, l’ordre pour encercler mon domicile a été donné en présence de mon fils. Très probablement donc il savait, Freddy, mon fils issu de mon deuxième mariage, je l’aimerai toujours et je ne le déshériterai jamais. Freddy a fait connaissance de Kyriákos Mitsotákis au cabinet de physiothérapie de sa mère, Madame Kalomíri, assistante et épouse de l’excellent ostéopathe Monsieur Kalomíris, lequel avait d’ailleurs sous sa surveillance médicale toutes nos équipes nationales ».
« Freddy a ainsi fait connaissance de Monsieur Mitsotákis quand ce dernier s’y était rendu pour ses séances de physiothérapie. Mon ex-épouse lui a fait connaître Mitsotákis pendant que je travaillais encore à la Radio Parapolitiká – vers 2018. Jusque-là, Freddy travaillait au sein de l’équipe Marketing du même groupe de presse Parapolitiká, car il a fait des études de Marketing ».
« Mitsotákis l’a fait venir près de lui, en disant ceci : – Tu le sais, ton père est un homme coriace, mais son intelligence est exceptionnelle, comme tu tiens de lui, je vais t’engager au sein de mon équipe de communication. Bien entendu à cette époque, il se préparait pour accéder au pouvoir. Voilà ce que mon fils m’a dit directement à l’époque. Et il ne m’a plus adressé la parole depuis que Mitsotákis est arrivé au pouvoir durant l’été 2019. Jamais un seul coup de fil, ni à l’occasion d’une fête, ni pour Pâques, ni rien. Le jour où les appels sur mon téléphone seront intégralement consultables par les services de la Police, on apprendra qu’en réalité, mon fils ne m’a plus jamais contacté ».
« Au début, j’avais eu pourtant l’occasion de poser certaines questions à mon fils. – Es-tu bien payé, car si un jour ce gouvernement perd le pouvoir que feras-tu ? Je lui avais proposé à maintes reprises que de travailler près de moi, il n’a jamais voulu, c’est son droit ; j’ai toujours été un adepte du libre choix. Mon autre fils, l’ainé, avait par exemple travaillé durant 20 ans auprès de moi, en ce moment il travaille pour son compte, je vous le dis pour autant situer le contexte ».
« Mon deuxième fils Freddy, m’a alors répondu que – Mitsotakis nous doit trois mois de salaire, mais il nous a dit que – dès que nous intégrerons l’équipe de son cabinet, tout va entrer dans l’ordre. Au départ, mon fils a intégré une large équipe de 60 à 70 personnes qui s’occupent de la communication du Premier ministre, pour ensuite intégrer directement le cabinet Mitsotákis, voire même, sa garde rapprochée ».
« C’est étrange, car mon fils n’a pas suivi de cursus de garde du corps, par exemple celui des écoles israéliennes qui en disposent si bien, son seul cursus est celui du marketing. Certes, c’est un jeune homme très beau et bien grand… alors Mitsotákis, l’a sitôt introduit au petit cercle des privilégiés, faisant partie de l’équipe de son cabinet. Comme je viens de l’apprendre et d’ailleurs je le perçois à la télévision, par exemple, lors des déplacements de Mitsotákis, mon fils devient l’ombre même du Premier ministre ».
« J’ai même vu l’autre jour à la télévision que mon fils a donné l’ordre de frapper et de pousser Monsieur Patoúlis, le Président de la Région d’Attique appartenant au même parti que Mitsotakis, sauf que ce dernier a ordonné à ne plus être approché publiquement par ce Patoúlis. Moi… je peux vous le dire ».
« L’autre jour j’ai rencontré le président de Région en Épire, après la visite sur place de Mitsotákis. Il m’a dit, – j’ai deux fils comme vous, j’ai connu votre fils lors de la visite du Premier ministre, un jeune homme remarquable. Je lui dis – mais mon fils n’est pas un policier – Non, me dit-il, – c’est votre fils qui organisa la tournée sur place de Mitsotákis ».
« Je ne peux pas vous en dire davantage. Je sais que la famille Mitsotákis… pousse à la débauche, comme elle dépouille tout ou qu’elle achète certains, cette famille elle est championne en Grèce dans le domaine du Janissairisme politique, elle l’a prouvé en 1965 avec l’Apostasie qui a fait tomber le gouvernement de Georges Papandréou ».
« Elle l’a prouvé quand Konstantínos Mitsotákis avait acheté un député d’un autre parti pour se fabriquer une certaine majorité à la Chambre et ainsi accéder au poste de Premier ministre… C’est bien mon âme que je vous livre ici à travers cette interview… pourtant, j’ai été déjà questionné sur cette affaire, et d’autres journalistes ont alors écrit sur cette même histoire ».
« Bien entendu, mon amour envers mon fils ne diminuera jamais, car je suis un adepte du libre choix… cependant, mon fils est utilisé en ce moment pour que certains puissent en rajouter à leur guise, comme l’autre jour, quand son nom a figuré sous celui de Stan Greenberg, le conseiller américain de Mitsotákis, s’agissant de la liste de ceux qui donc ont accompagné le Premier ministre lors de son déplacement à Thessalonique. C’est le libre choix de Freddy, Fréderic, de faire ce qu’il veut ».
« Cependant, je réalise qu’il a peur lorsqu’il s’agit de me téléphoner. Tout cela est bien embarrassant. Et Freddy l’aura compris le jour de la chute de Mitsotákis. Il le comprendra même très bien. Enfin, ce que je voudrais vous dire, ce que l’ordre pour cerner mon domicile a été donné en la présence de mon fils, car c’est sa mère qui m’en a alerté à 4 heures du matin, pour que je me cache dans le garage ».
Trángas sait de quoi il parle, directement, comme surtout indirectement. Et notamment quand il est question de Janissairisme, pratique politique ottomane d’abord mais pas seulement. Car dans la pratique du devchirmé, qui signifie « impôt du sang » ou « la collecte d’enfants », les jeunes chrétiens des Balkans et d’Anatolie étaient pris à leurs familles, convertis à l’islam et enrôlés dans la célèbre branche des Janissaires, classe spéciale de soldats et de cadres chez les Ottomans.
Et pour ne rien oublier des… détails parfois fondateurs de l’histoire, ces garçons des infidèles pris dans le devchirmé travaillaient le plus souvent dans des lieux comme les hammams, mais ils pouvaient également servir d’esclaves sexuels du Sultan. D’où leur dévotion et leur fidélité par la suite.
Autrement-dit, l’esclavage sexuel a constitué un élément central du système politique durant toute l’histoire de la doctrine ottomane. Ainsi, au deuxième harem du Sultan nommé Enderûn, le viol et la pédophilie ont régné sur l’empire ottoman pendant des siècles, sous… la fameuse loi ottomane. Les postes les plus élevés étaient occupés par les… diplômés d’Enderûn, dans cet État… alors gouverné par une « Gay Pride – Sciences Politiques », plutôt permanente.
Car, plus la relation de l’intéressé avec le Sultan était étroite, plus l’impétrant accédait aux plus hautes responsabilités. Notre regretté spécialiste Neoklís Sarrís, historien, politologue, écrivain et turcologue, il était originaire de Constantinople et de ce fait il avait une parfaite connaissance du turc ; en savait autant quelque chose. Il m’en avait parlé durant les années 1990, quand j’ai eu la chance de le rencontrer car en ces années 1990, je préparais mon travail de thèse sur la Guerre gréco-turque en Asie mineure de 1919-1922.
Et le livre de Neoklís Sarrís « Réalités ottomanes », est autant précis sur cette question. « Dans la deuxième partie du domaine des palais de Topkapi, outre le Harem féminin, il y a le fameux Enderûn. Conceptuellement, cela signifie exactement ce qu’est le Harem, essentiellement un lieu interdit aux autres, où à la place des femmes il y a des hommes. Autrement dit, c’est le harem des garçons du Sultan ».
« Il y a d’ailleurs un parallèle étonnant, entre l’organisation Enderûn et celle du Harem disons classique. Il y a un rapport exact entre les fonctionnaires et en somme serviteurs du Sultan dans les deux endroits et notons-le encore, le Harem des femmes était gardé par des eunuques noirs, tandis que l’Enderûn était gardé par des eunuques blancs ».
« Le Sultan partagea bien entendu sa vie, entre les deux parties du palais. Au Harem il était entouré de femmes, et à Enderûn par les goulema, ce qui dans une traduction fidèle deviennent ses oglania, du turc iç, l’intérieur et oğlan, le garçon, d’où en grec moderne le terme tsogláni, synonyme comme par hasard de salopard et de traître ».
« Il ne faut pas perdre de vue que l’Enderûn était à la fois une école politique et d’administration. L’admission y été suivie d’un processus de sélection pour de nombreux adolescents, jugés selon leurs qualités physiques et mentales. En particulier, cette institution était quelque part le berceau de la culture des gouvernants ottomans ».
« La dernière classe des apprentis sortis de l’Enderûn était celle des Aga, hommes, en même temps issus de l’environnement le plus proche du Sultan. En fait, ils étaient tous de grands serviteurs du Sultan… dans tous les sens du terme et… leur diplôme l’Enderûn signifiait l’accession à de nombreux postes administratifs très convoités. Les postes les plus élevés étaient donc occupés par ces… grands enfants, en raison du lien étroit qui s’était établi entre eux et le Sultan ».
Ces observations confirment non seulement la nature servile de la réalité ottomane, mais aussi quelque chose de plus: que les dirigeants ont également exercé leur pouvoir en tant que serviteurs du système qui les voulait comme esclaves de luxe, voire… de proximité charnelle avec le Sultan.
« Si l’on y prête attention, les plus hauts fonctionnaires occupaient des postes élevés car ils servaient littéralement le Sultan du temps de leur initiation au sein de l’Enderûn. Celui qui ramassait par exemple ses chevelures lorsqu’il se faisait couper les cheveux, ou celui qui portait ses chaussures ou ses vêtements, croyait que cet acte était un grand investissement politique et qu’à travers lui, il pouvait espérer qu’un jour il deviendrait par exemple le gouverneur d’une région de l’empire ».
Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, cette même pratique se trouve au centre de l’actuelle gouvernance des invisibles… exercée sur notre monde des visibles, en passant par les mêmes pions ; politiciens d’ailleurs issus du microcosme des initiés de bas niveau, au besoin idiots, violés et finalement sociopathes. Pions, surtout passés par les « grandes écoles » initiatrices entre autres, via les viols et les autres sévices. Mitsotákis par exemple est passé par de telles… « écoles de charme politique » et il en aurait d’ailleurs depuis, porté les stigmates.
Yórgos Trángas avait précisé dans ses émissions sans jamais être démenti que « Mitsotákis, cet ancien tendre compagnon de Nikos Georgiádis, ce Mitsotákis donc a été soigné à maintes reprises par la médecine des psychiatres, parfois enfermé au luxueux domicile d’un armateur grec de Londres, histoire de bien dissimuler l’affaire ».
Le problème c’est que Yórgos Trángas qui ne voulait surtout pas être vacciné et qui souffrait d’un bien long diabète, a été comme il l’a dit lui-même, contaminé par un collaborer triplement vacciné en novembre dernier. Il s’est retrouvé à l’hôpital… le plus proche du Régime qu’il soit, et il a sitôt réclamé une thérapie à base d’anticorps dits monoclonaux.
Cette thérapie que le Régime réserve à ses sbires et dont la diffusion est quasi-directement contrôlée par le bureau de Mitsotákis, au même titre que l’attribution des places aux quelques rares soins intensifs du pays, eh bien, cette thérapie aurait-elle été refusée à Trángas. Étrangement, l’état de santé du vieux journaliste s’est empiré très rapidement une fois admis à l’hôpital, son diabète a ainsi fait le reste mais pas vraiment tout. Une dernière administration d’un agent de contraste… en vue d’un examen a été fatale à Yórgos Trángas, surtout qu’il était diabétique ; ses reins ont tout simplement cessé de fonctionner.
Zóis Béglis, en tant qu’ancien médecin en chef ayant dirigé le Service pathologie du grand hôpital de la Marine nationale est de cet avis, il suggère en conséquence à la famille de Trángas, que de réclamer le dossier médical issu de sa dernière hospitalisation et ensuite, d’agir ou pas devant la supposée… justice.
Entre temps, et déjà, Dimítris Gákis, ami politique du défunt, médecin et ancien chef de l’AHEPA, grand hôpital, de Thessalonique, vient de saisir la Cour suprême, lui demandant d’enquêter sur les circonstances de la mort de Yórgos Trángas. Sa requête, adressée au Parquet de la Cour suprême a été rendue publique par certains médias qui ne sont pas aux ordres du Régime.
« Selon nos informations, Yórgos Trángas avait réclamé des anticorps monoclonaux, mais sa demande semble avoir été rejetée. La persécution incessante, laquelle a conduit à l’extermination professionnelle de Yórgos Trángas, et qui émanait tout droit du gouvernement, est déjà bien connue. Sa disparition physique cependant, nécessite plutôt une enquête du Parquet, immédiate et approfondie ».
« Le refus d’administrer des anticorps monoclonaux à une personne à haut risque, et qui avait une indication absolue d’administration, soulève de fortes suspicions, surtout qu’ils ont été largement administrés à de patients COVID, proches du Régime, ce que Yórgos Trángas avait dénoncé publiquement à maintes reprises ».
« Il doit être immédiatement recherché s’il y a eu une telle demande de la part des médecins hospitaliers qui l’ont soigné, s’il y a eu un refus ou sinon un retard dans l’approbation de cette thérapie par le comité ministériel compétent, et en fin de compte, tous les documents nécessaires doivent être divulgués, pour ainsi établir les éventuelles responsabilités, voire pour déterminer s’il y a eu ou pas, un plan conduisant tout droit à son extermination physique ».
C’est bientôt Noël, sauf qu’il est fini depuis un moment, et déjà pour notre vieux journaliste. Nous lui rendons hommage aujourd’hui, sachant qu’il dialoguait parfois ouvertement avec le côté obscur de la force, sauf qu’il n’avait pas cédé comme tant d’autres sur toute la ligne ; ligne dont il savait bien s’en méfier. D’où peut-être sa disparition de cette manière.
Finalement, de l’esclavage sexuel, constituant un élément central du système politique à travers la doctrine ottomane, à l’actuelle pédocriminalité politique comme autant sociale et symbolique, la distance est seulement historique. Puis, il arrive alors le temps des génocides. Sauf que comme le pensent certains, « cette mort présumée assistée de Yórgos Trángas est une faute de plus et de trop, accomplie par le psychopathe Mitsotákis ». Plusieurs réactions et faits politiques sont en cours depuis, c’est autant vrai ; nous y reviendrons très prochainement sur ce blog.
Pour les initiés du dernier satanisme, les peuples et les nations infantilisés sont… les derniers sujets à violer, voire à exterminer. Il y a qu’à observer tout ce délire diabolique au sujet de la vaccination rendue obligatoire… tel on dirait un viol.
Chers amis et amis du blog… bioconservateurs et fières de l’être, sous les apparences d’un pays parfois profond comme en Thessalie et même bien au-delà, restons si possible unis et fidèles au poste. C’est… bientôt Noël !
source : http://www.greekcrisis.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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