Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
30 novembre 2021 (Society for the Protection of Unborn Children) — La vérité « dévastatrice » sur l’auto-avortement à domicile par pilule abortive a été révélée après que des demandes d’accès à l’information aient dévoilé que plus de 10 000 femmes ont dû être hospitalisées en Angleterre en 2020 après avoir souffert de complications graves.
Une enquête, qui comprenait 85 demandes soumises au National Health Service (NHS), a montré qu’une femme sur 17 ayant utilisé des services d’avortement par pilules-reçues-par-la-poste en 2020 a souffert d’effets secondaires si graves qu’elle a dû être hospitalisée.
L’enquête a révélé que 5,9 % des femmes ont dû être traitées en raison d’avortements incomplets, ces femmes conservant [en elles] des parties de leur bébé avorté.
- 3 % des femmes ont dû subir une évacuation chirurgicale des restes de leur enfant à naître après l’échec de la pilule abortive.
- 2,3 % des femmes ont été traitées pour des hémorragies.
Le taux de complication reflète des études et des rapports similaires, l’enquête concluant que : « Nous pouvons dire que les complications, résultant de l’échec du procédé d’avortement par pilules, sont fréquentes et doivent être prévues. »
Vous pouvez accéder à l’intégralité de l’étude et des conclusions ici.
Les complications sont « courantes », mais ne sont toujours pas signalées
L’enquête, menée par Percuity LTD et dirigée par le consultant Kevin Duffy, a également révélé que les prestataires de services d’avortement et le Department for Health and Social Care (DHSC) ne signalaient pas l’échec de la pilule abortive comme une complication, bien que de tels échecs entraînent un traitement hospitalier ─ ce qui signifie que moins d’une complication sur cinq était signalée.
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