par Thomas Debertrand.
Sommes-nous des anti-vax ? Est-ce grave docteur ?
Premièrement, les injections utilisées dans le cadre de la supposée « pandémie de Covid-19 » ne sont pas des vaccins classiques (exceptés les vaccins chinois, Novavax et GSK-Sanofi, pas/peu utilisés en occident et dans une grande partie du globe) mais de l’ARN dans des nanoparticules lipidiques (Pfizer et Moderna) ou de l’ADN génétiquement modifié (Astrazeneca, Johnson & Johnson, Sputnik). Ces deux dernières technologies sont par ailleurs expérimentales.
Être contre ces injections ne fait donc pas de nous des « anti-vax » à proprement parler, mais nous pourrions dire des « anti-injections expérimentales d’ARN / d’ADN ».
Mais, est-ce totalement absurde de refuser ces injections ? Voici plusieurs arguments qui expliquent pourquoi au contraire cela peut sembler raisonnable :
– Les morts du Covid augmentent drastiquement depuis qu’on commence à injecter la population avec ces produits expérimentaux : 1,57 millions de morts selon l’OMS du 1er décembre 2019 au 1er décembre 2020, 3,23 millions de morts du 1er décembre 2020 au 3 octobre 2021. La vaccination ayant commencé en décembre 2020.
– De nombreux pays qui n’avaient pas eu d’épidémie de Covid avant la vaccination se sont retrouvés avec beaucoup de « décès Covid » juste après le début de leur campagne vaccinale [2].
– Des chercheurs ont trouvé des éléments inquiétants dans les injections, notamment de l’oxyde de graphène.
– Les effets secondaires graves et décès post-vaccinaux sont nombreux, d’après les témoignages de soignants et de citoyens (notamment les jeunes et les sportifs), et les sites officiels rapportant les reports post-vaccinaux. Le Docteur Zelenko estime qu’il y a déjà des millions de morts suite aux injections, et des centaines de millions d’effets secondaires significatifs [3].
– Les scandales autour des « injections » s’accumulent.
Par exemple, les pays scandinaves suspendent l’utilisation de l’injection Moderna pour les jeunes en raison du risque qu’ils encourent de développer une myocardite ou une péricardite suite à l’injection. Cela n’a pas empêché le patron de Moderna, Stephane Bancel, de déclarer le 26 octobre 2021 dans le Parisien : « Il faut vacciner les jeunes enfants ». Finalement, le 8 novembre 2021, nous pouvons lire dans le Parisien : « La Haute Autorité de santé, s’appuyant sur le nouvel avis de l’Agence européenne des médicaments et sur le rapport d’Epi-Phare confirmant le risque de myocardite et de péricardite, préconise de se passer du vaccin Moderna chez les jeunes ».
Nous pouvons également citer le scandale des « vaccins impurs » ou des « fioles souillées » au Japon, dont les autorités ont débusqué 1,6 millions de « vaccins » Moderna contenant des particules métalliques.
Egalement, le 2 novembre 2021, les médias admettent qu’une fraude de grande ampleur, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée, la veille, par le British Medical Journal. L’ancienne directrice de Ventavia montre en effet que les données ont été falsifiées, les patients non suivis malgré des effets indésirables, et l’étude menée sans double aveugle.
– Les injections n’ont pas d’efficacité sur la contamination et la transmission de la maladie, ce qu’admet Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses aux États-Unis, le 28 juillet 2021 sur la chaîne MNSBC : « Lorsque l’on analyse le niveau de charge virale dans le nasopharynx d’une personne vaccinée et infectée par le variant Delta, c’est exactement le même que celui relevé dans le nasopharynx d’une personne vaccinée ». Cela rend, au passage, injustifiable sanitairement l’utilisation du pass sanitaire.
– Les technologies ARN et ADN utilisées sont expérimentales, toujours en phase de test, et semblent être capables de modifier le génome humain. Par ailleurs, le fait qu’elles programment les cellules à fabriquer elles-mêmes des grandes quantités de protéines spike, elles-mêmes en cause dans les symptômes graves du Covid, ne semble pas pertinent [1].
– Le fait qu’on interdise et censure les traitements efficaces depuis le début de l’affaire Covid-19 , qu’on fasse une propagande d’ampleur inédite sur les injections, et qu’on force les gens (directement ou indirectement) à se faire piquer une puis plusieurs fois, font logiquement penser qu’il se trame quelque chose de malsain derrière ces injections.
– Enfin, les deux premières doses n’ont pas fonctionné et les autorités demandent désormais une troisième dose, et même une quatrième en Israël, sans preuve que cette fois ci, ce qui n’a pas marché deux (ou trois) fois marchera. Cela veut dire qu’accepter la première injection, c’est accepter la deuxième puis la troisième. Et ensuite des injections tous les trois mois par exemple. Rentrer dans ce schéma c’est mettre le doigt dans un engrenage interminable et inconnu.
Il est difficile à la vue de ces arguments, d’en vouloir aux « anti-injections expérimentales d’ARN / d’ADN » de refuser de rentrer dans ce cercle vicieux des injections, et de se battre partout dans le monde, pour mettre fin à cette tyrannie covidiste, qui s’éloigne chaque jour un peu plus de toute justification sanitaire.
Pour ce qui est des vaccins conventionnels antérieurs au Covid-19, c’est une autre affaire. Le sujet des vaccins (et désormais des injections de thérapie génique) mérite d’être mis sur la table sérieusement, et la question de leur légitimité doit être étudiée dans un débat public neutre et transparent. Ce débat que refuse si farouchement la majorité des « pro-vax ». Plus important encore, nous devons revenir sur toute les vaccinations obligatoires et graver dans la roche la liberté vaccinale.
S’il y a bien une chose pour laquelle le Covid-19 a été utile, c’est la remise en question de l’efficacité, de la neutralité et de la transparence des systèmes de santé nationaux et internationaux, mais également de la désormais ex-intouchable vaccination.
Article original : https://au-dela-du-climat.org/2021/11/08/sommes-nous-des-anti-vax-est-ce-grave-docteur/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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