Seule un loi 96 ferme et sans échappatoire pourra renverser la vapeur
Les allophones ont trahi notre confiance
Les allophones viennent d’être reconnus coupables de rechercher l’anglicisation, dès qu’ils le peuvent, dès que la loi le permet, c’est-à-dire à partir du niveau Cégep.
Les chiffres officiels d’un rapport récent sont clairs et nets et ne laissent plus aucun doute planer sur les véritables intentions des allophones parachutés au Québec: devenir des anglos/Canadiens/Nord-américains, et non pas des néo-Québécois à part entière.
Ils se positionnent en tant qu’ennemis de la nation québécoise de souche à laquelle ils refusent de s’associer.
Ils le démontrent déjà amplement en votant en bloc pour le même parti anti-nationaliste (PLQ), le parti officiel des anglophones et des allophones, de plus abandonné par les francophones.
Les allophones ne sont pas nos alliés. Ils sont de l’autre bord. Du bord de l’assimilation à l’anglais.
Il y a désormais une majorité d’allophones dans plusieurs cégeps anglos.
Au cégep Vanier, dans le nord de Montréal, 52 % de la clientèle était allophone en 2020.
Lui aussi dans la métropole, le Collège Marianopolis compte 53 % d’étudiants qui n’ont ni le français ni l’anglais comme langue maternelle.
Les allophones forment également une majorité dans le populeux cégep Dawson, avec 41,6 %.
En fait, la part d’étudiants allophones dans le réseau collégial de langue anglaise est en progression depuis l’an 2000, passant de 30 % à 38 % cette année.
Lieu d’anglicisation
Pour le démographe de l’Institut national de la recherche scientifique qui a compilé les données obtenues par notre Bureau parlementaire, le réseau collégial anglais participe à l’anglicisation des allophones.
« Les allophones, c’est un groupe très hétérogène, avec beaucoup de langues maternelles, et ils se rejoignent avec une langue commune qui est l’anglais, souligne Patrick Sabourin. Dans ce sens-là, le cégep anglais est une espèce de lieu de socialisation où le point commun est la langue anglaise. »
LANGUE MATERNELLE PARLÉE DANS LES PRINCIPAUX CÉGEPS ANGLOPHONES
2018
- Français: 26 %
- Anglais: 37 %
- Autres: 37 %
2019
- Français: 26 %
- Anglais: 35 %
- Autres: 39 %
2020
- Français: 26 %
- Anglais: 36 %
- Autres: 38 %
Cégeps répertoriés : John Abott, Dawson, Vanier, Marianapolis, Champlain
Source: les allophones veulent s’angliciser
Les allophones ont trahi la confiance que nous avions placée en eux afin qu’ils nous secondent dans la construction d’un Québec toujours plus francophone, un lieu où on vit, travaille, se divertit et se cultive uniquement en français.
Ils ne respectent pas le contrat social qui les lie à leur acceptation parmi nous.
Conséquemment, ils ne méritent pas de rester ici. La relocalisation dans le ROC s’impose d’elle-même comme solution expéditive et punitive.
Ces futurs anglo-allophones se fichent éperdument de ne pas pouvoir communiquer avec nous. Ils coupent les ponts au profit des anglos.
Et comme ces mêmes anglos, ils seront les prochains à exiger qu’on s’adresse à eux en anglais.
C’est une situation tout à fait inaccceptable, pour ne pas dire révoltante.
Seule une nouvelle loi 96 forte et sans échappatoire pourra renverser la vapeur et colmater les brèches béantes.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec