Les féministes, les homosexualistes comme les antiracistes se disent défendre les « minorités » (avec des grands mots) contre les méchants (comme nous) qui osent commettre des crimes gravissimes (faire jouer les petites filles avec des poupées, les petits garçons avec des camions, ou soutenir le fait qu’un homme qui se sente femme ne ressentira jamais les douleurs d’un accouchement ou des menstruations, faire prévaloir qu’un étranger entré illégalement en France aurait déjà été viré à coups de pompes dans le cul dans n’importe quel autre pays du monde (Cuba, Venézuéla, Israël…)).
Or, ces gens sont quand-même très majoritairement des blancs, des hommes, des « hétéros » post-virils et des post-chrétiens. Les rares « minoritaires » présents dans leurs rangs sont (principalement en ce qui concerne l’antiracisme) soit des enfants issus de minorités mais adoptés et élevés par ou comme des blancs (Kamelia Jordana), soit des ethnistes (Obono) qui espèrent tirer de la chouine permanente le même genre de rente (en argent ou en notoriété) que tirent certaines associations proches des thèmes de l’ananas.
Regardez les stars de la gôsh sur internet : Usul, Bonjour Tristesse, MJ Fermez-là, le bouseux magasine, etc.
De bons gaulois avec des noms bien français, tous !
Or, ces gens-là se disent « Défooonnndre Les Minoritays » sans demander l’avis de ces dernières. Ils parlent en leur nom, les mettent au même niveau que des victimes du nazisme en 42 et veulent se parer de l’aura du sauveur vis-à-vis de personnes qui n’auraient pas les capacités intellectuelles pour se sauver elles-mêmes si elles étaient confrontées à un grave danger.
Ce qui est un peu la définition du paternalisme qui a été un des moteurs de la pensée et de l’idéologie colonialiste de type Jules Ferry : « Civiliser les races inférieures pour les sauver du dénuement dans lequel elles seraient« …bombarder les Afghans et les Irakiens pour leur apporter la démocratie.
C’est un peu ce mécanisme qui a permis à des gens de gôsh de promouvoir tel ou tel totalitarisme. Bref, gratte un gauchiste, tu trouveras un fasciste en-dessous. Ou comme dirait Greg Toussaint : « On me traite de nazi, mais c’est injuste, je n’ai jamais voté à gauche.«
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation