Parions que le Conseil constitusionnel lié à Pfizer va décider (sur ordre armé, de quelle « armée » ?) que tout va bien, que l’exécutif n’a rien à retoquer, ou seulement quelques points, en fonction de sa frousse.
Ce qui fâcherait les manifestants.
Qui en feraient des manifs.
La situation se résoudrait vers la mi-septembre ; j’espère qu’avant.
L’exécutif se ferait exécuter, c’est à dire siffler ses postes, par une force armée, mais laquelle. Un scénario comme celui des US démarré en janvier 2021, mais en décalé, avec ses spécificités françaises.
Ou bien remporterait le projet UERSS, sur menace terroriste.
En attendant, restons groupés et nombreux au cours des manifs, l’exécutif attaquant de préférence les faibles et isolés.
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