Le professeur parle des Indiens (de l’Inde) qui préfèrent choisir leur mort, en l’occurrence par noyade, que de se faire vacciner.
Ce n’est pas de l’instinct de survie, puisqu’ils vont mourir. C’est de l’instinct de vie : l’être humain se respecte, il a une âme, et cette seringue est perçue comme l’instrument d’un viol de l’âme. L’injecté ne se contrôlera plus, volontairement ou non – le système immunitaire agissant indépendamment de la volonté. En se noyant, il sauve son âme, il sauve son libre arbitre.
Ces Indiens restés religieux montrent plus d’humanité que les petits-bourgeois sans Dieu, mais très accablés de maîtres, qui se vaccinent par conformisme ou confort, ou désir de mort très enfoui dans l’inconscient. Après tout, quand on est matérialiste comme ils le sont, autant disparaître quand on n’a plus accès aux joies matérielles, au contact des autres, à la bonne bouffe et à la fuite en avion, pour faire taire l’âme enchaînée qui réclame et qui piaffe dans ses liens.
Merci professeur Montagnier, pour votre défense des enfants, menacés de mort, de maladie génétique ou de tare, héréditaire en plus !
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