par Tom Pappert.
Après plus d’un an d’étude, les scientifiques du MIT ont conclu que distanciation sociale et règles d’occupation limitée sont totalement inutiles.
Une nouvelle étude, menée par les scientifiques du MIT et publiée cette semaine, révèle que la distanciation sociale d’environ deux mètres, ainsi que les débilités égrainées concernant les gestes barrières par les gouvernements de la plupart des pays dits civilisés n’ont pas fait grand-chose pour ralentir la propagation du virus Covid-19.
Car… finalement, la seule façon de réduire la propagation du Covid-19 est de ne pas foutre les pieds dans les zones très peuplées et dans les zones où les gens font de l’exercice intense, comme les gymnases, les lancers de nains arrosés à la bière & whisky, les concours de bisous avec la langue… ainsi que les compétitions de crachats de noyaux de cerises.
L’étude des courbes de déclarations de cas (même lorsqu’un Castex cache la sienne) montre que les États et les villes qui ont procédé à des confinements débiles (pléonasme) ont connu les plus fortes pointes de Covid-19. Ainsi l’Argentine, pays qui a le plus confiné au monde, sort en queue de peloton.
Masques ou gestes barrières, on peut choisir
« Nous soutenons qu’il n’y a pas vraiment d’avantage à la règle des deux mètres, surtout lorsque les gens portent des masques », a déclaré le Pr du MIT Martin Z. Bazant, selon la NBC. « Elle n’a vraiment aucun fondement physique parce que l’air qu’une personne respire en portant un masque a tendance à monter et à descendre ailleurs dans la pièce, de sorte qu’elle est plus exposée à l’arrière-plan moyen qu’à une personne à distance ». En d’autres termes, le port généralisé du masque peut simplement changer les vecteurs physiques de transmission dans une pièce donnée plutôt que de l’arrêter, ce qui rend inutiles les règles de distanciation de deux mètres.
Dans leur étude, Bazant et les autres chercheurs déclarent que « le respect de la règle des deux mètres limiterait la transmission de grandes gouttes, et le respect général des gestes totalement barrés [limiter le temps passé dans les zones densément peuplées] limiterait la transmission aérienne à longue portée ». Dans les règles barrières qui marcheraient, les chercheurs écrivent : « Pour réduire au minimum le risque d’infection, il faut éviter de passer de longues périodes dans des régions très peuplées. On est plus en sécurité dans les espaces ayant un grand volume et des taux de ventilation élevés… »
Bazant a également déclaré aux médias : « Notre analyse montre que de nombreux espaces qui ont été fermés n’ont pas besoin de l’être. Souvent l’espace est assez grand, la ventilation est assez bonne, le temps que les gens passent ensemble est tel que ces espaces peuvent être exploités en toute sécurité, même à pleine capacité, et ce, même si les calculs des modèles montrent que le volume de ces espaces n’est vraiment pas très bon ». Il a ajouté : « Je pense que si vous faites les calculs, même à l’heure actuelle pour de nombreux types d’endroits, vous constaterez qu’il n’y a pas besoin de restrictions d’occupation ». Comme quoi, vous auriez pu boire un canon au troquet depuis des mois.
Pfizer rime avec Alzheimer
Suite à une étude sur le vaccin Pfizer qui pourrait causer de graves maladies neurodégénératives dues à des prions cérébraux créés par le vaccin de type ARNm, le MIT déclare : « Les vaccins SARSCoV-2 actuels à base d’ARN ont été approuvés aux États-Unis au moyen d’une ordonnance d’urgence sans tests de sécurité à long terme approfondis. Dans le présent document, on a évalué la possibilité que le vaccin Pfizer contre le Covid-19 provoquerait une maladie déclenchée à base de prions chez les vaccinés. Selon les CDC, les maladies à base de prions sont une forme de maladies neurodégénératives, ce qui signifie que le vaccin Pfizer est potentiellement susceptible de causer des dommages à long terme et des effets négatifs sur la santé du cerveau ».
source : https://nationalfile.com
traduit par Tanguy pour Le Média en 4-4-2.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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