L’Académie de médecine a publié le 8 avril un communiqué qui alerte — il était temps ! — sur les « graves complications qui commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines » des suites des prélèvements nasopharyngés qui sont effectués pour — soi-disant — « détecter le Covid-19 » :
« Le prélèvement nasopharyngé suivi de la détection du génome viral par RT-PCR est devenu la méthode de référence pour le diagnostic de l’infection par le Sras-CoV-2. L’écouvillonnage nasal est également nécessaire pour la réalisation d’un test antigénique.
Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite [1-3]. »
Et lorsque les médias alternatifs alertaient sur les risques liés à l’usage de ces prélèvements, ils étaient traités de complotistes…
Rappelons que l’écouvillon de 15 cm de long va titiller la très fragile plaque cribriforme qui est étroite et profondément rainurée ; elle soutient le bulbe olfactif et est perforée par des foramines pour le passage des nerfs olfactifs. Les foramines situées au milieu de la rainure sont petites et transmettent les nerfs à la voûte des fosses nasales ; celles des parties médiane et latérale de la rainure sont plus grandes — les premières transmettent les nerfs à la partie supérieure de la cloison nasale, les secondes à la conque nasale supérieure. Une plaque cribriforme fracturée peut entraîner un dysfonctionnement olfactif, un hématome septal, une rhinorrhée du liquide céphalo-rachidien (LCR) et éventuellement une infection pouvant conduire à une méningite. La rhinorrhée du LCR (liquide clair qui s’écoule du nez) est très grave et considérée comme une urgence médicale.
Voici comment se positionne l’écouvillon en question lors du test PCR du Covid :
Voici maintenant la procédure pour effectuer ce test, selon l’UC Davis Medical Center à Sacramento :
« Le test Covid-19 consiste à insérer un écouvillon de 15 cm de long (comme un long coton-tige) dans la cavité entre le nez et la bouche — écouvillon naso-pharyngé — pendant 15 secondes et à le faire tourner plusieurs fois. La même manœuvre est ensuite répété dans l’autre narine [avec le même écouvillon – NdT] pour s’assurer qu’une quantité suffisante de matériel est recueillie. L’écouvillon est ensuite inséré dans un récipient et envoyé à un laboratoire pour y être testé. »
L’Académie de médecine préconise donc de réserver la réalisation de ces tests « aux professionnels de santé formés » et leur recommande de s’enquérir d’éventuels antécédents ORL avant d’y procéder.
« Afin de ne pas négliger le risque lésionnel induit par la banalisation des prélèvements nasopharyngés effectués massivement dans le contexte du Covid-19, l’Académie nationale de médecine rappelle les bonnes pratiques à respecter :
- s’enquérir, avant tout prélèvement, d’éventuels antécédents accidentels ou chirurgicaux de la sphère ORL pouvant modifier l’anatomie des cavités nasales et sinusales, notamment les interventions concernant la cloison, le cornet nasal inférieur et les sinus de la face [4] ;
- ne pas placer la tête du patient en hyperextension lors du prélèvement, mais la maintenir en position naturelle, le menton parallèle au sol ;
- introduire l’écouvillon en suivant horizontalement le plancher de la cavité nasale et ne le dévier en aucun cas vers le haut, en direction de la base du crâne. »
Elle préconise également de privilégier des prélèvements salivaires pour les enfants :
« De plus, l’Académie nationale de médecine recommande :
- de réserver la pratique des prélèvements nasopharyngés aux professionnels de santé formés pour la réalisation de ce geste dans des conditions techniques rigoureuses ;
- chez les enfants, de privilégier les prélèvements salivaires pour leur sécurité et leur acceptabilité. »
Voici les quatre études auxquelles se réfère l’Académie de médecine :
Mise en garde contre les futurs autotests
L’Académie de médecine met également en garde contre l’utilisation des autotests, qui doivent arriver en pharmacie à partir du 12 avril. Ceux-ci ne nécessitent pas un prélèvement aussi profond que les autres, mais l’Académie recommande d’alerter les utilisateurs sur le fait que
« l’auto-prélèvement pouvant exposer à des faux négatifs lorsque l’écouvillonnage est trop timide et superficiel, mais pouvant aussi devenir dangereux lorsque l’écouvillonnage est trop profond et dirigé dans la mauvaise direction. »
Et ne parlons même pas des faux positifs ! Et puis, on apprendra peut-être — dans les prochaines semaines/mois — par les médias mainstream/corrompus — via la même Académie de médecine, par exemple — que pointer un pistolet laser sur la tête pour prendre la température affaiblit la glande pinéale ou qu’à tout le moins, ce n’est pas anodin.
« Un thermomètre infrarouge standard absorbe les infrarouges mais ne les émet pas, donc de ce point de vue, ils sont sans danger. Le problème de la sécurité vient des thermomètres laser, qui émettent un faisceau de lumière pour mettre en évidence la zone de l’objet évalué afin d’en assurer la précision. Ce faisceau est classé comme un laser de classe II qui émet une lumière visible inférieure à un milliwatt et peut être vendu comme « pointeur » utilisé pour attirer l’attention sur des informations sur des tableaux intelligents ou des tableaux blancs lors de conférences. Bien qu’ils soient généralement considérés comme sûrs, ils peuvent endommager la rétine si vous fixez le faisceau. Les lasers produisent un faisceau de lumière intense qui peut provoquer des radiations laser sous forme de dommages thermiques aux tissus. Les dangers et le risque de blessure graves augmentent à mesure que l’on se rapproche du laser. »
On peut aussi s’interroger sur les raisons pour lesquelles l’Académie de médecine met aujourd’hui en garde sur les risques liés aux tests nasopharyngés. Bien sûr, compte tenu des risques décrits, on pourrait s’en féliciter et penser qu’il s’agit de bon sens, de précaution et qu’ils n’ont à cœur que l’intérêt des populations. Pourtant, cette dernière année, particulièrement, il est permis de douter que les instances — notamment médicales — aient vraiment à cœur le bien-être des populations. Alors, on peut se poser la question suivante : S’agit-il de préparer, doucement, les populations à accepter l’utilisation d’un autre moyen permettant de soi-disant « détecter le Covid-19 » ? Comme une puce à insérer sous la peau qui pourrait être disponible dès cette année ?
La vente des tests Covid en chiffres et Cui Bono
La campagne de peur est irresponsable et l’entreprise des tests PCR du Sras-CoV-2 est hasardeuse. Entreprise hasardeuse d’un point de vue scientifique, comme nous le verrons plus loin, et très lucrative pour les sociétés qui les vendent et pour tous ceux qui touchent un pourcentage sur les ventes.
Quelque 70 millions de tests ont été réalisés entre le 1er mars 2020 et le 4 avril 2021 en France (57,7 millions de PCR et 12,4 antigéniques), selon une estimation de la DREES, la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. Et les chiffres s’envolent. Pour la seule semaine du 29 mars au 4 avril 2021, 3,8 millions de résultats de tests PCR et antigéniques ont été validés.
57,7 millions de tests PCR effectués en France depuis un an, et combien de personnes ont subi, subissent ou subiront des complications qui seront sans doute mises sur le dos du Covid-19 ?
70 millions de tests avec un tarif en moyenne égal à 65 euros, combien ça fait ? Environ 4 550 000 000 euros… 4 milliards… une manne ! Et ce n’est que pour la France ! Alors imaginez le total mondial qui doit être vertigineux… Voici un tableau statistique issu du site Statista pour le nombre de tests utilisés par les pays les plus impactés, au 6 avril 2021 :
Le total ? Il n’est pas mentionné par Statista, mais j’ai pris ma calculette : 1 006 109 212 — Plus d’un milliard de tests, alors que tous les pays ne sont pas représentés. Sur worldometers.info et en date du 13 avril 2021 — avec donc une semaine de plus que pour Statista — le total n’est pas plus affiché, mais le site répertorie quasiment tous les pays (scrollez jusqu’au tableau principal depuis l’hyperlien précédent) et affiche des chiffres plus élevés (dus à la semaine d’écart ?) que sur Statista ; par exemple, dans le graphique ci-dessus, les États-Unis affichent 410 979 696, alors que sur worldometers, le total est de 420 832 432. En insérant le tableau de Worldometers dans une feuille de calcul Excel et en additionnant toutes les cellules, le total est de 2 003 394 827, plus de 2 milliards de tests effectués ! Sachant que le prix diffère grandement d’un pays à l’autre, multiplions ce chiffre par, allez, 50 euros pièce, et il s’agit d’une fourchette très, très basse, car les tests coûtent dans certains pays entre 150 et 200 euros. Le total ? 100 169 741 350… plus de 100 milliards d’euros ! Les chiffres sont donc vertigineux, en effet.
En d’autres termes, des milliards et des milliards sont dépensés pour des tests qui ne veulent pas dire grand chose et qui alimentent une « chasse au dahu » moléculaire grâce à laquelle la peur peut être répandue sur le monde comme un fléau biblique, une peur qui permet à certains de s’enrichir de façon répugnante, pendant que ce qui reste des libertés est jeté aux orties et que des millions de vies sont mises en danger.
Et vu comme c’est parti, on comprend mieux pourquoi le mantra « tester, tester, tester » envahit les ondes…
Nous allons maintenant préciser ce qu’est un test PCR, même si le sujet a déjà largement abordé ici et là sur SOTT ; nous entrerons toutefois dans les détails. Mais voyons d’abord rapidement à qui profite entre autres la vente de ces tests PCR.
L’une des personnes qui profite le plus des ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand qui, en 2003, a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angela Merkel, et il est le « Tony Fauci » allemand. Dans son article publié le 10 décembre 2020, William Engdahl précise que Christian Drosten a obtenu un pourcentage sur les ventes de chaque test PCR vendu par Tib-Molbiol (nous y reviendrons plus loin) dans leur accord de marketing mondial avec Roche. Par ailleurs, Engdahl avance que Drosten et les fonctionnaires de l’université Goethe de Francfort, où le premier affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme. Notons que le chef de l’OMS Tedros n’est pas médecin, et que Jens Spahn, le ministre allemand de la Santé, est un ancien banquier qui n’a aucun diplôme de médecine.
Aparté
Pour mettre les choses en perspective dans le contexte qui est le nôtre aujourd’hui, à savoir que le monde est majoritairement gouverné par des psychopathes parasites — et par des suiveurs autoritaristes souvent corrompus, au rang desquels se trouvent des scientifiques — qui usent de sophismes pour nous raconter une fable (celle de leur pseudo-réalité), voici un extrait de l’ouvrage de Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir :
« [les sophistes sont des] maîtres dans l’art de déformer les mots, grassement payés et acclamés par les foules […] capables de faire l’éloge d’une chose mauvaise en la faisant apparaître comme bonne et qui [savent] avec maestria transformer le blanc en noir. [la sophistique est] un danger et une menace qui frappent la vie de l’esprit et celle de la société à toutes les époques. […] les sophistes, doués d’une énorme sensibilité pour les nuances du langage et d’une dose extrême d’intelligence formelle, cultivent le mot, érigent et parfaissent l’usage du mot en art — et […] ce faisant, ils corrompent en même temps le sens et la dignité du mot. [Il est essentiel] de reconnaître que quelque chose peut être magnifiquement fait, représenté, mis en scène, filmé brillamment et cependant être en même temps fondamentalement et essentiellement faux, et pas seulement faux, mais aussi mauvais, inférieur, lamentable, honteux, funeste, vil — et pourtant magnifiquement réalisé ! […] la difficulté à reconnaître les sophistes fait partie du succès de ces derniers. »
On retrouve cet abus de langage au sein d’une mauvaise science devenue religieusement universelle dans laquelle il existe
« un phénomène de « corruption systémique », une entreprise de manipulation généralisée permettant de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d’acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance de cause. »
Et puisque l’on a évoqué plus haut les psychopathes parasites, voici quatre articles qui permettront au lecteur de creuser un peu plus :
Comme l’écrivait Mark Twain dans son Autobiographie, Volume 2 – L’Amérique d’un écrivain — Dictée autobiographique, 2 décembre 1906 :
« Comme il est facile de tromper les gens avec un mensonge, et comme il est difficile de les en détromper ensuite ! »
Les psychopathes au pouvoir ne sont pas des êtres capables de « création », ils détruisent (entropie) parce qu’ils envisagent le monde et les êtres humains comme des objets à exploiter pour en retirer un profit personnel. Il sont capables de vouloir imposer à des milliards d’individus leur vision psychopathique de ce que devrait être la Vie, et de ce que devrait être notre vie ; ils sont capables de fraudes, de mensonges, de corruptions, de tromperies, d’escroqueries, de falsifications, de tricheries, d’artifices, d’altérations, de supercheries, de ruses, de resquilles, de malversations, d’hypocrisie, de crimes, de contrefaçons, d’actes de mauvaise foi, de crimes contre l’humanité, mais ils ne sont pas capables de création, pas plus qu’ils n’ont de sens artistique. Quelle que soit leur « supposée » création, elle ne serait qu’une imitation d’une précédente fraude. Ils sont affligés d’une cécité de l’erreur. C’est la raison pour laquelle il est possible de trouver des schémas directeurs dans leurs comportements, et de percer à jour leurs stratagèmes : dans leur hubris, ils pensent que personne ne verra qu’ils utilisent à nouveau, voire jusque dans les moindres détails, ce qu’ils ont déjà mis en œuvre auparavant — une fraude à l’échelle globale. Mais le Diable est dans les détails, et ce sont justement ces détails qui les perdront, eux et leur pseudo-réalité.
Robert Hare, écrit dans son livre Without Conscience: The Disturbing World of Psychopaths among Us [« Sans conscience — Le monde troublant des psychopathes qui vivent parmi nous », ouvrage non traduit en français], que les psychopathes
« se perçoivent eux-mêmes comme des êtres supérieurs dans un monde hostile où l’homme est un loup pour l’homme, monde dans lequel les autres sont des concurrents dans la course au pouvoir et aux ressources. Ils considèrent en général la générosité et la bonne volonté des autres comme de la stupidité qu’on peut exploiter. »
Ce monde qui leur est hostile est le monde « réel ». C’est la raison pour laquelle ils ont besoin de construire une fausse réalité dans laquelle ils se sentiront « bien » mais qui provoque immanquablement le chaos pour les populations qui y sont soumises :
« Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu’elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s’agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu’il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu’elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu’à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra perdurer. »
Quant à Hervey Cleckley, il écrit dans The Mask of Sanity [« Le masque de santé mentale », non traduit en français] ce qui suit :
« Le vrai psychopathe n’essaie pas systématiquement d’exprimer par l’art ses réactions pathologiques ou ses évaluations déformées de la vie. […] Tout ce que le psychopathe pourrait exprimer serait aussi faux, aussi peu représentatif d’une expérience humaine authentique, que ses promesses, convaincantes mais vaines, que ses protestations éloquentes d’un amour qu’il ne ressent pas. Sa création, malgré son brio technique, n’exprimerait véritablement ni la santé ni la maladie : elle serait une contrefaçon. »
Le test PCR et son utilité dans la perpétuation de la « crise » du Covid-19
Il s’agit en tout premier lieu d’un procédé d’amplification moléculaire qui mime le processus naturel de synthèse de l’ADN.
La PCR ciblée est une technique de réplication ciblée in vitro — ou encore ACP pour « amplification en chaîne par polymérase ». Le principe consiste à obtenir, à partir d’un échantillon complexe et peu abondant, d’importantes quantités d’un fragment d’ADN spécifique et de longueur définie, dont l’ordre de grandeur à retenir est celui du million de copies en quelques heures, ce qui est généralement suffisant pour une utilisation ultérieure. Source
Pour Kary Mullis, l’inventeur de la technique PCR qui lui a permis de gagner le prix Nobel de chimie en 1993, cet examen était avant tout qualitatif et destiné à répondre à la question : l’élément est là, oui ou non, mais il n’était pas du tout destiné à le quantifier, et donc, certainement pas conçu pour poser un diagnostic :
« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »
Voir aussi l’avis d’Alexandra-Henrion Caude sur le sujet : « Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude ».
Ces cycles d’amplification successifs peuvent aller jusqu’à, voire dépassent 40. Plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n’est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d’amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.
Un article pré-publié sur le site medRxiv en juillet 2020 en fait la synthèse :
« Aucune culture virale n’a été obtenue à partir d’échantillons […] avec des cycles d’amplification supérieurs à 24 ou 34, indiquent les chercheurs. La possibilité de cultiver du virus décroit lorsque les cycles d’amplification augmentent. »
Par ailleurs, et histoire de rajouter à la confusion, le nombre de cycles n’est pas le même d’un pays l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre au sein d’un même pays…
L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) avec le génome déjà connu et publié du coronavirus du Sras (Sras-CoV).
En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié cinquante patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras). Ils ont prélevé des échantillons sur deux de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.
À partir du matériel génétique trouvé, ils ont créé trente clones. Tandis qu’ils n’ont pu trouver aucune preuve d’un autre virus connu, ils ont toutefois trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques d’« origine inconnue ».
En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57 pour cent de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient la découverte d’un nouveau virus du Sras-CoV (toute nouvelle découverte étant par ailleurs considérée par les scientifiques comme une ambroisie), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :
« Les amorces pour détecter le nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du Sras, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie. »
Il est utile d’expliquer rapidement ce que sont dans le langage de la recherche génétique une « amorce » et une « sonde » ; voyons pour ce faire les quatre étapes du test PCR qui suivent le prélèvement proprement dit :
- La première étape est celle de la dénaturation réalisée à une température de 95°C, l’ADN double-brin est séparé en ses deux brins d’ADN constitutifs ;
- La deuxième étape est celle de l’hybridation lors de laquelle un oligonucléotide (la sonde) s’apparie à la séquence d’ADN qui lui est complémentaire ;
- La troisième étape est celle de la polymérisation dans laquelle un deuxième oligonucléotide, l’amorce, s’hybride en amont, à quelques paires de bases de distance de la sonde ;
- La quatrième étape est celle de l’émission de fluorescence qui permet d’éventuellement détecter et quantifier un signal fluorescent à même de prouver la présence de ce qui est recherché.
Pour plus de détails, consultez cet article assez simplifié d’où j’ai tiré ce qui précède, ou celui-ci, bien plus fourni. Selon eurofins, les étapes 1 à 4 sont répétées de 35 à 50 fois. Un must !
En mai 2020 déjà, une grande publication comme le Journal of the American Medical Association déclarait qu’« un résultat PCR positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable », tandis qu’une étude récente parue dans The Lancet affirme que « la détection de l’ARN ne peut être utilisée pour déduire le caractère infectieux ».
Dans ce contexte, on ne peut qu’approuver Franz Knieps, directeur de l’association des caisses d’assurance maladie d’entreprise en Allemagne et depuis de nombreuses années en contact étroit avec la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré à la mi-janvier que
« si l’on ne faisait plus de tests, le Coronavirus disparaîtrait. »
Le Coronavirus/Sras-CoV-2 disparaîtrait non pas parce qu’il n’existe pas, mais bien parce que ces tests permettent de gonfler de manière frauduleuse et à outrance le nombre de « cas » dans le seul but de faire perdurer l’illusion d’une pandémie, outil indispensable pour la marche en avant vers un Nouvel ordre mondial.
Les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé des populations sont sans fondement.
L’ensemble du récit officiel du Covid-19 est une supercherie. Nous pouvons assumer de dire qu’il n’existe pas de preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie, d’autant que la létalité réelle du Covid-19 est équivalente à celle de la grippe annuelle. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est celles des ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.
Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal. »
Il est intéressant de noter que même l’hyper-orthodoxe tsar allemand des virus et principal conseiller du gouvernement allemand sur les confinements et autres mesures, Christian Drosten, s’est contredit sur la fiabilité des tests PCR. Dans une interview de 2014 concernant le test PCR pour le Mers-CoV en Arabie saoudite. Il a déclaré ce qui suit :
« La méthode [PCR] est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire du virus. Par exemple, si un tel agent pathogène survole la membrane nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque quoi que ce soit, elle est soudainement un cas de Mers. Alors que des décès étaient auparavant signalés, des cas bénins et des personnes en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie saoudite. Qui plus est, les médias locaux ont porté l’affaire à un niveau incroyable. »
Et même Olfert Landt se montre critique à l’égard des résultats des tests PCR, affirmant que seule la moitié environ des personnes « infectées par le coronavirus » sont contagieuses. Ceci est plus que remarquable car Landt est non seulement l’un des co-auteurs de Drosten dans l’article de Corman et al. — le premier protocole de test PCR accepté par l’OMS, publié le 23 janvier 2020 dans Eurosurveillance — mais aussi le PDG de TIB Molbiol, la société qui produit les tests selon ce protocole.
Malheureusement, ce conflit d’intérêts n’est pas mentionné dans l’article de Corman/Drosten et al., comme vingt-deux scientifiques ne se sont pas privés d’en faire la critique dans une récente analyse approfondie.
Rappelons que les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique.
Rappelons aussi que c’est sur ces tests bidons que se fonde le gouvernement pour nous imposer des mesures liberticides, mettre l’économie mondiale par terre et nous assigner à résidence. Alors répétons-le : médicalement — mais pas politiquement — les tests RT-PCR nasopharyngés ne servent à rien, ils ne détectent pas les infections actives au Covid, et s’avèrent par ailleurs ne pas être sans risque.
Rappelons encore que l’OMS admet que les tests RT-PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19.
Et que les tests antigéniques produisent encore plus de faux positifs que les tests RT-PCR. Le 17 décembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été alertées d’un nombre trop important de faux positifs concernant le test antigénique VivaDiag Test Rapide SARS-CoV-2 Ag, commercialisé par VivaDiag. La Direction générale de la Santé a donc décidé la mise en quarantaine du produit dans les officines et tous les autres lieux distribuant le dispositif. Mais ne vous inquiétez pas, les tests salivaires arrivent très bientôt — et les micropuces DARPA aussi ? — pour mettre de l’ordre dans tout ce capharnaüm sans pour autant détecter quoi que ce soit de plus ou de moins que les autres…
Juste « quelque chose » qui permet de poursuivre le récit mensonger d’une « pandémie » et d’asservir/assassiner les populations, victimes ignorantes d’un monstre tentaculaire.
« La difficulté des mesures à prendre pour résister à la menace […] est proportionnelle au caractère insaisissable de cette même menace. »
~ Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir
Il est temps de saisir le caractère « insaisissable » de cette menace, d’autant qu’elle est, de par son caractère globalisé, de plus en plus « saisissable ».
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)