Le but d’un pardon est de corriger une erreur judiciaire, et non d’empêcher une action judiciaire future. – Joseph Sansone
Par James Howard Kunstler – Le 24 janvier 2025 – Source Clusterfuck Nation
Comme on dit, c’est l’une de ces semaines où des décennies s’écoulent. Vous réalisez que sous la houlette des monstres dirigés par « Joe Biden », le gouvernement américain est devenu une machine démoniaque à détruire des vies, à pervertir la loi et à démolir tous les échafaudages d’un comportement décent. Et maintenant, tout cela doit être réparé, nettoyé, fumigé, rectifié, réhabilité.
Des dizaines de décrets sont sortis du Bureau ovale, annulant quatre années de folie du régime « Biden » dans toutes les directions : Censure, morts. . La recherche sur les gains de fonction, tuée… Interdiction des CBDC … L’appli CBP pour l’aide aux migrants illégaux, supprimée.. frontière fortifiée… les mutants étrangers homicides sont expulsés. … Organisation mondiale de la santé, non merci… Accords de Paris sur le climat, de la daube.. DEI, vacuité de l’ensemble du gouvernement… Green New Deal, au rebut… La « fierté » de la maladie mentale, annulée… La guerre en Ukraine, vers la table des négociations… tout cela en quatre jours et bien d’autres choses encore à venir.
Le sujet sensible DEI est particulièrement illustratif des dangers qui nous guettent encore. Le bloc de Washington cherche désespérément à dissimuler ses agents du chaos en changeant leurs titres de poste et en les déplaçant vers des cachettes situées dans d’obscures circonscriptions de telle ou telle bureaucratie. En tant qu’employés fédéraux, bien sûr, ils ont tous des noms et des comptes de paie consultables, de sorte que vous pouvez être sûrs qu’ils seront découverts où qu’ils se cachent, et sont placés, comme on le leur a ordonné, en « congé administratif ». La DEI étant essentiellement un programme de promotion de l’incompétence, ces employés représentent une cargaison monumentale de poids mort. La prochaine tâche consistera donc à trouver un moyen, dans le cadre des codes de la fonction publique, de les licencier pour de bon. Par exemple, en reclassant leur statut professionnel pour qu’ils puissent être licenciés.
Ce sera certainement un point de friction majeur pour la soi-disant « résistance », l’énorme cadre de Wokistes « activistes » intégrés dans les agences. C’est pourquoi l’armée d’avocats du Parti démocrate intentera des procès pour empêcher le chef de l’exécutif de gérer de manière cohérente les départements de la branche exécutive. Mais il y a un hic : cette fois-ci, la Maison-Blanche ne versera pas directement des sommes considérables aux ONG qui rémunèrent ces avocats proches du blob, et ces derniers ne pourront pas non plus rediriger des fonds du DOJ, du FBI et de la CIA à cette fin. Le président pourrait également trouver un moyen d’interrompre le flux d’argent provenant de fondations financées par des indépendants malveillants tels que George Soros et le fondateur de Linked-in, le milliardaire Reid Hoffman (qui a financé le canular du procès pour « viol » d’E. Jean Carroll et de nombreuses autres farces du Parti démocrate).
Autre point de friction : la libération des prisonniers J-6 graciés fait l’objet d’une vive opposition de la part de juges fédéraux du district de Washington, tels que Tanya Chutkan et Amy Berman Jackson. Ils ne jouissent d’aucun privilège ou prérogative pour avoir exprimé des opinions préjudiciables sur des affaires annulées, ni pour ne pas s’être acquittés des formalités administratives nécessaires à leur libération. Ils peuvent être mis en accusation pour cela à la Chambre des représentants. S’ils font activement obstruction aux libérations, le nouveau département de la justice pourrait envisager l’application de l’article 242 du titre 18 du code des États-Unis – Privation de droits sous couvert de la loi.
Pendant ce temps, les voyous de la prison de Washington ont détenu illégalement cette semaine des prisonniers graciés après des années de mauvais traitements flagrants, y compris l’isolement dans des « trous » en sous-sol sans lits, couvertures ou eau, et des agressions physiques directes que l’on pourrait qualifier de « torture ». Tout cela a été toléré par la maire de Washington, Muriel Bowser, en dépit des nombreux rapports publics faisant état d’abus au cours des quatre dernières années. En d’autres termes, elle était au courant de tout. Il s’agit là d’un argument en faveur de l’annulation du statut de « gestion maison » de Washington DC et du retour de la ville et de tous ses départements sous la gestion fédérale.
La nuit dernière, M. Trump a signé un ordre de déclassification des dossiers gouvernementaux relatifs aux meurtres des Kennedy et de Martin Luther King. Bien entendu, les agences de renseignement qui détiennent ces dossiers ont eu un demi-siècle pour supprimer tout ce qui, dans ces dossiers, pourrait leur porter préjudice, comme la rumeur longtemps colportée selon laquelle la CIA serait à l’origine de l’assassinat de ces trois personnes. Pourquoi s’attendre à obtenir quelque chose de ce genre ? Comment le reste des documents pourrait-il être autre chose qu’ un dossier de dissimulation ? Eh bien, nous allons voir. À un moment donné de son premier mandat, M. Trump aurait vu ce que contenaient les dossiers et serait revenu sur la promesse qu’il avait faite à l’époque de les rendre publics. Était ce trop choquant ? Ou s’agissait-il d’un « rien à signaler » soigné décrit ci-dessus ?
Cela ne veut pas dire qu’il y a une pénurie de documents étranges et alléchants autour de toutes ces affaires, de ces actes inexplicables. Des personnages louches comme Oswald, Jack Ruby, Howard Hunt, Clay Shaw, Sirhan Sirhan, Thane Eugene Cesar, James Earl Ray, « Raul » (le « gestionnaire » présumé de Ray), Frank Liberto, Loyd Jowers… et des circonstances curieuses comme le meurtre d’un homme. Et des circonstances curieuses comme la soi-disant « balle magique » qui serait sortie de JFK et aurait blessé le gouverneur du Texas Connolly, et qui aurait été retrouvée plus tard curieusement intacte sur une civière à l’hôpital Parkland. Je suppose que nous le saurons bientôt.
Nous attendons maintenant la confirmation du cabinet de M. Trump. La nomination de Pam Bondi à l’USAG a été bloquée pendant une semaine par le sénateur de première année Adam Schiff, après qu’elle a rappelé qu’il avait été censuré l’année dernière à la Chambre des représentants pour des déclarations « imprudentes » – c’est-à-dire qu’elle a rappelé à la commission et au public que M. Schiff est un menteur invétéré. Des rumeurs circulent selon lesquelles il serait expulsé de la commission judiciaire du Sénat (ce qui n’est peut-être pas la meilleure place pour une personne incapable de dire la vérité). La grâce préventive que lui a accordée « Joe B » la semaine dernière pourrait être mise à l’épreuve par les tribunaux dans les années à venir. La commission judiciaire a annoncé qu’elle allait ouvrir une enquête sur le fiasco du J-6. Avez-vous le sentiment qu’il y a beaucoup à découvrir dans cette boule de cheveux d’événements énigmatiques, d’actions cachées, de motifs dissimulés et de preuves enfouies ?
Tout cela (et bien d’autres choses que j’ai oubliées) et la première semaine n’est même pas encore terminée !
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
Source: Lire l'article complet de Le Saker Francophone
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