Le Brésil, l’un des pays au plus haut taux d’homicides
Une conversation révélatrice
L’autre jour, ici même à Québec, j’ai revu en ville un ex-collègue de travail d’origine brésilienne avec qui je me suis toujours bien entendu et que j’avais perdu de vue depuis la pandémie. Accolade, exclamations de joie des deux côtés, poignée de main virile, on prend des nouvelles, on en donne, on se rappelle des anecdotes, on rit.
Rappelons d’entrée de jeu que les 3 pays qui ont le plus haut taux d’homicides volontaires sont l’Inde, le Brésil et le Mexique, dans cet ordre. Déjà en partant, on comprend qu’il est bien malavisé de faire entrer chez nous certaines catégories d’immigrants potentiellement beaucoup plus dangereux que les autres.
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J’avais déposé ma tablette sur le banc public où j’étais installé pour bavarder debout avec mon ex-collègue, avec mon vélo électrique juste derrière le banc. Au bout d’un quart d’heure de conversation impromptue, mon ami me dit: « tu sais, chez moi, on ne pourrait pas faire ça, laisser la tablette comme ça sans surveillance et le vélo sans cadenas ». J’en ai déduit que non seulement 1, mais sans doute 2 voleurs se seraient précipités pour les voler si on avait été au Brésil, et que je ne serais peut-être plus de ce monde pour vous relater cette anecdote. Pour lui, c’était étonnant qu’on puisse vivre comme ça ici. C’était plus fort que lui de le faire remarquer, tellement c’est contraire à la situation qui prévaut chez lui. Et voilà pour le climat de sécurité publique existant à Québec! C’est en se comparant qu’on prend conscience de choses qui semblaient aller de soi.
En passant, cet ami m’a rappelé lors de la même conversation ce dont il m’avait déjà parlé, c’est-à-dire qu’il envisageait toujours la possibilité de déménager à Vancouver un de ces jours. On en déduit que son attachement au Québec n’est pas plus grand qu’il faut, et que le reste du Canada ferait tout aussi bien l’affaire. Ce n’est pas vraiment avec ce type d’immigrant qu’on acquiert de nouveaux défenseurs de la cause nationale québécoise, de la sauvegarde de la langue française, ou des alliés du projet souverainiste. Faites-en venir 1 million ou 2 de plus d’immigrants comme lui au Québec, et c’est tout notre avenir qui se voit compromis, pour ne pas dire mis en échec. On comprend que cela fait partie du plan fédéral pour neutraliser nos élans émancipateurs.
Mais revenons au sujet principal. Nous jouissons au Québec d’un degré de sécurité publique que nous prenons trop souvent pour acquis. Par contre, on constate que l’augmentation de la dangerosité qui sévit à Montréal est la conséquence directe de la présence de diverses ethnies violentes (commençant souvent dès l’adolescence) qui sont la cause principale de la détérioration de la qualité de vie dans la métropole et de la hausse vertigineuse de la criminalité qui s’en prend aux nôtres.
M. le premier ministre du Québec François Legault lui-même a affirmé plusieurs fois publiquement le lien direct à établir entre les migrants illégaux, pseudo-demandeurs d’asile, faux réfugiés qui rôdent partout, et l’insécurité publique croissante.
Il est important d’admettre cet état de faits, de dire ouvertement les choses comme elles le sont, afin de démontrer la nécessité de modifier les critères d’admission au pays pour en tenir compte et bloquer l’accès aux candidats potentiellement dangereux par tempérament, issus des pays les plus violents.
La sécurité publique de nos concitoyens, de nos proches, ne compte-t-elle pas après tout? On n’est pas au Brésil, ni en Inde, ni au Mexique, n’est-ce pas?
Faudrait vraiment pas qu’on se mette à leur ressembler sous tous ces aspects négatifs. Ce serait le début de la fin. La décivilisation.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec