L’OMS veut-elle offrir nos enfants aux pédophiles ?

L’OMS veut-elle offrir nos enfants aux pédophiles ?

Par Patrick Ledrappier

De 0 à 4 ans : « les nouveau-nés sont des « êtres sexuels » qui ont besoin d’être initiés au ‘corps et aux organes génitaux’ et d’apprendre à se masturber et à expérimenter ‘le plaisir et la luxure’ »
L’édito politique de Libre Consentement Éclairé
Le 20 avril 2024

L’OMS veut-elle offrir nos enfants aux pédophiles ?

   C’est la question que l’on se pose en lisant le document « Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité » publié par l’ONU et ses agences « ONU FEMMES », « ONUSIDA », « Organisation mondiale de la santé », « UNFPA », « Unicef », « Éducation 2030 » (appendice de l’Agenda 2030), « UNESCO ».

Ce texte de 164 pages, dans son édition en français, reprend les grands poncifs défendus par les pédophiles de tous les pays occidentaux, pédophiles qui semblent avoir pris le pouvoir dans les instances en charge de notre santé et de l’éducation des enfants.

   Utilisent-ils la « Santé » pour justifier la normalisation de la pédophilie ?

   Un article publié sur le site de la radio basée à Berlin « NIUS » (La voix de la majorité), synthétise les principales dispositions recommandées par l’OMS en matière de « Santé et de sexualité infantile » :

• De 0 à 4 ans : « les nouveau-nés sont des « êtres sexuels » qui ont besoin d’être initiés au ‘corps et aux organes génitaux’ et d’apprendre à se masturber et à expérimenter ‘le plaisir et la luxure’ (…) [ils doivent] ‘apprendre à ressentir du plaisir et du désir’ en ‘touchant leur propre corps’ [et vivre] ‘des expériences agréables de proximité physique’ [avec leurs enseignants ?] [Ils doivent] ‘développer une conscience des identités de genre (…) exprimer leurs propres besoins [sexuels], souhaits et limites, par exemple lorsqu’ils jouent au docteur’ ».

   • De 4 à 6 ans : « L’enfant doit tout savoir sur « les rapports sexuels, la contraception et le sexe dans les médias ». À quatre ans, les enfants devraient être capables d’interpréter les ‘sentiments sexuels [tels que] ‘la proximité, le désir et l’excitation’ [avec leurs enseignants ?]. À six ans, ils doivent connaître les ‘rapports sexuels’, la ‘contraception’, le ‘sexe dans les médias’ le ‘sexe acceptable’. Un « langage sexuel approprié » doit être appris et utilisé.

   • À 9 ans : « [Ils doivent] ‘être familiarisés avec les baisers et les caresses’ [par leurs enseignants ?] et ils doivent pouvoir parler de ‘première expérience sexuelle et d’orgasme’ [qu’ils auraient eus avec leurs enseignants ?] ».

   Endoctriner les enfants dès la maternelle, ne leur suffit plus, veulent-ils également en faire des objets sexuels sans que les parents ne puissent dire quoi que ce soit ?

L’article publié sur le site de NIUS précise encore : « À plusieurs endroits du guide, il est indiqué que les écoles, les jardins d’enfants et les établissements d’enseignement doivent veiller à ce que ce contenu soit effectivement enseigné. Il devrait devenir « une matière obligatoire » car « l’éducation sexuelle extrascolaire à elle seule » – c’est-à-dire l’éducation dispensée par les parents – ne suffit pas pour « une société moderne ».

   Argument retenu par l’OMS : « Une approche positive et respectueuse de la sexualité [infantile]… »

   Pour l’OMS, et donc pour Bill et ses amis mondialonazis milliardaires, la santé ne se définit pas seulement par « l’absence de maladies, de dysfonctionnements physiologiques ou d’infirmités », elle se définit également par : « Une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelles, ainsi que la possibilité d’avoir des expériences sexuelles qui soient sources de plaisir, sans risque, et libres de toute discrimination… »

   Faut-il discriminer les pédophiles ?

Ne faudrait-il pas, non seulement les discriminer, mais également les mettre définitivement hors d’état de nuire aux enfants ?

   Pour nous, cela semble évident, mais nulle part dans le texte publié sous l’égide de l’ONU, cette question ne semble exister, et il n’en est fait nulle part mention.

   Cette impasse volontaire sur des criminels de la pire espèce, qui violent des enfants, dont des bébés, et qui détruisent à jamais leur vie, ne viserait-elle pas qu’à une seule et unique chose, nous préparer mentalement à leur prochaine étape : normaliser et dépénaliser la pédophilie ?

   Il y a des questions qui n’en sont naturellement pas…

   Pour la civilisation chinoise, les enfants sont exclus du travail et de la sexualité qui appartiennent exclusivement au monde des « adultes »…

   Pour la médecine chinoise également, la santé ne se définit pas seulement par « l’absence de maladies, de dysfonctionnements physiologiques ou d’infirmités », mais pour les nourrissons et les enfants, en aucun cas, la sexualité ne saurait être associée à l’état de bonne santé.

   D’ailleurs, à ce sujet, je précise dans le livre « La Médecine Chinoise – Médecine de l’avenir pour vivre en forme, longtemps, heureux » : « (…) en Chine, il semble que depuis l’époque des Shang (de 1765 à 1122 AEC.), une vie réussie repose sur le triptyque ‘Être en bonne santé – avoir socialement réussi (en note : ‘Ce qui inclut une vie familiale’) – avoir une vie sexuelle épanouie (en note : ‘Ce qui inclut d’avoir de fréquents orgasmes partagés avec sa partenaire. La jouissance sexuelle féminine étant au cœur de la sexualité comprise par la médecine chinoise’.

« À cet égard, les rois chinois des périodes Shang et Zhou s’unissaient sexuellement avec 1 reine, 3 épouses de premier rang, 9 épouses de deuxième rang, 27 épouses de troisième rang et 81 concubines. »

   Dans le monde chinois antique, et dans l’Empire chinois, plusieurs choses ne concernent absolument pas les enfants, dont la guerre, le travail et la sexualité.

   La « sodomie », la « fellation », l’homosexualité et les activités sexuelles ont-elles à être enseignées l’école ?

  Ce qui est toujours vrai en Chine, ne le serait plus en Occident si l’on en croit la très officielle publication de l’ONU (dont les Chinois se contrefichent) qui est intitulée : « Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité ».

   En effet, il semblerait que ceux qui ont rédigé ce texte (sont-ils eux-mêmes pédophiles ?), veulent imposer des activités sexuelles aux enfants, et ce dès la crèche !

Ce texte est une horreur qui se cache derrière un vocabulaire de convenance.

   Il ne vise qu’à une chose : normaliser la pédophilie !

   D’ailleurs, il reprend à plusieurs reprises le principal argument des prédateurs sexuels pédophiles : « sexualité consentie, heureuse, et sans violence… »

Ils osent parler de non-violence, comme les pédophiles pour qui « sodomiser un bébé ou un enfant, ce n’est pas violent puisque cela a été fait par jeu et que les bébés et les enfants n’ont pas dit non »…

   L’École, les pouponnières, les crèches, les écoles maternelles, les écoles primaires, les collèges, les universités sont-ils des lieux où des enseignants doivent parler (et/ou pratiquer) de « sodomie », de « fellation » et autres activités sexuelles qui relèvent de la sphère strictement privée et de la vie intime des adultes ?


Patrick Ledrappier
Président co-fondateur
Libre Consentement Éclairé

Source : Libre Consentement Éclairé

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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