C’est aux parents de nourrir leurs enfants, pas l’État

C’est aux parents de nourrir leurs enfants, pas l’État

Nouveau programme d’alimentation scolaire fédéral d’un milliard de dollars

8 points à prendre en considération

C’est aux parents qu’incombe la responsabilité de nourrir adéquatement leurs enfants, pas l’État.

Le gouvernement du Canada ouvre des consultations auprès des Canadiens sur  une politique nationale en matière d'alimentation à l'école - L'actualité  Alimentaire

Photo ci-dessus: continuer de nourrir le tiers-monde au Canada

Le gouvernement canadien vient de lancer un autre de ses programmes ruineux et injustifiés uniquement pour se faire réélire. Et c’est comme ça que repart en flèche le pire déficit de l’histoire (40 milliards de dollars). Ce programme d’alimentation scolaire d’un milliard de dollars laisse trop de place à l’abus.

Trudeau annonce un programme d'alimentation scolaire pour fournir des repas  dans les écoles | Le Devoir

Photo ci-dessus: le tiers-monde nourri à la petite cuillère par le premier ministre, c’est si touchant

8 points à prendre en considération:

1.    La responsabilité première des parents est de trouver les moyens de nourrir leur famille. Qu’ils ajustent leur train de vie pour le faire. Ceux qui en sont incapables devraient confier leurs enfants à des familles riches et éduquées qui sauront les élever dans des conditions optimales plutôt que dans la misère.

2.    À ce compte-là, quelle devrait être la prochaine étape: fournir les 3 repas par jour? Nourrir les parents eux aussi? Habiller les enfants de 0 à 18 ans? Payer les couches, le lait maternisé, la poussette, le siège d’auto de bébé? Payer l’équipement de hockey du garçonnet, les cours de ballet et de piano de la fillette? les cadeaux de Noël? le chocolat de Pâques? Et puis quoi d’autre après: payer le loyer? l’hypothèque? l’auto? l’essence? les vacances dans le sud?

3.    Il faudrait identifier ceux qui sont de mauvais parents qui se servent de ces services de repas gratuits uniquement pour qu’il leur reste assez d’argent à gaspiller pour s’acheter cigarettes, alcool, cannabis, billets de loterie et jeux de hasard. Ceux-là devraient être inadmissibles.

4.    Il faudrait déterminer quels sont les parents immigrés profiteurs qui justifient ces demandes de repas par un: «on nous a promis un pays qui nous prendrait en charge à vie. Donnez-nous toute gratis, on l’exige, on connaît nos droits». Les immigrés qui n’arrivent pas à subvenir entièrement à leur besoins doivent être renvoyés, ils prouvent qu’ils sont inaptes à la vie dans notre pays. On n’a pas à accepter de tels fardeaux inutiles pour la société. Vous avez essayé, vous n’y arrivez pas, bonjour la visite!

5.    À Toronto, 95% des banques alimentaires sont pillées quotidiennement par des non-nés au pays. Pour eux c’est simplement perpétuer la mentalité tiers-mondiste qui consiste à faire pitié et avoir l’air miséreux pour obtenir quelque chose en retour; ils ont appris à tendre la main, à quémander en prenant un air pitoyable pour se faire tout donner par l’aide internationale. Ils ne font que poursuivre la même stratégie une fois rendus ici. Et ça marche à tout coup, tellement on peut être bonasse. Cette technique manipulatrice éprouvée s’appelle savoir faire vibrer la corde sensible. (Ici, je pourrais placer l’une de ces photos de petits biafrais au ventre bombé qui réussissaient jadis à faire vider les porte-feuilles dans le temps de le dire, mais je vous en ferai grâce).

6.    Qu’on apprenne plutôt aux parents à budgeter. Il a été démontré avec succès qu’il est possible de faire son épicerie pour la moitié moins cher si on sait s’y prendre en appliquant les bonnes astuces d’achat. On note facilement les erreurs de choix lorsqu’on examine le contenu du panier d’épicerie de bien des gens à la caisse.

7.    Les citoyens doivent être éduqués pour devenir des adultes responsables et autonomes qui ne dépendent de personne et encore moins de l’État. Chacun doit se faire un point d’honneur de se sortir du pétrin par lui-même, par son travail, son ingéniosité, ses sacrifices et ses efforts. Cela devrait être considéré comme une valeur de société. L’État-providence infantilise et rend dépendant.

8.    Considérant les 7 points précédents, on pourrait estimer à 10% les parents véritablement dans le besoin qui méritent d’être aidés par ce programme de petits déjeuners. Donc, comment peut-on justifier un programme d’un milliard de dollars dont 900 millions vont aller à des profiteurs qui abusent du système?

Fournir une aide alimentaire aux enfants - Petits Coeurs du Monde

Ci-dessus: Laquelle de ces 2 photos a été prise dans le tiers-monde, et laquelle chez nous? Plus moyen de savoir. C’est le tiers-monde en expansion.

Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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