L’arnaque du Covid-19

L’arnaque du Covid-19

C’est la plus grande escroquerie de l’Histoire, une mystification inouïe ! Non seulement un pourcentage incroyable des personnes officiellement décédées du Covid-19 n’ont jamais été testées, mais la majorité des tests PCR sont incapables d’identifier spécifiquement le virus ! Le virus n’a d’ailleurs jamais été isolé. Les masques sont non seulement inutiles (un virus est 40.000 x plus petit que les mailles des masques !) mais nocifs pour la santé.

Tout ce qu’on nous raconte sur cette “pandémie” est bidon et ne vise qu’à entretenir la panique pour que les gens se ruent sur les « vaccins » mortels.

Le Covid-19 est en réalité une maladie respiratoire aiguë (c’est-à-dire une grippe) avec une mortalité minimale et quasi nulle chez les enfants. Le monde entier a réagi de manière excessive. Le nombre de morts en Occident a été largement surestimé.

Ces vérités sont largement documentées dans les articles et vidéos de cette page.

L’arnaque du covid décortiquée par le Dr David Martin au Parlement Européen (mai 2023)

Le Dr David Martin prend la parole au Sommet International du Covid, le 9 mai 2023, au Parlement Européen (et aucun média mainstream n’en parle ! 🤬)
Il décortique l’historique du Covid et démontre la guerre contre l’humanité, préparée de longue date, qui est menée – avec preuves à l’appui.

Extrait :
« Un laboratoire d’armes biologiques de l’Université de Caroline du Nord, à Chapel Hill, a bénéficié d’une dérogation moratoire sur le gain de fonction, de sorte qu’en 2016 il a été possible de publier l’article indiquant que le SRAS coronavirus était prêt à émerger chez l’homme. En 2016. Et puis quoi ? – vous demanderez peut-être – le coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme, David ? C’était le WIV1 : Wuhan Institute of Virology Virus 1 (virus de l’institut de virologie de Wuhan (Chine)). Prêt à émerger chez l’homme en 2016, dans le cadre des travaux de l’Académie nationale des sciences. Si bien qu’arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire. » Le mot clé de cette phrase est évidemment le mot « libération ». Cela ressemble-t-il à une fuite ? Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris et à un pangolin qui seraient entrés dans un bar de marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, eu des relations sexuelles, et voilà que nous aurions le SRAS COV 2 ? Non ! Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019. Sept mois avant le soi-disant patient numéro 1, 4 demandes de brevet de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.
C’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire, de sorte qu’en septembre 2020 il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir. »

Lire la suite : Claudine Marichal.be

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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