Pour ne plus mettre tous les œufs dans le même panier
en 25 exemples éclairants
Nombreux sont les militants radicaux asservis à l’idéologie du politiquement correct qui s’imaginent voir du racisme ou de la xénophobie partout.
Qui sont-ils? Il y a d’abord les ennemis des peuples soudés qui possèdent une identité collective historique solide, c’est-à-dire les endoctrinés aveuglés qui mettent tout en oeuvre pour imposer leur idéologie diversitaire délétère. Nommons-les: ce sont les fédéralistes, les mondialistes, les multiculturalistes, les diversitaires, les wokes anti-Blancs, les anti-Nous, certaines communautés ethniques et religieuses maladivement susceptibles et querelleuses à l’extrême.
Les groupes cibles visés par cette vile propagande de reformatage des esprits sont généralement des gens ordinaires parfois un peu confus et influençables à qui on voudrait faire croire qu’il y a du racisme partout, même là où ce n’est pas le cas. Si telle « autorité » le prétend, c’est que cela doit être vrai, s’imaginent-ils à tort. Alors, ladite autorité s’autorise à dicter et imposer son idéologie diversitaire discutable pour soumettre les gens à sa volonté.
On a déjà démontré les effets négatifs de la diversité imposée de force et du multiculturalisme fragmentateur. Cliquez ici.
Le mot « racisme » qu’on sert à toutes les sauces est devenu une espèce de fourre-tout dans lequel on jette tout ce qu’on veut, peu importe que ce soit vraiment du racisme ou non. C’est une basse tactique de la bien-pensance qui paramètre les réglages fort étroits du politiquement correct, et qui vise à faire taire et disqualifier ceux qui pensent autrement qu’elle.
C’est pourquoi on pourrait affirmer que beaucoup des choses qu’on étiquette racistes ne le sont pas. Sur 100 accusations de racisme, il se peut qu’il n’y en ait qu’un petit nombre qui corresponde réellement à la définition exacte. Il devient trop facile de confondre 2 choses pourtant très différentes, de faire des amalgames malvenus. Seul le racisme anti-Blancs est permis et encouragé.
Pour illustrer le propos, passons en revue quelques exemples d’opinions, de convictions, d’attitudes, de situations courantes et de réactions normales que certains mondialistes tenteront de faire passer pour raciste ou xénophobe mais qui ne le sont pas le moins du monde.
- On passe à la caisse d’un supermarché, c’est une caissière voilée qui refuse de servir les clients à visage découvert, contrevenant à l’esprit de la loi 21 qui devrait s’étendre en principe dans tout l’espace public. Le client n’accepte pas cette attitude et change de caisse. C’est tout à son honneur: il ne joue pas le jeu de l’infériorisation de la femme édicté par une religion dépassée et coercitive basée sur la domination masculine.
- Les citoyens européens sont tous en train d’élire des gouvernements réceptifs à leurs doléances visant à mettre fin à l’immigration massive non-occidentale non désirée. C’est très louable. Ce n’est pas de la xénophobie, c’est la volonté naturelle de protéger son identité collective de l’érosion, une noble préoccupation qui se situe bien au-dessus du mondialisme niveleur vers le bas.
- La population insécurisée demande à ce que le SPVM augmente ses effectifs et effectue plus de profilage préventif dans Montréal-Nord devenu trop dangereux. Ce n’est pas du racisme, c’est vouloir assurer la protection des natifs. Ce ne sont pas des préjugés qui sont en cause, mais bien des présupposés fiables et avérés, basés sur l’expérience répétée.
- Les gens protestent de plus en plus contre le Code de publicité canadienne qui doit se plier à l’idéologie diversitaire imposée par le gouvernement fédéral, qui donne préséance aux multiethniques dans les commerciaux au détriment du peuple natif qui se voit relégué au second plan. C’est une bonne chose de s’y opposer. Les médias ne doivent refléter que la majorité fondatrice historique à titre de modèle à suivre et d’idéal de société. C’est Nous qu’il faut imiter en tout.
- On a le droit de demander à nos députés de bloquer l’immigration sikh/hindoue ou chinoise au Québec parce qu’ils grossissent des communautés ayant opté pour l’anglais. Ce n’est pas de la xénophobie, c’est de la lutte pour le maintien de la langue française. De plus, le danger est d’autant plus grand que ce sont les 2 ethnies étrangères qui entrent le plus massivement au pays et qui possèdent un quotient élevé de potentiel dénatureur de notre type de société (avec l’islam).
- On s’aperçoit que l’immigration massive issue du tiers-monde sous-civilisé sous tous les plans fait reculer les sociétés avancées. Ce n’est pas de la xénophobie, mais bien l’idée de tenir à la protection des avancées du monde moderne occidental. C’est plus que nécessaire, c’est même primordial.
- On est tout à fait en droit de contester l’idéologie du multiculturalisme érigée en religion dogmatique au Canada. Et c’est une bonne chose de le faire. Car c’est une approche destructrice de l’identité collective, laquelle est à la base du sentiment d’appartenance de tout citoyen pour sa patrie et son sol natal. Ce n’est pas de la xénophobie, c’est du nationalisme sain et recommandable qu’il faut cultiver.
- On demande au gouvernement de faire respecter les frontières, de construire des barrières frontalières sécuritaires, de fermer les accès passoires comme le Chemin Roxham et l’aéroport de Montréal. Ce n’est pas de la xénophobie, c’est simplement la volonté de protéger notre territoire contre toute forme d’envahissement étranger illégale. Notre pays n’appartient qu’à nous. L’accès doit en être protégé de toute part.
- On peut s’opposer à la présence non voulue de dizaines de milliers de pseudo-demandeurs d’asile qui sont plutôt des profiteurs qui siphonnent toutes les ressources d’aide pour des centaines de millions de dollars. Le premier ministre Legault a même déclaré que nous avions atteint le point de rupture de la capacité à donner des services. S’opposer à ce fléau n’est pas de la xénophobie, c’est de résister à une forme d’invasion sournoise et quantitative d’indésirables qui prennent des moyens détournés pour se faire prendre en charge.
- On peut demander au gouvernement de combattre l’ingérence étrangère qui cherche à influencer le cours des choses chez nous. La Chine, l’Inde, l’Iran, la Russie sont actuellement visés par la commission d’enquête Hogue. Ce n’est pas de la xénophobie, c’est veiller à la protection de notre intégrité.
- Il est maintenant établi que la crise du logement qui sévit actuellement est largement attribuable à l’excès d’immigrants dépareillés, nuisant à nos concitoyens. Contester l’immigration massive et ses répercussions nuisibles n’est pas de la xénophobie, c’est simplement vouloir maintenir notre niveau de vie.
On pourrait poursuivre longuement avec toutes sortes d’autres situations courantes et attitudes que les opposants aux nationalistes qualifieraient abusivement de racistes ou xénophobes, mais qui ne le sont pas le moins du monde.
C’est aux nationalistes de ne pas tomber dans le panneau, de ne pas céder, de les déjouer, et d’affirmer leurs convictions, qui sont par ailleurs généralement reconnues par la majorité de la population.
Les anti-nationalistes retors font des amalgames de choses non racistes pour en accuser les nationalistes dans le but de leur faire honte; ils se servent de ce subterfuge pendable afin d’élargir l’imposition de leur pratique diversitaire à outrance, dont le but est d’attenter à l’âme constitutive des nations avec l’intention de les démembrer. Ils sont dans leur tort, et pas rien qu’un peu.
Ces anti-Nous croient qu’il suffit de nous accuser de tous les noms pour qu’on se taise en baissant la tête. Eh bien non, qu’ils sachent qu’on va leur répondre coup pour coup, la tête haute, sûrs de qui nous sommes en tant que nation distincte et pleinement convaincus de notre bon droit. Toujours vivants, toujours debout!
Voici des exemples de ce qui ne sera jamais du racisme (ou xénophobie, islamophobie, et autres termes utilisés de manière interchangeable par les wokes et les anti-Nous):
- Le sentiment nationaliste. Chaque fois que vous défendez l’identité nationale, votre peuple, tout ce qu’il représente, sa nature profonde, c’est bien. Continuez.
- Veiller à la protection de la population démographique historique. Un peuple est le résultat d’une longue succession de générations. Il est une continuation fertile. C’est précieux et pour c’est pour cela qu’il ne doit pas se laisser détricoter.
- La défense de nos valeurs communes, comme l’égalité homme/femme, la laïcité, la démocratie, la famille traditionnelle. Nous y adhérons et nous y tenons. Ne laissons aucune minorité piailleuse oser y toucher.
- Considérer que les lois voulues par la majorité priment sur toute religion obscurantiste et rétrograde qui cherche à les supplanter (ex: tribunal islamique de la charia, port de l’arme blanche sikh, pratique de la cruauté animale sous forme d’abattage rituel halal et kasher)
- S’opposer à un type d’immigration décivilisatrice issue du tiers-monde sous-évolué. Il importe de protéger les standards de vie élevés que seul l’Occident a réussi à atteindre.
- S’opposer à la surimmigration qui remplace peu à peu la population historique établie.
- Prendre la défense de la langue française. Sa primauté n’est pas négociable.
- Demander à la police d’augmenter le profilage préventif en surveillant de près ceux qui sont les plus susceptibles de commettre crimes et délits
- Promouvoir sa propre culture chez soi. Refuser le multiculturalisme appauvrissant qui nous relativise et nous amoindrit.
- Défendre sa terre natale, son territoire, ses frontières de toute forme d’invasion étrangère. On est ici chez nous, les autres non.
- Se vanter d’être patriote, fier d’être d’ici et de nulle part ailleurs
- Encourager les commerces et entreprises québécoises de souche et locales d’abord et avant tout
- Chaque fois que vous affirmez: « je ne suis pas canadien. Je suis québécois«
- Chaque fois que vous affirmez: « mon pays sera le pays des Québécois »
On vous accuse de racisme, de xénophobie? Rétorquez que vous êtes nationaliste, et fier de l’être, que vous défendez votre patrie, votre identité collective, partant de vos ancêtres jusqu’à votre descendance.
La prochaine fois que vous verrez quelqu’un se faire accuser de racisme ou de xénophobie, posez-vous la question: est-ce que celui qui est pointé du doigt exprime un point de vue visant à défendre sa patrie, les siens? Si oui, ce n’est pas du racisme ni de la xénophobie. Considérez-le alors comme digne de votre appui, un allié, un ami. Défendez-le si vous le pouvez. On est toujours du bon bord lorsqu’on est du bord de son peuple, de sa nation.
Le Nous majuscule est une magnifique et longue continuité qui se définit en termes de générations, de transmission, de mission, de nation.
Comme qui dirait, nous les Québécois authentiques sommes des frères d’âmes.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec