« On aurait l’air fin… », souriait, deux heures avant le début de la séance, la présidente (Renaissance) de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, refusant d’y croire. (Le Monde)
Le ministre anticatholique de la Dissolution des groupes identitaires – mais pas des groupes de racailles (qui ont l’intelligence de ne pas s’organiser en associations) – s’est mangé une mégabaffe contre le projet de loi Immigration à l’Assemblée, son tremplin vers l’Élysée 2027.
Certes, il ne s’agit que d’une motion de rejet, le texte pourra être remanié et voté par les sociaux-traîtres de LR qui tiennent Darmanin par les couilles, mais celui que toute la presse présentait comme le successeur de Macron en a fait un échec personnel, puisqu’il a présenté sa démission au chef de l’État, qui l’a refusée.
Honnêtement, tous ces petits soubresauts qui sont du ressort de la politique politicienne parlementariste ne nous intéressent guère : Bornstein pourra à tout moment, avec son 49-3, imposer n’importe quelle mesure répressive au peuple de France. La question n’est pas là.
Ce qui nous intéresse, c’est que la Macronie n’a pas de majorité, et qu’elle ne peut donc gouverner que par une négation de la démocratie. Une dissolution maintenant verrait le RN (et LFI) grimper en flèche, et le parti du Président s’effondrer. Il en faut du temps aux Français pour comprendre qui sont leurs amis et leurs ennemis…
Cependant, la droite et la gauche de gouvernement se rejoignent sur un point : même en se mangeant le bec à l’Assemblée, elles votent toujours pour l’immigration massive, au détriment du peuple français, qui en paye le prix. Il n’y a qu’à voir le revirement de Zemmour sur l’Europe et l’immigration.
La droite parce qu’elle veut de la main d’œuvre bon marché pour maintenir le taux de profit, la gauche par humanisme bêlant.
Darmanin, que les droitistes appellent Moussa, son deuxième prénom, essaye de jouer au dur en frappant les faibles (assoces d’identitaires et de catholiques), espérant piquer des voix au RN, qui de toute façon raflera la mise un jour, c’est prévu par le pouvoir profond.
L’injection de migrants en France a donc un but économique, le profit, et un but politique : fracturer le pays entre pro et anti, faire monter les tensions, et installer une dictature d’extrême droite raciste, comme en Israël. Certains décideurs juifs ont d’ailleurs proposé d’envoyer en Europe les déportés de Gaza.
Dans une tribune parue dans The Wall Street Journal, deux responsables israéliens ont appelé l’Europe à œuvrer en faveur de l’accueil de centaines de milliers de Gazaouis assiégés. Le ministre d’extrême droite du gouvernement Nétanyahou, Bezalel Smotrich, s’est également dit favorable à une « migration volontaire ».
Notre question : les juifs français sauront-ils vivre avec ces néodéportés ?
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