Le Burkina Faso suspend «tous les supports de diffusion» de «Jeune Afrique»

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par Afrique Media

Ouagadougou a justifié sa décision par la diffusion d’«un nouvel article mensonger» sur le site du media panafricain basé en France, intitulé : «Au Burkina Faso, toujours des tensions au sein de l’armée»

Le Burkina Faso a annoncé lundi soir la suspension sur son territoire de «tous les supports de diffusion» (journal papier, site internet) du média panafricain basé à Paris «Jeune Afrique», après la parution d’articles au sujet de présumés tensions au sein de l’armée burkinabè.

Le  gouvernement de transition a décidé en toute responsabilité de la suspension jusqu’à nouvel ordre de tous les supports de diffusion de Jeune Afrique au Burkina Faso à compter de ce lundi 25 septembre», a indiqué le porte-parole du gouvernement et ministre de la Communication burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, par voie de communiqué, repris par le quotidien « Le Monde ».

Ouagadougou a justifié sa décision par la diffusion d’«un nouvel article mensonger sur le site du journal Jeune Afrique, intitulé: «Au Burkina Faso, toujours des tensions au sein de l’armée» et publié lundi 25 septembre.

«Cette publication fait suite à un article précédent dudit journal sur le même site», publié jeudi, «dans lequel Jeune Afrique alléguait qu’ «Au Burkina Faso, la grogne monte dans les casernes», précise le ministre de la Communication.

«Ces affirmations faites à dessein sans l’ombre d’un début de preuve n’ont pour seul but que de jeter un discrédit inacceptable sur les Forces armées nationales et par-delà l’ensemble des forces combattantes», ajoute le communiqué.

«Jeune Afrique» est un média panafricain francophone fondé à Tunis en 1960 et basé à Paris. Hebdomadaire jusqu’en mai 2020, sa version papier est devenue mensuelle. Le media est également doté d’un site Internet d’informations.

En juin, les autorités de Ouagadougou avaient annoncé la suspension de la chaîne française «LCI» pendant trois mois, après avoir expulsé en avril les correspondantes des quotidiens français «Libération» et «Le Monde».

Elles avaient également décidé fin mars de suspendre la chaîne de télévision «France 24», après avoir suspendu en décembre 2022 «Radio France internationale» (RFI), deux médias publics français, pour avoir relayé des messages de chefs terroristes.

source : Afrique Media

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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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