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par Patrice Gibertie
Le refroidissement, c’est le pire et il s’accompagne de SÉCHERESSE. Le réchauffement cyclique lui s’accompagne d’humidité (le Sahara vert).
La chaleur est suivie d’orages et d’humidité, c’est comme çà !
«Edouard Lartet découvre en 1864 lors de ses fouilles de l’abri-sous-roche de La Madeleine en Périgord, un mammouth gravé sur un fragment d’ivoire de défense de mammouth (Lartet, 1865). Il démontre ainsi la cohabitation de l’espèce humaine avec une espèce disparue vivant sous un climat glaciaire. Cette preuve, présentée à l’exposition universelle de 1867 à Paris, fit sensation.
À la fin du XIXe siècle, les découvertes de faunes froides et chaudes se multiplient montrant que l’Humanité a dû faire face avec succès à des changements climatiques importants révélant l’alternance de périodes glaciaires et interglaciaires. C’est le fruit alors d’une étroite collaboration entre paléontologues et préhistoriens dont les plus éminentes figures furent Albert Gaudry titulaire de la chaire de paléontologie du Muséum d’Histoire naturelle et son successeur Marcellin Boulle». (ouvrage à retrouver en fin d’article)
Vous découvrirez que Néanderthal s’est épanoui en phase de réchauffement et qu’il a disparu au moment du refroidissement.
Les journalistes manipulent les faits, une étude rappelle que le nombre d’hommes sur terre a diminué de 98% il y a 900 000 ans et ils en profitent pour claironner les dangers du réchauffement climatique. Problème en histoire comme en préhistoire nous savons que les moments difficiles sont toujours venus du REFROIDISSEMENT.
Afin de fouiller dans le passé lointain de nos ancêtres, les scientifiques ont dû innover. «En regardant l’ADN des humains modernes», explique Yi-Hsuan Pan, spécialiste en biologie moléculaire de l’évolution à l’Université Normale de la Chine de l’Est, et co-autrice de l’étude «nous pouvons reconstituer l’histoire de notre passé en utilisant diverses astuces mathématiques». Les scientifiques ont alors développé un processus de coalescence rapide en temps infinitésimal (FitCoal) qui permet de contourner la difficulté d’un manque d’archives fossiles en Afrique et Eurasie sur la période préhistorique de 950 000 à 650 000 avant nos jours, et de «retracer les historiques de populations».
Yi-Hsuan Pan explique que les équipes sont parvenues à identifier ce qu’elle qualifie d’ancien «goulot d’étranglement» à partir de l’étude génomique de cinquante-deux populations humaines modernes. «Nous avons établi plusieurs modèles pour valider l’existence de ce goulot d’étranglement et déterminer que la dispersion depuis l’Afrique pouvait influencer son identification». Haipeng Li, généticien des populations à l’Université de l’Académie chinoise des sciences de Pékin et co-auteur de l’étude, explique dans un article de Nature que «la découverte de ce goulot d’étranglement peut expliquer l’écart chronologique» de 950 000 à 650 000 avant nos jours, en raison d’une quasi extinction de ces espèces.
«En analysant des ensembles de données», explique Yi-Hsuan Pan, «nous avons discerné un ancien goulot d’étranglement où la population est passée de 100 000 à 1280 individus», soit une disparition de près de 98,7% de la population totale des ancêtres de l’Homme. Pendant près de 11 700 ans, nos ancêtres ont survécu en petits groupes probablement localisés, d’à peine un millier d’individus, en pleine ère glaciaire.
Une ère glaciaire particulièrement rude, sèche et longue, s’étendant sur une période d’environ 80 000 ans est, selon les chercheurs, la raison principale qui pourrait expliquer un tel déclin de population sur une période aussi longue. «Cette période sèche a été associée à des changements environnementaux majeurs et à un important renouvellement de la faune en Afrique et en Eurasie», explique Yi-Hsuan Pan.
Le premier volume concerne la préhistoire des origines à la fin du pléistocène, il y a douze mille ans. Les sociétés humaines ont connu depuis trois millions d’années une grande alternance de périodes glaciaires et interglaciaires. Quels climats ont-ils été les plus favorables aux peuplements humains ? Quels climats ont-ils été les plus défavorables aux peuplements humains et ont-ils entrainés des abandons de territoires, des effondrements de sociétés et des extinctions de la population humaine ? Quand et sous quels climats les groupes humains ont-ils colonisé l’ensemble des continents de la planète ? Une période d’amélioration climatique avec un climat chaud et humide est-elle plus ou moins favorable au développement des sociétés humaines qu’une période de péjoration climatique ? Le changement climatique est-il un facteur d’évolution pour les sociétés humaines, les forçant à s’adapter et à trouver des solutions durables ?
Les sociétés humaines face aux changements climatiques. Volume 1 : La préhistoire des origines de l’humanité à la fin du Pléistocène
Le nouveau directeur du GIEC Jim Skea vient de Blackrock (23 September 2009 – 14 février 2014). Blackrock, la plus grosse plaque d’investissements sur les énergies nouvelles, eldorado des riches et taxes pour les pauvres, c’est pas du capitalisme ? Jouzel est une blague.
Dans les années 70 il prophétisait le refroidissement, maintenant il parle de la menace pour l’humanité il y a 900 000 ans en oubliant qu’il s’agissait d’une glaciation.
Lors des élections municipales de 2020 à Paris, ainsi que pour l’élection présidentielle de 2022 Jean Jouzel soutient les candidatures d’Anne Hidalgo Notre Dame des Rats.
source : Patrice Gibertie
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