Les euthanasieurs du Québec n’aiment pas qu’on leur dise de rester dans les limites de la loi

Les euthanasieurs du Québec n’aiment pas qu’on leur dise de rester dans les limites de la loi

Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Csaba Deli/Adobe Stock

Cet article de Wesley J. Smith a été publié par le National Review le 9 août 2023.

Le schéma ne change pas. L’euthanasie est légalisée sous la promesse de « directives strictes » empêchant les abus. Au fil du temps, ces directives strictes sont assouplies, puis à nouveau assouplies. Le processus est parfois lent, parfois rapide. Mais la direction est toujours la même.

En outre, les médecins peuvent assister les suicides ou injecter des substances mortelles à des patients qui, techniquement, ne remplissent pas les conditions requises pour bénéficier d’une mort accélérée. Peu de choses, voire rien, n’est fait à ce sujet.

Aux Pays-Bas, de tels cas n’ont jamais donné lieu à des sanctions significatives. Jamais. Au contraire, ils ont été ignorés par les autorités ou, s’ils ont été poursuivis (rarement), les tribunaux n’ont jamais puni l’auteur de l’infraction de manière significative.

Après cela, la « violation » peut devenir l’élément déclencheur d’un assouplissement des « directives strictes » — comme dans le cas du médecin néerlandais qui a tué sa patiente atteinte de démence, qui luttait pour rester en vie, en demandant à sa famille de la tenir pendant qu’il lui administrait la piqûre létale. Le médecin a été déclaré non coupable par le tribunal et le juge l’a félicité pour ses bonnes intentions. La loi a ensuite été modifiée pour permettre aux médecins de décider du moment de tuer dans de tels cas.

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

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