par Al Manar
Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a affirmé que Moscou aurait été «forcée d’utiliser des armes nucléaires» si la contre-attaque de Kiev soutenue par l’OTAN avait réussi.
Medvedev a souligné que «les forces russes, en affrontant les forces ukrainiennes, défendent les citoyens russes et les terres russes et empêchent un conflit mondial», tout comme «les combattants russes empêchent le feu nucléaire mondial de s’enflammer».
Dans un tweet sur son compte Twitter, Medvedev a écrit : «Imaginez si la contre-attaque de Kiev, soutenue par l’OTAN, réussit, et qu’ils s’emparent d’une partie de notre terre. Alors nous serons forcés, selon un décret présidentiel, d’utiliser des armes nucléaires».
Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe a souligné qu’«il n’y aura tout simplement pas d’autre moyen».
Il a félicité l’occasion de la Journée de la marine russe, en disant : «Nos ennemis devraient prier pour le succès de nos guerriers».
Le 4 juin, la contre-attaque, dont les autorités ukrainiennes parlent depuis longtemps, a commencé sur de larges axes au sud de Donetsk, Zaporijia et Artyomovsk. Jusqu’à présent, l’attaque principale des forces armées ukrainiennes s’est concentrée sur le secteur de Zaporijia, au sud vers la Crimée.
Il y a quelques jours, le ministre ukrainien de la Défense, Alexeï Reznikov, a reconnu que la contre-attaque planifiée par Kiev «n’a pas atteint ses objectifs dans les délais impartis», attribuant les raisons de sa lenteur à un manque de munitions et de systèmes de défense aérienne».
Auparavant, le 9 juillet, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a admis que le rythme de la contre-attaque des forces ukrainiennes n’était «pas comme prévu» et a ajouté «nous voulons tous que cela se produise plus rapidement. Chaque jour signifie des pertes parmi les Ukrainiens».
source : Al Manar
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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