Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
Une nouvelle étude évaluée par des pairs et rédigée par des chercheurs du Charlotte Lozier Institute (CLI) et de l’American Association of Pro-Life Obstetricians and Gynecologists (AAPLOG) suggère que les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement ont une moins bonne santé mentale que celles dont la première grossesse se termine par un accouchement.
L’étude s’est concentrée sur les bénéficiaires de Medicaid admissibles sans interruption qui avaient 16 ans en 1999 et a suivi l’historique de leurs demandes en matière de santé mentale jusqu’en 2015. Au total, 1 331 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un avortement, tandis que 3 517 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un accouchement. L’étude des taux d’utilisation des services de santé mentale par les femmes a permis d’éviter les limites méthodologiques liées aux enquêtes auprès des patientes.
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