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Conférence de paysans et montagnards à Vasto (Abruzzes)
par Mendelssohn Moses
Dans «Agent Zelensky Part 2» le spécialiste US de renseignement militaire Scott Ritter décrit, en dernière partie, le rôle de BlackRock dans la prise de contrôle des terres agricoles (tcherniezem) en Ukraine. Ainsi, il interroge le député d’Alternative fuer Deutschland Waldemar Herdt ingénieur agricole né en Kazakhstan. Ce dernier affirme que le but de BlackRock n’est nullement de faire de l’agriculture, les terres agricoles aux USA étant aussi vaste qu’excellentes, mais plutôt de prendre l’Europe à la gorge, en s’octroyant au moyen de l’Ukraine, le pouvoir de lui couper les vivres à tout moment.
C’est exactement dans ce sens qu’il faille comprendre le lâcher de l’ours et du loup par la Directive européenne de 1992.
Tel le plastiquage de Nord Stream par les USA, le stockage d’armes nucléaires US en Italie et en Belgique, les bio-labs US en Ukraine, les injections US dites «anti-Covid», le Dam Removal Europe Project le projet Loup et Ours est le Nième volet du projet d’une oligarchie misanthrope, engraissée sur les deniers publics, qui a voué la ruine ou la mort des paysans-propriétaires en Europe.
«Encore une minute Monsieur le Bourreau ?» Aucun compromis ne sera possible avec ces gens. Les montagnards et éleveurs ont intérêt à arrêter de faire l’enfant sage avant qu’il ne soit trop tard.
Revenons à nos moutons – ceux non-encore dévorés par le loup
Le 23 juin, à Vasto (province de Chieti) dans les Abruzzes, un groupe de montagnards, éleveurs et paysans venus de plusieurs provinces se sont réunis jusque à tard dans la nuit pour débattre de leur survie même physique face au loup.
Passée sous silence dans la presse conforme, la présence du loup, se manifestant de plus en plus souvent par des attaques sur des animaux domestiques et sur l’homme, est désormais constante dans le Salento (Pouilles), aux alentours de la ville d’Otranto où Saint Pierre mit pied en Europe pour la première fois, sur les plages de Vasto … Dans les dernières semaines, les loups se sont mis à attaquer les chiens de compagnie, souvent jusques dans les bras de leur maître, blessé en tenant de secourir l’animal de compagnie. Les loups ont non seulement été aperçus à 150 m. de domiciles, ils rôdent désormais dans les jardins et cours des maisons à la recherche de proies : animaux domestiques, enfants et jeunes femmes en raison de leur faible gabarit.
Mais qu’à cela ne tienne. Tandis que les autorités régionales s’amusent à conseiller aux riverains « d’apprendre à coexister », on trouve la police et les carabiniers déployés en faveur, je répète, en faveur, des loups.
Or, les montagnards travaillent et n’ont pas à être des spécialistes du renseignement ou journalistes d’investigation.
Ils ignorent peut-être que ces groupes dont les communiqués dégoulinent de sentimentalisme avec force photos d’adorables petits chiots-loups, sont financés par divers fronts pour la Commission européenne et des fondations princières : par exemple FERUS, véritable horreur, ou LifeWolfAlps (dans l’habituel « anglais » de ces illéttrés) financé par la Fondazione Capellino.
Celle-ci a reçu près de 30 millions d’Euros.
Vous ne trouverez aucun reportage sur ces sites concernant les milliers de chèvres et de brebis égorgés chaque année pour le plaisir par le loup, pas un mot sur le danger de feux de forêts avec la disparition des élevages de chèvres qui nettoient la broussaille, aucune mention de l’Échelle de Geist, pas un mot sur les tableaux que nous reproduisons ici.
Pour ce qui est des montagnards, certains sont là depuis la chute de l’Empire romain, lorsque leurs ancêtres ont fui les Vandales. D’autres sont arrivés dans les XIIIe, XIVe siècles, pour échapper aux barons féodaux qui régnaient sur les vallées qu’ils pillaient.
Les barons féodaux sont de retour, avançant masqués derrière les institutions européennes et des autorités se prétendant dans l’intérêt «public» comme la DREAL en France, la direction régionale de l’environnement, ou privées tel 1% for the Planet, fondation 100% contrôlée depuis les USA
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Le 27 juin, un Jack Russell a été attaqué par des loups et tué dans le jardin de ses maîtres à Sant’Ermete (Emilie-Romaine).
Fin février, à Rimini, trois alpagas et 12 brebis ont été tués par des loups qui s’aventurent désormais sur la plage et tout près des maisons ; des randonnées sont annulées en raison du danger. Tandis que le quotidien de Rimini braille toute son ignorance, sa crasse bêtise et sa mauvaise foi : «Le loup ne représente aucun danger pour le citoyen, car ce sont des animaux timides et réserves qui sortent surtout la nuit. Il faut absolument tenir en tête que le loup est protégé et que le chasser est totalement interdite».
Ou encore le 15 avril 2023 on pouvait lire dans Il Gallo alors que des loups rôdent dans les champs : «Le loup a réussi peu à peu – grâce à Dieu (sic) – à investir le Salento, quoique les gens en ont encore peur. Il faut se dire que la présence du loup est une chose extrêmement positive pour notre territoire...»
Or, tout ce que nous venons de voir, c’est l’étape 4 sur 7 sur l’Echelle de Geist.
«4. Les loups se mettent à attaquer des petits animaux d’élevage (chèvres, agneaux) ainsi que des chiens et chats domestiques. Les loups deviennent agressifs avec les chiens domestiques et les suivent jusqu’à la terrasse de leur maison. Les êtres humains en promenade avec leur chien doivent soudainement défendre le chien contre les loups».
Cela signifie qu’en Italie – presque partout en Italie – les loups se sont reproduits au point d’avoir dévoré les proies disponibles en forêt et devoir impérativement se «nourrir sur la bête» : sur l’homme, ses enfants (déjà victimes de plusieurs attaques) et sur ses animaux domestiques et de compagnie.
Pour la seule année 2022, 300 (trois cents) chiens de compagnie ont été déchiquetés et mangés par des loups en Italie – chiens de chasse, chien de truffe, chiens de compagnie dans leur propre jardin. Selon Isabella Villa de Federcaccia «beaucoup de cas dans les Abruzzes, le Latium, Emilie Romaine notamment entre Parme et Piacenza. Forte augmentation d’attaques en Toscane surtout dans la zone d’Arezzo et de Chianti».
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Pour certains, l’Italie n’est que zone de plages et de bonne bouffe ; veuillez cependant noter que a/ les parcs et réserves naturelles italiennes sont désormais très dangereuses en raison de la présence hors-contrôle de loups et d’ours b/ l’Italie est l’un des pays les plus densément peuplés de la planète, ce qui veut dire que les hommes n’ont nulle part où fuir le loup c / Arezzo ou Chianti sont des régions viticoles ou des millions, littéralement, de touristes se promènent dans les vignes, sentiers et collines d/ les autorités locales, le gouvernement régional, préféreront pourchasser et verbaliser les populations locales menacées par le loup que vous défendre e/ le port d’armes sauf pour la chasse est interdit en Italie.
L’Italie est envahie de loups. Même pas peur ? Eh bien, pourquoi ne pas envoyer vos enfants jouer, le soir, en dehors de la clôture de votre pittoresque gîte rural près Arezzo.
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Rappel de l’échelle de Geist :
Étape 1 : Sur le territoire occupé par la meute de loups, les proies se raréfient car elles sont soit dévorées soit parties en fuite. Les loups se mettent à rôder dans les dépôts d’immondices.
- Dans la nuit, les loups cherchent de la nourriture et s’approchent des poubelles des habitations humaines. Les chiens de ferme aboient constamment.
Les loups apparaissent en plein jour, et s’occupent à observer attentivement les êtres humains vaquant à leurs occupations.
Les loups se mettent à attaquer des petits animaux d’élevage (chèvres, agneaux) ainsi que des chiens et chats domestiques. Les loups deviennent agressifs avec les chiens domestiques et les suivent jusqu’à la terrasse de leur maison. Les êtres humains en promenade avec leur chien doivent soudainement défendre le chien contre les loups.
Les loups commencent à agresser du bétail de grande taille (bœufs, chevaux) dont ils arrachent la queue, sectionnent les oreilles etc. Le bétail terrorisé commence à briser des clôtures en cherchant abri. Les loups deviennent de plus en plus sans gêne et se mettent à tuer des chevaux ou du bétail proche de maisons et granges. Des loups suivent à la trace des cavaliers en promenade à cheval et les entourent agressivement. Ils se mettent à grimper sur les terrasses des maisons et observent les habitants à travers les fenêtres.
Les loups commencent à s’intéresser directement à l’homme et les approchent de plus en plus près, au début comme s’ils ne voulaient que les examiner de près. Ils font des gestes apparemment hésitants, presque «ludiques», en déchirant des vêtements, en mordillant qui une jambe, qui le torse. Lorsque l’Homme les confronte, ils se retirent. Mais ils défendent les proies qu’ils ont tuées en avançant vers l’Homme et grognant et aboyant à une distance de 10 à 20 pas.
Les loups attaquent l’homme. Au début, ils sont malhabiles car ils n’ont pas appris comment tuer un homme de façon efficace ; ainsi les premières attaques sont souvent un «échec» – pour le loup. Un homme adulte, déterminé et courageux peut repousser ou étrangler un loup isolé à l’attaque. Contre une meute de loups il n’y a aucun moyen de se défendre.
Mendelssohn Moses
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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