UNE SÉRIE POUR ENFANTS

UNE SÉRIE POUR ENFANTS

Dixit satanas… France en sous- France : le plan d’atomisation de l’ombre en accélération

https://vk.com/video618358405_456239103

La liquidation de la littérature française, afin de détruire la mémoire patricienne du Peuple!

Loi de Programmation Militaire, Explication : https://odysee.com/@babcala:4/VID_20230708_083158_540:9

une série d’animation pour détruire l’enfance

BFMTV
QUEER ET POLITIQUE, “MIRACULOUS”
LA SÉRIE POUR ENFANTS QUI COMBAT LES STÉRÉOTYPES

Représentation queer, féminisme intersectionnel, dénonciation de la tyrannie et des injustices sociales… Véritable phénomène de société diffusé dans plus de 150 pays, la série Miraculous, destinée aux 4-10 ans, a été saluée pour son discours inclusif et son regard progressiste sur la société et ses évolutions.

Une démarche qui résonne particulièrement auprès des fans de la série, dont fait partie Daphné, très active sur les réseaux sociaux. “On sent que l’équipe d’écriture veut mettre en scène des profils de personnages différents pour montrer que c’est normal”, nous livre-t-elle.

“Les fans se sont saisis de ces représentations, qui restent le plus souvent discrètes et implicites dans la série, pour les faire advenir de manière plus explicite dans des fan fictions”,

“Ils utilisent l’univers de Miraculous pour aborder des thématiques qui font l’objet d’un débat fortement polarisé ces derniers temps sur les questions de genre et de sexualité

Le message est clair: l’avenir est entre les mains des enfants.

 Mais l’équipe créative de Miraculous se heurte parfois aux contraintes imposées par les chaînes aux programmes pour enfants.

TF1 a ainsi retiré une séquence de l’épisode Qilin, en 2022, où la mère de Marinette est menottée par la police dans un bus pour défaut de ticket.

La scène, inspirée par la répression des manifestations de Gilets jaunes en 2019, avait été retirée à la demande de la première chaîne pour ne pas donner une mauvais image des institutions aux enfants, pour qu’ils puissent avoir confiance en elles, selon Thomas Astruc.

Mélanie Lallet 

“Ils iront aussi loin qu’ils en ont la possibilité”,  assure-t-elle.

Reste à voir si ce modèle sera suivi:
“On peut s’attendre à voir différentes productions, pour les chaînes privées ou le service public, aborder plus frontalement ces thématiques.”

https://www.bfmtv.com/people/series/queer-et-politique-miraculous-la-serie-pour-enfants-qui-combat-les-stereotypes_AN-202307080034.html

Vaccination illégale

LE GOUVERNEMENT PRÉVOIT D ORGANISER LA VACCINATION HPV DE TOUS LES ÉLÈVES DE 5EME DANS LE CADRE SCOLAIRE

« En ce qui concerne la mise en place éventuelle, par le ministère de l’Education et le ministère de la Santé conjointement, d’une campagne de vaccination obligatoire au sein des établissements scolaires, nous rappellerons, que cela n’est pas autorisé par la loi, a fortiori dans l’hypothèse où le représentant légal n’a pas donné son accord.

En effet, dans le cadre des discussions en première lecture devant le Sénat, concernant le projet de loi n°1481 pour une école de la confiance (Loi promulguée n°2019-791 du 26 juillet 2019), le gouvernement avait déposé un amendement n° 508 modifiant l’article 16 ter du projet de loi (article définitif 53) ainsi rédigé:

« L’article L. 541-1 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

Les médecins de l’éducation nationale peuvent prescrire des actes diagnostiques et, à titre préventif, des produits de santé. Un décret fixe la liste et les conditions de prescription de ces actes et produits de santé. Ces actes et produits sont remboursés par les caisses d’assurance maladie dans les conditions de prise en charge prévues par le code de la sécurité sociale.
« Les infirmiers de l’éducation nationale peuvent administrer aux élèves ou étudiants des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire. À titre exceptionnel et dans le cadre de protocoles d’urgence, ils peuvent administrer des médicaments soumis à prescription médicale obligatoire. Un décret détermine les modalités d’application du présent alinéa et fixe les listes de médicaments soumis et non soumis à prescription médicale obligatoire que peuvent administrer les infirmiers de l’éducation nationale aux élèves et aux étudiants. »

Lors de la séance de discussion en date du 17 mai 2019 au Sénat, le ministre de l’Education justifiait notamment cette modification de la manière suivante, en reprenant l’exposé de l’amendement:

« M. Jean-Michel Blanquer, ministre. Cet amendement a un double objet.
Tout d’abord, il reprend l’article 16 ter, introduit en commission, en y apportant des améliorations rédactionnelles, afin de préciser le cadre des prescriptions par les médecins de l’éducation nationale de certains actes et produits de santé.
(…)
Les actes concernés seront des actes ou des produits préventifs, tels qu’un bilan orthophonique ou orthoptique, un vaccin, une contraception. Un décret en précisera la liste. (…)
Le second alinéa de l’amendement a pour objet de sécuriser juridiquement l’administration aux élèves ou aux étudiants, par les infirmiers de l’éducation nationale, de médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire, dont la liste sera fixée par décret.
Pratiquée sauf indication contraire d’un médecin ou des responsables légaux de l’enfant, l’administration ainsi encadrée de certains médicaments permet un retour rapide en classe ou permet de soulager l’élève dans l’attente d’une prise en charge adaptée.
(…)
Enfin, cet alinéa sécurise juridiquement l’administration par les infirmiers de l’éducation nationale de médicaments soumis à prescription médicale obligatoire dans le cadre des protocoles, en particulier le protocole national de soins et d’urgence élaboré par le ministère de l’éducation nationale avec le ministère chargé de la santé.
Ainsi, cet amendement tend à sécuriser utilement ces activités importantes au quotidien pour la santé et la scolarité des élèves, dans le respect du droit de s’y opposer que détiennent évidemment les responsables légaux de l’enfant. C’est donc un amendement pragmatique ».

(suite) Or, l’article 16 ter dudit projet de loi, devenu l’article 53 définitif a été censuré par le Conseil constitutionnel, par décision n°2019-787 DC du 25 juillet 2019 (paragraphes 13 à 15), comme étant contraire à la Constitution étant donné que cet article ne présentait alors aucun lien, même indirect, avec les dispositions qui figuraient dans le projet de loi déposé à l’origine sur le bureau de l’Assemblée nationale. »

https://www.senat.fr/amendements/2018-2019/474/Amdt_508.html

https://www.senat.fr/seances/s201905/s20190517/s20190517_mono.html#R16ter

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000038829161

J’ajoute que l’article L541-1 du code de l’éducation n’a toujours pas été modifié en ce sens à ce jour :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043423973

Nous en concluons donc que les médecins et infirmiers de l’éducation nationale ne peuvent en aucun cas légalement administrer un vaccin aux élèves ou étudiants au sein des établissements scolaires, que ce soit avec ou sans le consentement de leur responsable légal.

Ils ne peuvent en aucun cas procéder à des actes médicaux.
Ces gestes médicaux ne peuvent avoir lieu au sein des établissements scolaires.

Les familles souhaitent donc savoir sur quelle base légale se fonde cette campagne vaccinale au sein des établissements scolaires.

Me Virginie de Araujo-Recchia

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You