Bataille d’experts autour de la bande-son de l’interpellation de Nahel

Bataille d’experts autour de la bande-son de l’interpellation de Nahel

Le 26 juin 2023, deux motards ont enjoint un jeune homme de 17 ans, au volant d’une Mercedes jaune, de s’arrêter. Tout le monde connaît la suite, la déflagration nationale, et antinationale.

Une semaine après le drame, deux « expertises » se font face : celle de l’IGPN, la police des polices, et celle des proches de Nahel et de leurs soutiens, qui contestent la version officielle de l’arrestation. Les uns parlent de « mise en danger », et donc de légitime défense, les autres de « meurtre ».

On commence par le procureur :

 

La thèse de l’IGPN, devenue officielle, est aussitôt contestée par la partie adverse :

 

 

Voici maintenant la position des proches de Nahel, relayée par Taha Bouhafs. Bouhafs est ce journaliste-militant franco-algérien qui a fait partie du Comité Adama, piloté par la sœur d’Adama Traoré, elle-même connectée à la fondation Rothschild.

Bouhafs, candidat LFI aux législatives de mai 2022, est écarté par la direction du parti sous la pression interne des féministes, qui l’accusent d’agressions sexuelles. Il est notamment, dans sa circonscription (la 14e du Rhône) opposé à l’ex-policier Bruno Attal, qui est devenu son ennemi personnel, qui a lui aussi posté sur l’affaire Nahel.

Les uns minimisent le caractère délinquant du jeune homme, les autres l’accentuent. Voici leurs interventions :

 
 

 

Sans prendre parti pour l’un des deux camps, et en attendant les résultats de l’enquête officielle, on peut dire que le mal est fait, de toute façon. La France a connu une fièvre identique – avec un degré supplémentaire de violence – à celle d’octobre 2005, quand le patron du ministre de l’Intérieur actuel était aux commandes. La prochaine déflagration sera plus violente encore, puisque les causes, dont parle Alain Soral dans sa vidéo, ne sont pas traitées. Et pour cause…

Ingénierie sociale ou pas, l’affaire Nahel replonge la tête de notre pays dans son assiette de merde. Une partie grandissante de la France n’obéit plus aux lois, mais c’est pareil en haut lieu : on peut dire que l’Élysée et Matignon font partie des territoires perdus de la République, au vrai sens du terme !

Si l’on parle de la vraie République, une et indivisible – qui n’admet pas de pouvoirs communautaires et encore moins occultes entre le citoyen et l’État –, celle imaginée par le CNR, alors l’oligarchie qui mène notre pays au désastre est antirépublicaine. C’est pourquoi, dans une inversion orwellienne parfaite, elle a tout le temps le mot « République » à la bouche.

Archive : Malek Boutih, symbole de SOS Racisme,
et sa théorie de « l’abandon » (19 mai 2018)

 

L’antiracisme antifrançais a la vie dure

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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