Hunter Biden, qui fait la fierté de son père président, plaide coupable. L’échéance présidentielle approche pour Speepy Joe, pas question de traîner son fils comme un boulet. Il faut donc qu’il semble faire amende honorable, en reconnaissant sa culpabilité, en se débarrassant de sa culpabilité, sur des points peu importants. Point d’affaire ukrainienne ou de fillettes en l’espèce.
Hunter plaidant coupable, quand on sait le curriculum du gars, on pense tout de go à des affaires pédocriminelles ou à la corruption en Ukraine, quand papa était vice-président du prix Nobel de la Paix Obama. Justement, il est question de faire écran, un bel écran de fumée, en feignant d’accepter ouvertement devant la société ses errements passés, quand il était un alcoolique consommant aussi d’autres drogues. Reconnaître des faits mineurs, pour faire oublier à ceux qui ne demandent que ça des faits plus graves. D’autant plus qu’on aime bien, en Amérique, les repentis, les reborn.
C’est donc pour fraude fiscale et détention illégale d’arme à feu, acquise alors qu’il était un drogué notoire et donc pas en droit de s’en procurer une, que le fils dégénéré du corrompu et désormais sénile Joe Biden plaide coupable. Pour ces deux affaires, il n’ira pas en prison, mais sortira de sa poche quelques billets verts, parmi les millions qu’il a acquis illégalement. Donald Trump a d’ailleurs fait remarquer qu’il n’écopait que d’une « amende » et que le système judiciaire était « cassé ». Chacun sait là-bas qu’il n’y a que le retour de Trump à la présidence qui permettrait de le mettre au trou. En attendant, Joe Biden joue les pères compréhensifs, qui aime son fils malgré ses péchés et est fier de sa résilience…
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