- Volker Beck, célèbre « figure de proue » du parti Bündnis90/Grüne :
Pour l’ouvrage scandaleux « Der pädosexuelle Komplex » (Le complexe pédosexuel), le politicien des Verts et militant homosexuel Volker Beck a rédigé en 1988 un chapitre intitulé « Das Strafrecht ändern ? » (Changer le droit pénal ?).
On y trouve la fameuse déclaration de Beck selon laquelle la lutte pour l’égalité entre l’homosexualité et l’hétérosexualité « peut empêcher la consolidation d’un climat de répression sexuelle », condition sine qua non pour « pouvoir un jour entamer la lutte pour la dépénalisation au moins partielle de la pédosexualité ».
Beck sait très bien jusqu’où il peut aller dans ses interventions en faveur des minorités sans perdre son statut de bien-pensant. Il y a bien eu des dérapages sur de tels sentiers battus, mais il a su les relativiser avec agilité. Par exemple, lorsqu’il a plaidé il y a des années pour une « objectivation de la discussion sur le problème de la pédosexualité » et a proposé d’abaisser l’âge de protection pour le sexe des enfants à moins de 14 ans et d’introduire une clause de non-punissabilité. En décriminalisant la pédosexualité, il voulait – attention à l’argot de Beck ! – « faire quelque chose pour la situation de vie des personnes pédophiles ».
- son camarade de parti et d’opinion Daniel Cohn-Bendit (et ami de Joschka Fischer)
Des faits effrayants apparaissent lorsqu’on étudie de plus près les anciennes publications de Daniel Cohn-Bendit. Le militant soixante-huitard de l’époque, porte-parole du mouvement étudiant antiautoritaire en France et en Allemagne et aujourd’hui éminent député des Verts au Parlement européen, a décrit en détail dans son livre de mémoires « Le grand bazar » (1975) ses expériences sexuelles avec des enfants de cinq ans.
Ce que Cohn-Bendit a écrit dans ce livre, épuisé depuis longtemps et extrêmement difficile à trouver chez les antiquaires, laisse le souffle coupé à tout lecteur doté d’une once de décence morale et de sens moral. Voici quelques extraits du chapitre « Little Big Men », publié aux pages 139 à 147 dudit livre, dans le texte original non modifié :
La double morale des médias ne pourrait pas être plus ennuyeuse : Pendant que l’on détruit médiatiquement l’Eglise catholique, le politicien des Verts d’origine juive (et athée déclaré) Cohn-Bendit peut parler de ses aventures pédophiles devant la caméra ( !) et reste député européen du parti des Verts ! Il n’y a pas de problème à être anticlérical, mais celui qui dirait quelque chose contre l’abuseur d’enfants serait antisémite. C’est aussi ce qu’on a reproché à Bettina Röhl, qui voulait dénoncer publiquement ses perversités…
« Cela faisait longtemps que j’avais envie de travailler dans un jardin d’enfants. Le mouvement étudiant allemand a produit ses propres jardins d’enfants antiautoritaires, plus ou moins soutenus par les administrations municipales. En 1972, j’ai donc posé ma candidature au jardin d’enfants de l’université de Francfort, qui est autogéré par les parents et soutenu par le Studentenwerk et la ville. (…)
Les parents m’ont acceptée comme personne de référence. J’ai travaillé dans ce jardin d’enfants pendant deux ans. Il y avait des enfants de deux à cinq ans – une expérience fantastique. Si nous sommes un peu ouverts, les enfants peuvent beaucoup nous aider à comprendre nos propres réactions. Ils ont une grande capacité à saisir ce qui se passe chez les grands. (…)
Mon flirt permanent avec tous les enfants a vite pris des allures érotiques. Je pouvais vraiment sentir comment les petites filles de cinq ans avaient déjà appris à me draguer. C’est à peine croyable. La plupart du temps, j’étais assez désarmée. (…) »
Nous vous épargnerons les autres passages !
Avant même la parution de ce livre, Cohn-Bendit a été expulsé de France en raison de son attitude séditieuse lors du mouvement étudiant. En 2001, c’est surtout Bettina Röhl qui s’est efforcée de dénoncer publiquement la pédérastie de Cohn-Bendit. En France, cela a donné lieu à de violents débats qui ont coûté à Cohn-Bendit son prestige social ; en Allemagne, les accusations ont été soit passées sous silence, soit qualifiées d’antisémitisme, soit minimisées par quelques phrases légères : Le texte est « formulé de manière bâclée », disait-on.
Il n’est pas question de démissionner !
Pas d’excuses publiques de la part des Verts/ Alliance 90 !
Au contraire : aujourd’hui, Cohn-Bendit est député européen à Bruxelles !
Alors que les médias de masse crient et s’agitent jusqu’à ce que l’abbé, le prieur et le directeur de l’école du monastère d’Ettal, des hommes intègres et compétents, doivent démissionner parce que quelqu’un a mal réagi avant eux, un Vert peut raconter ses expériences pédophiles dans les médias et reste un homme politique européen !
- la libération sexuelle de la gauche en 1968 : Prof. Dr Helmut Kentler de la « Société allemande de recherche sur la sexualité ».
La soi-disant « libération sexuelle » revendiquée par les gauchistes de 68 a largement favorisé les abus sur les enfants. Le professeur Helmut Kentler (+ 9.7.2008), pédagogue social, en était le leader idéologique. C’était l’époque où Kentler, pédosexuel avoué, pouvait revendiquer sans contestation possible « l’amour libre » avec les enfants et recommander, en tant qu’expert judiciaire, dans des études « scientifiques », de placer les jeunes délinquants « chez des pédérastes intéressés par la pédagogie ».
Kentler était membre du conseil consultatif de la HU (Humanistische Union), dont fait également partie la ministre de la justice Leutheusser-Schnarrenberger ! C’est cette dernière qui a crié le plus fort contre l’Eglise dans le scandale des abus sexuels.
Helmut Kentler a affirmé qu’un « petit enfant sain » a un besoin d’onanisme qui est simplement réprimé par une « éducation sexuelle répressive ». Il a demandé que soient « développées des représentations de la sexualité émancipée » – également pour les jeunes enfants – qui pourraient s’orienter vers un « caractère ludique polymorphe et pervers de la sexualité ». Il affirmait même que « ce n’est pas le premier sourire, mais … les jeux avec les parties génitales » qui représentent des approches de l’enfant « vers ses premières performances indépendantes et intelligentes ».
La « caractéristique d’une éducation vraiment favorable à la sexualité » est que les enfants peuvent « vivre librement leur soif de découverte » et qu’ils n’ont pas besoin de « réprimer les désirs pulsionnels qu’ils ont envers les adultes sous la pression des interdits ».
Kentler a donc également recommandé des modifications du tabou de l’inceste entre parents et enfants : Les enfants ne devraient plus être exclus de la sexualité des adultes, mais devraient pouvoir faire des « expériences ».
L’objectif d’Helmut Kentler était d’agir sur la « situation expérimentale de la vie sexuelle », en particulier chez les enfants ; d’ »établir consciemment l’éducation sexuelle comme une éducation politique » et d’activer le « potentiel de changement social qu’elle recèle ». Cette éducation sexuelle devait changer « l’attitude de soumission dont a besoin un système social fondé sur la domination de quelques-uns et la domination de beaucoup ». Le système social existant devait être combattu et « surmonté ». Face à cet intérêt politique, Helmut Kentler et ses compagnons de route considéraient que les « violations des limites » – y compris entre adultes et enfants – n’étaient pas seulement autorisées, mais même nécessaires et qu’elles s’imposaient au nom du « progrès ».
A la fin des années 60 et au début des années 70, le « sexologue berlinois renommé » Helmut Kentler était un « expert » souvent cité dans le SPIEGEL pour de nombreux problèmes de la vie psychique des Allemands.
EMMA a cité le professeur émérite Kentler en disant que le « vrai pédéraste » n’avait « en général pas besoin de violence ». En effet, les « vrais pédophiles » sont « extrêmement sensibles aux dommages causés aux enfants ». Par « vrai pédéraste », Kentler entend « un homme qui connaît, accepte et vit sa détermination ».
Helmut Kentler, lui-même homosexuel avoué et membre de longue date du curatorium de l’AHS (Arbeitsgemeinschaft Humane Sexualität, une organisation de pédophiles), a laissé entendre à propos de son « projet de pères prêteurs » : « J’ai compris que les trois hommes faisaient surtout beaucoup pour « leurs » garçons parce qu’ils avaient une relation sexuelle avec eux ». Mais pas d’inquiétude : « Ils n’exerçaient aucune contrainte sur les garçons et je veillais particulièrement, lors de ma supervision, à ce que les garçons ne se sentent pas sous pression ».
Ici aussi, le tableau est le même : Alors qu’un professeur de gauche encourage publiquement les actes sexuels d’enfants avec des adultes, voire l’inceste, et admet que ses prêteurs homosexuels abusent sexuellement des enfants, un évêque, Mgr Mixa, est vilipendé par les médias parce qu’il constate tout à fait sobrement et clairement une « sexualisation de la société » !
La double morale a atteint son paroxysme.
Cela suffit : nous exigeons la démission immédiate de tous les agitateurs verts et de gauche qui se sont engagés par le passé en faveur de la sexualité des enfants et des excuses publiques du parti Bündnis90/Die Grünen ainsi que des partis de gauche impliqués !
Karikatur: Junge Freiheit
Pourquoi aucun politicien des Verts ne doit-il démissionner pour avoir avoué publiquement avoir abusé d’enfants ?
Pourquoi le SPD ne doit-il pas s’excuser publiquement pour avoir demandé en 1980, dans le cadre de la réforme du droit sexuel, la suppression totale du paragraphe sur la pédophilie : la sexualité avec des enfants de moins de 14 ans aurait alors été légale !
Pourquoi aucun politicien des Verts ne doit-il démissionner pour avoir avoué publiquement avoir abusé d’enfants ?
Pourquoi le SPD ne doit-il pas s’excuser publiquement pour avoir demandé en 1980, dans le cadre de la réforme du droit sexuel, la suppression totale du paragraphe sur les pédophiles : la sexualité avec des enfants de moins de 14 ans aurait alors été légale !
Source : Bulletin d’information d’avril 2010 n° 375
Le passé pédophile de Daniel Cohn-Bendit
Le violeur d’enfants
Par Thomas Meier, Zurich
Des faits effrayants apparaissent lorsqu’on étudie de plus près les publications antérieures de Daniel Cohn-Bendit. Le militant soixante-huitard de l’époque, porte-parole du mouvement étudiant anti-autoritaire en France et en Allemagne et aujourd’hui éminent député des Verts au Parlement européen, a décrit en détail ses expériences sexuelles avec des enfants de cinq ans dans son livre de mémoires « Le grand bazar ».
Daniel Cohn-Bendit, homme politique devenu célèbre pour avoir été l’un des leaders du mouvement étudiant à la fin des années soixante et dans les années soixante-dix, aujourd’hui député européen des Verts, a publié en 1975, sous le titre « Le grand bazar », un livre aujourd’hui tombé dans l’oubli, dans lequel il consignait, selon ses propres termes, ses « états des lieux et conclusions de l’histoire des dix dernières années ». Le journal « Schweizerzeit » a réussi à mettre la main sur un exemplaire de ce livre de mémoires épuisé depuis longtemps. Ce que Cohn-Bendit y a écrit coupe le souffle à tout lecteur doté d’un tant soit peu de décence morale et de sens moral. Voici quelques extraits du chapitre « Little Big Men », publié aux pages 139 à 147 dudit livre, dans le texte original non modifié :
« Cela faisait longtemps que j’avais envie de travailler dans un jardin d’enfants. Le mouvement étudiant allemand a créé ses propres jardins d’enfants antiautoritaires, plus ou moins soutenus par les municipalités. J’ai alors posé ma candidature en 1972 au jardin d’enfants de l’université de Francfort, qui est autogéré par les parents et soutenu par le Studentenwerk et la ville. (…)
Les parents m’ont acceptée comme personne de référence. J’ai travaillé dans ce jardin d’enfants pendant deux ans. Il y avait des enfants de deux à cinq ans – une expérience fantastique. Si nous sommes un peu ouverts, les enfants peuvent beaucoup nous aider à comprendre nos propres réactions. Ils ont une grande capacité à saisir ce qui se passe chez les grands. (…)
Mon flirt permanent avec tous les enfants a vite pris des allures érotiques. Je pouvais vraiment sentir comment les petites filles de cinq ans avaient déjà appris à me draguer. C’est à peine croyable. La plupart du temps, j’étais assez désarmée. (…)
Il m’est arrivé plusieurs fois que certains enfants ouvrent ma braguette et commencent à me caresser. J’ai réagi différemment selon les circonstances, mais leur désir me posait problème. Je leur demandais : « Pourquoi ne jouez-vous pas entre vous, pourquoi m’avez-vous choisi moi et pas d’autres enfants ? » Mais s’ils insistaient, je les espaçais quand même ».
L’ancien ministre allemand des Affaires étrangères Klaus Kinkel a été l’un des premiers à s’intéresser au passé pédophile de l’eurodéputé Cohn-Bendit. Le Souabe se bat depuis des années contre les abus sexuels sur les enfants.
L’ancien ministre allemand des Affaires étrangères Klaus Kinkel a été l’un des premiers à s’intéresser au passé pédophile de l’eurodéputé Cohn-Bendit. Le Souabe lutte depuis des années contre les abus sexuels sur les enfants.
Dans une lettre ouverte à Cohn-Bendit publiée le 31 janvier 2001 dans le quotidien berlinois « B.Z. », Kinkel a exigé « une clarification claire sur le fait qu’en contact avec les enfants, il n’y a jamais eu d’attouchements indécents chez vous ou par vous ». Selon Kinkel, la manière dont Cohn-Bendit aborde un sujet aussi sensible, où il est question d’une question centrale de morale, « ne peut s’expliquer ni par la situation de l’éducation antiautoritaire des enfants à l’époque, ni par la naïveté ». Celui qui veut être le témoin principal de la génération soixante-huitarde doit « appliquer et faire appliquer des critères sérieux à lui-même ».
Dans sa lettre de réponse, également publiée dans le Berliner Zeitung précité, Cohn-Bendit explique qu’à l’époque, il n’était « pas conscient du problème ». On avait essayé de « définir une nouvelle morale sexuelle dans un discours collectif ». Les scènes de sexe qu’il a décrites étaient une « autoréflexion sur le moi », par laquelle il a voulu « exacerber et provoquer ». Ce faisant, il voulait « se profiler comme un briseur de tabous ».
Avec cette réponse, Cohn-Bendit n’a manifestement pas apporté la clarification qu’il exigeait, à savoir qu’il n’y a pas eu de contacts sexuels avec des enfants. La description de ses expériences sexuelles avec des enfants de cinq ans n’est ni une fiction, ni une fantaisie, ni une simple provocation, comme le montre le résumé de la couverture du livre : il y est expliqué que les « récits et réflexions du « bazar » de Cohn-Bendit sont en même temps des états des lieux et des conclusions de l’histoire des dix dernières années », « des rapports et des autoportraits écrits de manière vivante et passionnante par ceux qui ont résisté à la société ».
La prise de position de Cohn-Bendit ressemble à une justification. Le 1er février 2001, Klaus Kinkel a réagi de manière pertinente à la réaction de Cohn-Bendit dans le journal « B.Z. » en déclarant que celui qui n’a qu’une petite étincelle de responsabilité ne doit pas chercher à se justifier dans une affaire aussi monstrueuse. Le grand moralisateur autoproclamé des soixante-huitards s’est maintenant démasqué par sa réaction. Les terribles abus sexuels commis sur des enfants de cinq ans qui lui ont été confiés, et qui ne peuvent être justifiés sous aucun prétexte, sont une chose. L’autre est le grand silence qui règne aujourd’hui sur ces terribles événements. Les politiciens de gauche ferment les yeux sur leur passé. Et les faits dont on ne peut empêcher la fuite vers le public sont minimisés de manière héroïque et expliqués par les circonstances de l’époque. L’histoire des soixante-huitards reste à écrire.
La télévision suisse DRS va bien au-delà d’un simple silence bienveillant. Elle a élevé le politicien vert Cohn-Bendit au rang de « pape de la littérature » et le laisse présenter dix fois par an des livres actuels dans son émission « Literaturclub ». Il est étonnant que la télévision suisse alémanique, qui joue d’habitude à chaque occasion le rôle d’obscurantiste de la nation, puisse se permettre d’employer un pédophile comme directeur d’une émission culturelle.
Source : Schweizerzeit Verlags AG, 8416 Flaach,
n° 5, 23 février 2001
Thomas Meier
La vidéo a entre-temps été retirée de « youtube ».
On peut voir jusqu’où vont les relations d’un ancien
lorsqu’il s’agit de dissimuler des preuves à la justice.
contre sa personne au public.
Le « grand bazar », de Cohn-Bendit,
doit servir ici de preuve de
son orientation pédophile suffit
Source en allemand : BabyKaust.de. traduit avec DeepL
Autres sources : The Brain
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme