Les escrocolos sont un fléau

Par WD

Au nom de l’écologie, ce paravent de la nouvelle dictature d’essence davosienne, il s’en passe des vilenies dans nos pays européens. Ailleurs dans le monde, personne ne veut retourner à l’âge de pierre induit par les prédications des prophètes de la fin du monde. L’escrocologie attaque sans relâche les gueux, les gens de peu, les crèves la misère, les économiquement faibles, les maillons faibles de la société. L’escrocologie préempte déjà sur les biens durement acquis par d’autres diables mieux lotis. Au nom des artifices et subterfuges scientifiques manipulés et financés par les grands de ce monde, la régression sociale par ailleurs déjà bien présente par les effets d’autres facteurs économiques, est renfoncée par le diktat écologique. Elle tend à se développer scandaleusement par l’application des théories écologiques. La verte attitude devient une nouvelle escroquerie légale. Elle impose des normes ubuesques qui ponctionnent le citoyen déjà affaibli par l’économie générale. Son œuvre d’immixtion dans les foyers relève des dragonnades d’antan. Elle favorise la délation via les idiots utiles « Al gorisés ». Sa tyrannie législative n’est pas de bonne augure.

Même le crétin BFMitisé se rend compte qu’il va devoir sortir des billets pour satisfaire le desiderata écolo-alarmiste. Il se rend compte que son rythme de vie pourtant parcimonieux est la cible d’une dystopie néoconservatrice. Il commence à percuter que toute la propagande réchauffiste conjuguée à toutes les sauces, dans la moindre déclaration à tous propos pue le larcin d’état.

Les escrocolos réussissent à nous faire payer les 4 éléments fondamentaux ; l’air, l’eau, la terre et le feu alias l’énergie. Tout est taxé, contrôlé, conditionné, pour soit disant « sauver la planète ». C’est surtout pour alimenter les bénéfices de sombres officines qui sourdent partout. Il y a pléthore de pastilles, de vignettes, de taxes volontaires obligatoires, de normes grotesques qui mis à part nous spolier le peu d’argent qui nous reste, ne sont guère pertinentes. Comment le seraient-elles puisque tout repose sur des mensonges ? Elles ne peuvent être redoutablement efficaces puisque les slogans alarmistes prennent leurs sources dans la production scientifique sciemment falsifiée. Cette dernière est commandée comme chacun sait ici sur PG, par les puissants milliardaires mondialistes.

Tout sort des institutions mondiales créées et/ou financées par eux. On connaît bien le générosité sans borne d’un Gâtes, d’un Soros ou d’un Rockefeller. Ils sont tous dans l’arrière boutique de ces agences internationales à tirer les ficelles. Ils donnent leurs ordres à l’Open Society University Network, la Green Cross International, Global Green USA, Greenpeace fund inc, GIEC etc. Les braves gens que voilà. Ils veulent passer pour des humanistes, eux qui ont fait fortune en justement se comportant inversement. On ne vous apprend rien en la matière.

Comment résister à tous ces mensonges, à toutes ces manipulations, à tout ce martelage idéologique qui depuis l’école jusqu’aux discours politiques nous surinent la sérénade apocalyptique ? Tel l’écrit de St-Jean, le chant funèbre écologiste traumatise les peuples. Il crée des dérives, des excès, des actes inconsidérés de type Pavlovien. Quand on promet la fin des temps aux peuples du monde, il ne peut rien sortir de positif dans les réactions. Pour arriver à croire que le problème environnemental vient des 17 000 vaches françaises, il faut avoir le cerveau en bouillie.

Rares sont gens qui se scandalisent de toutes les invisibilisations des réalités environnementales. Les vraies études scientifiques, objectives par définition, sont mises à la poubelle et on jette l’opprobre sur les auteurs. Il y a une volonté délibérée de nous mettre dans un système carcéral conforme à une dystopie écologique. Cette force dictatoriale utilise l’affectif et l’instinct pour shunter la raison. C’est une vielle manœuvre, certes, mais toujours redoutablement efficace. La comédie covidienne est là pour tragiquement le prouver.

Source : WD

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