Comment « leur » propre com’ les détruit ? — Gilbert GUINGANT

Comment « leur » propre com’ les détruit ? — Gilbert GUINGANT

Nous ne croyons plus un mot de ce gouvernement. Ils ne sont plus crédibles sur rien. Ils commettent erreurs sur erreurs. Et alors ? Normalement, il devrait y avoir comme d’énergiques ajustements. Or, pas du tout ! A la place, ils accusent les populations du fait flagrant qu’ils commettent erreurs sur erreurs. Ce ne peuvent être ces gouvernements les auteurs de ces résultats désastreux. Ils sont « trop intelligents » pour cela. Au point de n’avoir besoin ni de débats, ni de référendums, ni de Parlement, ni de consultations, etc. D’ailleurs il n’y a pas de désindustrialisation. Vous pensez bien que nous y aurions pensé avant. C’est donc complètement impossible. Ou alors ce ne peut être que la faute du peuple. Quoi donc sa faute ? Eh bien de subir nos excellentes décisions, et de ne pas s’en sentir mieux etc. C’est ainsi que « leur » com’ se retourne entièrement contre eux ? Tant d’actuels évènements émergents l’attestent !

De parcourir rapidement la genèse de ce fait rarissime fait obtenir ceci :

Le prodige devient qu’il faille toujours moins de raisonnements afin de démanteler leur propagande. Oui, plus rapidement, de bonnes analyses nous conduisent au cœur central du sujet. Et à l’élucidation puissante de la situation actuelle. Agir va devenir toujours plus aisé. Ce qui signifie que, quel que soit le point de la situation que vous analysez, les conclusions convergent toutes. Et puis ? Se voit bien mis tout nu ce système de la bêtise au sommet, qui ne survit qu’à coups de dénis du réel, de répressions disproportionnées et de discours devenus vraiment déments

Expérimenter c’est savoir. C’est surtout entrer dans le plus dur du sujet : là où il faut mettre toutes ses forces afin de vaincre les blocages bornés.

Ce pourquoi le retour du réel devient le thème fort de ce texte. Les chiffres déchiffrent ? Par exemple, 45 % des ex-votants Macron sont contre sa réforme des retraites. Donc plus du tout pour lui ! Ce que nous disions depuis le tout début se confirme : à peine 10 % de la population le soutient effectivement en pleine conscience. C’est que jamais, en 2017, il n’a été voté « pour son programme », surtout non débattu. Et puis aucune manifestation de rue pro-Macron ne viendra jamais l’appuyer. Dans les chiffres réels, le macronisme ne va pas bien du tout. Nous allons le démontrer.

En un second temps, nous exposons que les harcèlements médiatiques permanents ne sont plus suivis d’effets. Oui, combien les feuilles de route paraissent en complètes déroutes. Puisque, à part les effectifs pillages, non constitutionnels**, de l’argent public pour le privé, aucune annonce n’a de suites concrètes.

*** Ce en quoi les articles 2 et 3 de la Constitution désavouent à 100 % le macronisme !

Le vrai réel n’est donc que l’inverse de ce qui est si stupidement menti dans la com’ ? Aller voir c’est savoir ! Allons zenfants de…

1- Comment l’immobile immobilier dévoile trop de leurs niais montages ?

Déroute-oui-mais-à-la-française

« Les déroutes multiples se multiplient. » Là où leurs faiblesses réelles débordent de partout en même temps. Ils ne vont plus garder la moindre majorité, vous allez voir.

« – D’abord, celles des Républicains. Les militants se font rares et ne renouvellent plus leurs cartes, à 80%. Les 40 000 adhérents me semblent bien optimistes, et les seuls adhérents sont finalement, les élus, et leurs familles. Quant à ceux du camp Macron qui raillent, en disant que les partis sont venus chez eux, il faudrait qu’ils aient des adhérents. » Ce qui manque par-dessus tout.

– Bredin le Grand à L’Élysée, garde visiblement le marché immobilier dans le viseur. Sur le fond, l’immobilier est un vaste destructeur de richesses (…) mais l’immobilier est ce qui aide la machinerie économique à tenir debout, et qui a servi de roue de secours à la désindustrialisation. De fait, le prétendu « marché » immobilier existe en grande partie à cause du laxisme étatique. Vu qu’il est très facile de plafonner les distributions de crédit, ce qui se faisait dans les années 60 et début 70, mis en pièce par le banquier Pompidou. On pouvait tout aussi bien laisser un apport personnel conséquent. Et non prêter à 110 % du projet, en fait des insolvables. » Toujours mieux montrés et en très court, les rouages roués de « leur » système en pleine déconfiture. Plus que nous croyons ? Il suffit de voir ceci :

« Le bâtiment a été chargé, pendant ces 20 dernières années, de faire du chiffre, alors qu’il est totalement improductif, ne produit vraiment rien (…). Je suis content que le macronisme me suive dans cette appréciation. Mais il est une chose sûre, il n’a aucune idée personnelle, ni d’ailleurs aucune idée. » Faire du chiffre est bien une très mauvaise « bonne » idée. A laquelle seuls des fainéants des analyses et synthèses truquées s’adonnent. D’où plus leur plus grand désarroi lorsque la Force du Réel revient les chercher. Ne faire que du chiffre détruit qui s’y droguent ! Le bilan fait de la bile.

« Les commerces à proximité des centres d’affaires sont en très grande difficulté financière parce qu’ils ont une fréquentation largement en berne, les transports en commun connaissent une affluence inégale pendant la semaine et peinent à s’adapter (peu de voyageurs en fin et début de semaine, beaucoup en milieu).

L’Immobilier de bureau traverse une crise très grave avec une vacance des bureaux qui explosent au contraire de commerces des petites villes qui souffrent moins. » Les services ça eût payé mais ça paie plus ! Les crétins avides vont tous finir à vide !

« Tout cela entraine la conséquence suivante : les agglomérations se vident et les prix de l’immobilier des grandes villes corrigent fortement.

Conséquence bancaire, ça finit par se voir » Se voir à quel point ces banquiers en banquettes ne sont plus vraiment dans aucune course. Ce n’est certainement pas rendre service au pays que de tout supprimer sauf les services, vices en main ! Depuis au moins 40 ans tous les politocards se sont donc trompés. Immensément. A 110 % fourvoyés. Le seul choix sain de la société devient d’évacuer ces égarés. Ces égarés nommés aussi les parasites. Ces hors-réel qui coûtent si cher à la vraie société. Rien à garder de ces lunatiques immoraux !

« Moralité, on ne peut remplacer l’industrie, ni par la banque, ni par la dette, ni par l’immobilier. Ça dure un temps certain, mais ça finit par imploser, entrainant le retentissant renouvellement politique. »

Ce qui offre gracieusement ? Que plus vite ils seront fermement tous virés, plus la vie en collectivité sensée pourra reprendre ! Enfin, presqu’une vie de perdue (la vôtre, la nôtre) à cause de ces grands malades ! Voici que la com’ commence à voir tout le monde se détourner enfin d’elle. Plus un mot de vrai, rien de concret de s’y retrouve jamais, ce n’est que du temps perdu d’écouter ces élucubrations. Tous les bilans des médias mainstream sont en déroutes. Or ? Le constat reste unanime : sans com’, il n’y a plus de macronisme. N’en reste que du vain blabla sans impact.

2 – Feuilles de route en complètes déroutes ?

Nous ne croyons plus rien de ce gouvernement. Pas un de ses membres qui ne traine des casseroles “ vacarmeuses ” derrière lui. Nous ne les croyons plus sur rien. Le temps des acceptations est définitivement clos !

La préoccupation du « mais sans eux qu’allons-nous devenir ? » disparait aussi. C’est qu’historiquement, désormais, leurs évictions salubres se prouvent infiniment très rationnelles ! Voyons-le sans plus retarder !

Ni-naturelle-ni-irréversible-la-fausse-globalisation-mondialisation

« Présentée comme naturelle et irréversible afin de la mettre à l’abri de la saine critique et du vrai politique, la globalisation est pourtant une entreprise délibérée qui s’inscrit dans l’illogique « utopiste et lunatique » de l’expansion du capitalisme, et qui fut rendue possible par le hard power et le soft power des États-Unis.

La « mondialisation » est généralement attribuée par les hommes politiques et les médias à deux grandes causes. Elle résulterait exclusivement d’inventions technologiques, au service du « progrès », dans les domaines du transport – le porte-conteneur créé à la fin des années 1960 – et des communications – Internet, né officiellement en 1989. »

Or le délire irresponsable c’est que les globalistes incohérents sont devenus très anti-progressistes, trop arriérés pour durer et d’Ancien régime (sans nouveau monde) afin de demeurer crédibles. Résultats ? Ils nous sabotent en grand l’économie réelle et internet. Oui sabotent les deux par trop de dénis du réel et de censures suicidaires (pour eux suicidaires les censures !).

Un exemple concernant Choose France ? « Un Territoire d’exclusion » (archi pouaaaaahh) autour de Versailles ? Versailles ainsi séquestrée par les si illégitimes milliardaires occidentaux casse stupidement la vitre de apparences ! Soit ? Nous ne sommes plus en République mais bien en Illégale Royauté non acceptable : puisque ne reposant sur rien.

L’imposture des 0,001 % est définie ! Donc finie.

»» https://www.imagiter.fr/2023/05/feuilles-de-route-en-completes-deroutes.html

Adblock test (Why?)

Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir

À propos de l'auteur Le Grand Soir

« Journal Militant d'Information Alternative » « Informer n'est pas une liberté pour la presse mais un devoir »C'est quoi, Le Grand Soir ? Bonne question. Un journal qui ne croit plus aux "médias de masse"... Un journal radicalement opposé au "Clash des civilisations", c'est certain. Anti-impérialiste, c'est sûr. Anticapitaliste, ça va de soi. Un journal qui ne court pas après l'actualité immédiate (ça fatigue de courir et pour quel résultat à la fin ?) Un journal qui croit au sens des mots "solidarité" et "internationalisme". Un journal qui accorde la priorité et le bénéfice du doute à ceux qui sont en "situation de résistance". Un journal qui se méfie du gauchisme (cet art de tirer contre son camp). Donc un journal qui se méfie des critiques faciles à distance. Un journal radical, mais pas extrémiste. Un journal qui essaie de donner à lire et à réfléchir (à vous de juger). Un journal animé par des militants qui ne se prennent pas trop au sérieux mais qui prennent leur combat très au sérieux.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You