« Je pense que la meilleure solution pour l’environnement ce serait qu’il y ait une diminution drastique du nombre d’êtres humains » : l’écologie n’est que le nom actuel du malthusianisme. Eliminer l’espèce humaine pour sauver la planète. Comme par hasard, tous les fondateurs de l’écologie sont d’anciens nazis ou assimilés.
L’écologie est au sens propre une religion de la mort. Le seul moyen d’être vraiment pur (Rein, en allemand, pour le frisson), c’est d’être mot (Gestorben, en allemand, pour le frisson). Le seul moyen de ne pas émettre de gaz carbonique et de ne pas consommer de ressources, est la mort. Un bon écologiste, est un écologiste mort, sans jeu de mot. C’est inexorable.
Je conseille à tous les opposants (quel que soit leur bord politique) de se documenter sur les doctrines malthusiennes (anciennes et modernes) dans tous leurs aspects, afin de mieux saisir le socle de la doctrine de nos zélites. Et surtout le pourquoi de ce virage doctrinal de l’expansion vers la restriction (le lien avec l’épuisement de la rente capitaliste).
Le visage contemporain en est le «capitalisme des parties prenantes» théorisé par Davos depuis 50 ans, et qui expose point-par-point leur projet. Tout est sur internet. On comprend mieux l’espèce de goût étrange, mélange de capitalisme, de socialisme et de nazisme, si propre à la doctrine contemporaine.
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