Avec l’association Le Partage, nous publions, début juin de cette année (2023), un livre intitulé Né(e)s dans la mauvaise société : notes pour une critique féministe et socialiste du phénomène trans, principalement rédigé par Audrey A. et Nicolas Casaux, avec l’aide de plusieurs camarades (Aurore Pérez et Anissia Docaigne Makhrova, entre autres).
Présentation du livre :
« Transidentité », « transgenre », « cisgenre », « xénogenre », « genre fluide », « non binaire », « identité de genre », « affirmation de genre », « transition de genre », « personnes à vulve », etc. Un nouvel ensemble d’idées concernant le sexe, le genre, la nature et la composition de l’humanité, cherche — et parvient — actuellement à s’imposer socialement. Son intronisation, avalisée et célébrée par la plupart des médias de masse, par les institutions médicales, par un certain nombre de gouvernements parmi les plus puissants du monde (États-Unis, Canada, Allemagne, Australie, etc.) et par les principales organisations supra-étatiques (Union Européenne, ONU), est présentée comme un formidable « progrès » humain.
Comme nous nous proposons de le montrer ici au travers d’une collection de notes portant sur divers aspects du phénomène trans, de ses origines historiques à ses manifestations contemporaines les plus étranges, en passant par les méthodes et les arguments qu’emploient les prosélytes de la « transidentité », la réalité est tout autre. Son expansion s’inscrit parfaitement dans les logiques marchandes et industrielles, d’où son approbation par les principales institutions du capitalisme global, et porte particulièrement préjudice aux femmes et aux enfants.
Pour le (pré)commander, c’est par ici :
Pour rappel, il y a quelques mois, nous avons publié une nouvelle traduction du livre L’Empire transsexuel de Janice Raymond, professeure émérite en études des femmes et en éthique médicale à l’Université du Massachusetts à Amherst, aux États-Unis, initialement publié en 1979 :
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