Avant le Grand Remplacement à la grandeur de la nation, le Petit Remplacement

Avant le Grand Remplacement à la grandeur de la nation, le Petit Remplacement

Le changement de peuple commence à plus petite échelle

13 signes annonciateurs à surveiller au niveau local

Avant que le Grand Remplacement à la grandeur de la nation ne soit trop avancé et ne devienne flagrant même aux yeux des aveuglés volontaires qui préfèrent détourner le regard, ce phénomène dissolvant aura débuté par le remplacement de peuple à plus petite échelle: certains quartiers se voient ciblés, puis certains villages et petites villes en région périphérique comme on l’observe déjà en France et en Belgique par exemple, puis c’est au tour de la métropole, puis de la couronne de la métropole.

Donc, avant le Grand Remplacement complété au niveau national, il y a le Petit Remplacement amorcé au niveau local.

Au Québec, Montréal et Laval sont devenues à majorité étrangères et anglophones.

Brossard est la municipalité québécoise à la plus haute proportion de gens nés ailleurs, et désormais majoritairement asiatique. La ville est tombée aux mains des étrangers, comme le Donbass en Ukraine.

Gatineau, pour sa part, semble être en train de se faire envahir par les anglos-Ontariens d’Ottawa qui l’anglicisent et se comportent comme s’ils étaient chez eux.

Les signes précurseurs du remplacement d’un peuple par des masses d’étrangers décivilisateurs s’additionnent les uns aux autres. Ça commence d’abord petit, par la bande, sans trop que ça paraisse, mais ça grossit imperceptiblement, jusqu’à devenir de l’envahissement pur et simple.

Voici plus d’une douzaine de signes annonciateurs du processus de remplacement de peuple déjà amorcé:

  1. présence grandissante de multiethniques au tempérament querelleur, à l’allure intimidante et aux mines rébarbatives, comme les récentes émeutes kurdes (qui sont des Iraniens musulmans) en plein coeur de Paris
  2. pratique accrue du communautarisme en marge de notre société
  3. langues étrangères gutturales et crachotantes qui écorchent les oreilles entendues partout dans l’espace public
  4. lorsque la démographie galopante d’origine étrangère devance celle des natifs (en France les prénoms des nouveau-nés sont en majorité arabe)
  5. volonté d’imposer des préceptes religieux caducs avec obligations et interdits qui vont directement à l’encontre de nos valeurs
  6. construction de mosquées ostentatoires et autres lieux de culte
  7. demandes incessantes d’accommodements (locaux de prière, fenêtres de gymnase givrées, horaire de natation pour séparer les femmes, heures de travail perturbées pour observer le ramadan et autres rites, etc.)
  8. accoutrement vestimentaire ethnique par refus de se conformer à nos standards occidentaux
  9. augmentation notable de la criminalité attribuable directement à une plus grande concentration d’étrangers sous-civilisés
  10. généralisation d’un sentiment d’insécurité persistant chez les natifs; avoir la nette impression de ne plus être chez soi, que l’environnement naguère familier se voit altéré pour le pire
  11. présence d’une jeunesse radicalisable et en colère, née au pays mais toujours étrangère de mentalité
  12. les remplaceurs occupent d’abord une rue, puis un quartier, puis la majorité d’un lieu donné
  13. les remplaceurs deviennent suffisamment nombreux pour faire élire des représentants de leur ethnie ou religion dans le but de défendre leurs intérêts collectifs au détriment des nôtres

C’est pour toutes ces raisons qu’il faut protéger les régions du Québec qui n’en sont pas encore atteintes de l’immigration en région, ce qui serait un terrible désastre provoquant des foyers d’éclosion du virus étranger à même de se répandre comme une traînée de poudre mortelle.

Devant cet assaut, il est facile de comprendre qu’on n’a pas intérêt à attendre que tout un pays devienne majoritairement remplacé par des étrangers dévastateurs pour agir et renverser la vapeur bouillante.

Les nombreux signes précurseurs énumérés plus haut suffisent à faire prendre conscience du grave phénomène actuellement en cours en Occident, et démontrent l’urgence de faire échec à cette fâcheuse tendance par tous les moyens mis à notre disposition pendant qu’il est encore temps.

Les immigrants qui échouent leur intégration rapide n’ont pas de place ici. Ils deviennent une menace directe à la préservation de notre précieuse identité culturelle collective qui forme notre spécificité et nous rend si remarquables et uniques au monde. Des tests d’intégration sont devenus nécessaires pour départager les bons des mauvais candidats dont il faut se débarrasser.

Des mesures énergiques gouvernementales et des pressions citoyennes doivent être entreprises pour que ceux qui autrement demeureront toujours des étrangers inintégrés prennent le chemin du retour chez eux, d’où ils n’auraient jamais dû partir.

Nous n’avons pas à nous laisser remplacer un à un sans rien dire, sans rien faire.

L’erreur fut d’en accueillir quelques-uns d’abord, puis 1 million, puis 1 million de plus ensuite, sans limite. Cette opération salutaire de retour des indésirables chez eux s’appelle remigration. En France, des partis politiques de plus en plus appuyés par la population alarmée l’entérinent et la recommandent en tant que solution nécessaire, l’incluant dans leur programme électoral.

Ici au Québec, nous avons cette possibilité plus simple d’application de faire en sorte que les indésirables défigureurs quittent pour aller s’établir ailleurs au Canada.

Il n’en tient qu’à la volonté de la majorité québécoise pour que notre province ressemble de nouveau à celle que nous avons connue jadis et à laquelle nous sommes restés si attachés, un endroit fidèle à notre image collective, à nos impressions, à nos souvenirs, un état qui ira dans le sens que nous voudrons bien lui donner, dans la continuation de ce que nous avons toujours été.

Ce Québec si magnifique et si vaste qui est le nôtre ne devrait jamais cesser de nous refléter.

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