Revue de presse de la semaine du 20 mars

Revue de presse de la semaine du 20 mars

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Voici le programme :

  • Identification numérique
  • Santé mentale des enfants : un rapport effarent
  • Changement de discours?
  • Le masque est-il efficace?
  • Le discours sur la covid longue
  • Vaccins à ARNm : socialisation des pertes, privatisation des bénéfices
  • La contamination des vaccins par l’ARNm bien plus grave qu’on ne le pensait
  • Les vaccins à ARNm sont-ils vraiment utilisés depuis 20 ans par les vétérinaires ?
  • Danger des vaccins ARNm pour les femmes enceintes
  • Infertilité due à la vaccination
  • Alberta : fin du consentement parental pour la vaccination des jeunes
  • Retour sur l’étude du Pr Denis Rancourt et de son équipe
  • De la protéine de pointe vaccinale dans le cerveau et le coeur
  • Pilotes de ligne et « vaccination »

 

 

Identification numérique

On commence par une bonne nouvelle : face aux inquiétudes du public, les Chemins de Fer Fédéraux Suisse renoncent à effectuer des relevés de clientèle par segments, selon l’âge, le sexe ou la taille dans ses mesures d’affluence. (Blick, 13 mars 2023)

Comme quoi il est possible de faire reculer les autorités. Alors que le gouvernement se félicite de la création de plus de 100 000 nouveaux dossiers à la SAAQ (Société de l’assurance automobile du Québec), et donc de l’obtention par les autorités des données biométriques de très nombreux québécois, données que lorgne déjà le ministre de la Santé, on voit qu’il est possible d’enrayer cette tendance : il suffit simplement de dire non.

 

Santé mentale des enfants : un rapport effarent

Les autorités reconnaissent aujourd’hui que les confinements étaient inefficaces et l’on sait maintenant qu’elles savaient que la COVID ne constituait pas une réelle menace, comme l’ont montré les Lockdown files par exemple. Mathieu Bock-Côté, chroniqueur au Journal de Montréal l’a aussi reconnu il y a quelques jours.

Dans le même temps, la Docteure Mélissa Généreux avait publié lors de l’hiver 2022 les résultats d’une étude portant sur 33 000 jeunes qui montrait que « 1 jeune sur 4 a voulu mourir ou se faire du mal ».

Ces résultats sont confirmés par une étude du Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA, France) qui « se fait par exemple l’écho d’une étude affirmant que «24 % des jeunes sondés déclarent avoir des pensées suicidaires au quotidien».

À cet égard, les conséquences désastreuses des confinements à répétition sont soulignées avec, par exemple, une augmentation de 299% du nombre d’admission des moins de 15 ans à l’hôpital Robert Debré pour tentative de suicide, entre juillet – août 2019 et mars – avril 2021. »

On note aussi une explosion de la consommation de psychotropes chez les jeunes. Entre 2010 et 2021, la consommation des antidépresseurs a augmenté de 179 %, quand elle a fait un bond de 148 % pour les psychostimulants, de 114 % pour les antipsychotiques et enfin de 35 % pour les hypnotiques et anxiolytiques.

Des chiffres alarmants qui peuvent s’expliquer à l’aune d’autres études ; l’une faisait récemment état de 62 % des 18-24 ans qui auraient des pensées suicidaires. Un jeune (dès l’âge de 12 ans) sur quatre se dirait malheureux

Ces gens qui ont ordonné les confinements, port du masque et autres « mesures sanitaires », qui ont sciemment voulu faire peur à la population (il faudra déterminer pourquoi), sont des psychopathes qui doivent être jugés.

Vu ce bilan désastreux (et ce n’est pas fini), on peut s’interroger quant à l’apathie de la presse subventionnée et du système judiciaire.

 

Changement de discours?

Même si on sait qu’il ne pourra qu’être extrêmement timide tant la presse subventionnée s’est commise avec son soutien inconditionnel aux mesures sanitaires (cf. point précédent), on l’attend, on le guette, ce fameux « changement de narratif ». Et cela a peut-être débuté.

Après Lauterbach, le ministre allemand de la Santé en « déséhorïsation« , après Der Spiegel, après Newsweek, The Telegraph et bien d’autres (notamment Martineau qui souhaitait bonne chance à Patrick Provost suite à sa suspension par l’Université Laval pour avoir critiqué les injections ou encore Doc Tik Tok qui annonce tirer sa révérence, au moins temporairement, ce qui n’est surement pas une coïncidence, laissant ainsi le champ libre à la « désinformation »), conscient que la vérité perce peu à peu, Mathieu Bock-Côté commence lui aussi à retourner sa veste.

Le voici qui à l’occasion des trois ans du début de la « pandémie » se lance dans un bilan de cette « étrange période ».

Il commence prudemment, en rappelant que ce fut une période où « la vie fut suspendue pour vaincre la mort, où l’individu dû couper les liens avec les siens pour assurer leur survie ». Des propos prudents pour éviter de se faire taxer de « complotiste » ou « suprémaciste » dès les premières lignes.

Mais il se déride rapidement. Petit florilège :

– « le confinement fut une mauvaise idée, un remède pire que le mal qu’il prétendait soigner. »
– « Je ne doute pas de la bonne foi de ceux qui prirent la décision du confinement » (nous nous en doutons puisqu’on sait que les autorités savaient que la COVID ne représentait pas une réelle menace, mais il ne peut pas encore le dire) « Mais cette décision n’était manifestement pas éclairée. »
– « C’était une très mauvaise idée de stigmatiser tout un pan de la population, en assimilant la moindre réserve sur la gestion de la pandémie à du ‘complotisme’. »
– « Le virus provenait peut-être, effectivement, comme le laissent croire les Américains, d’un laboratoire chinois. »
– « le vaccin, sans être inutile, cela va de soi, n’avait peut-être pas toutes les vertus qu’on lui prêtait » (il « va de soi » qu’il ne peut pas encore le critiquer frontalement…)
– « La jeunesse fut la grande sacrifiée de ces confinements à répétition imposés à tous, parce qu’on refusait de l’imposer seulement aux catégories les plus fragiles de la population »… ce que l’on n’a pas cessé de dire durant ces trois ans.
– « Ceux qu’on diabolisait n’ont pas toujours eu tort. Ou du moins, certains ont eu à l’occasion des intuitions légitimes. Le bon sens populaire ne visait pas toujours mal. » Le « bon sens populaire » était tout de même soutenu par des chercheurs de très grande renommée et de nombreuses études scientifiques.
– « La COVID, quoi qu’on en pense, a soumis nos sociétés à une forme d’expérimentation sociale inédite qui laissera des traces. »
– « La gestion de la COVID annonçait peut-être, autrement dit, le passage d’une société de libertés à une société d’autorisations. »

N’en jetez plus!

Son « bilan » est donc ahurissant. On s’attendrait à ce qu’il demande des comptes, au moins que l’on monte une commission d’enquête pour faire la lumière sur toute cette affaire, demander des éclaircissements aux élus et responsables de la Santé publique…

Mais non! Finalement, il ne critique personne, affirmant que « nos dirigeants ont assurément fait ce qu’ils ont pu. » Il ne faudrait pas se mettre à dos tout l’appareil politico-médiatique.

Sa collègue chroniqueuse au Journal de Montréal, Nathalie Elgrably, probablement la personnalité médiatique la plus critique sur le sujet, renchérit en présentant les Lockdown Files, dont nous avons abondamment parlé. Pour le plus grand déshonneur de la presse subventionnée, il s’agit à l’heure actuelle du seul article au Québec traitant de ce sujet qui fait pourtant grand bruit outre-atlantique.

On note qu’après le « bonne chance » de Martineau adressé à Patrick Provost (qu’il traitait de covidiot ou autre quelques semaines plus tôt), la chronique de Bock-Côté, c’est le 3e signe d’un changement de ton chez Quebecor.

Rien de très sérieux pour le moment puisque l’on ne demande aucune explication et encore moins de reddition de compte. Mais peut-être le début d’un changement de discours?

Il est essentiel de ne pas se satisfaire de ces douces paroles qui visent probablement à préparer le terrain pour les prochains mois, lorsqu’il ne sera plus possible de cacher l’immense mensonge à toute la population.

 

Le masque chirurgical est-il efficace?

Dans une sortie médiatique remarquée, Tom Jefferson, premier auteur de la « méta-analyse » visant à évaluer l’efficacité des mesures physiques de réduction de la propagation des virus respiratoires qui a été publiée le 30 janvier dans la Cochrane Library, a déclaré qu’il n’y a aucune preuve que le masque est efficace.

Il n’en fallait pas plus pour que se répande l’assertion que le masque ne fonctionne pas. Une chronique d’opinion publiée dans le New York Times du 21 février dernier a enfoncé le clou en affirmant, citations de Jefferson à l’appui, que l’obligation du masque n’avait rien donné et qu’il fallait en tirer des leçons.

Un mois et demi plus tard, la presse subventionnée québécoise réagit enfin… et soutient, par l’intermédiaire du Devoir (14 mars), que les masques sont bel et bien efficaces.

Principal argument : « les études de laboratoire dans lesquelles le masque est bien porté et bien ajusté ont montré son efficacité. C’est un outil qui, s’il est porté correctement, va nous protéger », explique Benoît Mâsse, professeur à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Il rajoute :  « Le masque est efficace, mais il faut se donner la peine de le porter correctement » et « il est très difficile d’avoir des certitudes, des preuves, et de conclure sur la base d’études observationnelles [comme celles revues dans la méta-analyse Cochrane] ».

À l’en croire, les masques sont donc efficaces… si bien portés. En admettant cela (on aimerait tout de même qu’il cite des études), il y a malheureusement un écart entre la théorie et la pratique, écart que le principe de réalité se charge de régler : en effet, la population porte très mal les masques ce qui annihile de fait tout espoir que les masques empêchent la transmission.

Comme le disait Arruda, l’ancien chef de la Santé publique, au début de la « pandémie », « le masque n’est pas un moyen de prévention des infections dans la communauté ». Il est même allé plus loin en « expliquant en quoi un masque non seulement est inutile, mais peut carrément nuire [car] le porteur du masque, se croyant à l’abri, se mettra les mains partout et s’infectera peut-être plus probablement que celui qui n’en porte pas. » Le même jour, Le Droit renchérissait en affirmant que messieurs Legault et Arruda avaient « clamé » que « non seulement le masque n’est pas un outil de prévention, mais il donne aux gens une fausse impression de sécurité et pourrait même contribuer à les contaminer » (c’est nous qui soulignons).

On passera sur les études qui montrent, comme il est d’ailleurs expliqué dans l’article du Devoir, que le SRAS-CoV-2 est « dans de fines gouttelettes qui demeurent en suspension dans l’air […] longtemps »… ce qui explique également que les masques sont inefficaces. Car ces fines goutelettes le sont tellement qu’elles sont plus petites que les mailles des masques. En gros, cela reviendrait à espérer qu’un filet de soccer puisse arrêter une balle de tennis…

Enfin, Le Devoir n’a rien à dire sur la toxicité des masques, qui contiennent des produits toxiques comme du titane, du graphène, des nanoparticules et toutes autres sortes de produits chimiques réjouissants.

Dire que l’on a fait porter cela deux ans à nos enfants, qui n’avaient absolument rien à craindre, est criminel.

 

La presse subventionnée continue de pousser sur la « COVID longue »

Cet article explique par exemple que la covid longue pourrait avoir des répercussions sur l’économie canadienne.

Celui-ci, de Radio-Canada, donne pour traitement possible la pilule « miracle » de Pfizer, le Paxlovid (875$), qui serait efficace à 26% (il fallait oser).

Il est à noter que la « covid longue » n’intéresse les médias que depuis 2021. Ainsi, d’après la biblio branchée Eureka qui compile tous les articles de journaux, au Québec seuls 6 articles ont traité de la covid longue en 2020… contre 341 en 2021 et 610 en 2022.

Donc soit la covid longue n’existait pas en 2020 (ou était rarissime) et elle serait apparue soudainement en 2021, soit cela n’intéressait pas la presse subventionnée, qui y a soudainement trouvé de l’intérêt à partir de 2021. Mais alors pourquoi?

On notera que l’on a commencé à injecter massivement la population à partir du début de 2021, ce qui a provoqué de nombreux effets indésirables, ce que les autorités tentent de camoufler malgré l’évidence.

Nous ne remettons absolument pas en question la covid longue. Nous savons que de nombreuses personnes en souffrent. Mais le fait est qu’il est patent que pour cacher la catastrophe des injections, les autorités, avec la complicité des médias, tentent de faire porter le chapeau des effets indésirables des injections à la covid longue, parfaite « bouc-émissaire ».

Ces deux articles en sont l’illustration. Comment expliquer que ce mal ne soit apparu qu’un an après les débuts de la « pandémie »? Étonnamment à partir du lancement de la campagne de vaccination? Les médias ne répondent évidemment pas à cette étonnante contradiction. Car en principe ce mal qui les attriste tant aurait du retenir leur attention dès le printemps ou l’été 2020.

Et ça marche puisque nous recueillons de nombreux témoignages de personnes vaccinées qui ont de graves problèmes de santé et dont les médecins leur disent qu’ils ne savent pas ce qu’ils ont, qu’ils n’ont jamais vu ca… et qui avancent pour principale hypothèse (qui devient une certitude pour de nombreuses personnes) que c’est la covid longue.

C’est du bon boulot!

Question : Quel est le statu vaccinal de ceux qui souffrent de COVID longue?

 

Vaccins à ARNm : socialisation des pertes, privatisation des bénéfices

Le gouvernement américain a investi au moins 337 millions de dollars dans des recherches essentielles qui ont abouti aux vaccins COVID-19 à ARNm au cours des 35 années qui ont précédé la pandémie de COVID-19. (Étude dans le BMJ)

Le gouvernement américain a également déboursé 31,6 milliards de dollars pendant la pandémie pour soutenir la recherche et la production de vaccins et pour acheter des vaccins pour tous les Américains et pour les dons mondiaux.

Avant la pandémie, les NIH ont investi 116 millions de dollars (35 %) dans la science fondamentale et translationnelle, tandis que la BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority) a investi 148 millions de dollars (44 %) et le DoD (Department of Defense) 72 millions de dollars (21 %) dans le développement et les essais cliniques de vaccins à ARNm.

Les auteurs estiment que le développement de ces vaccins est « un système dans lequel les risques liés à la poursuite de l’innovation ont été socialisés, tandis que la part du lion des récompenses a été privatisée au profit des actionnaires des entreprises« .

En effet, depuis leur lancement, Moderna et Pfizer ont accumulé plus de 100 milliards de dollars de recettes mondiales grâce aux ventes des vaccins COVID-19, soit plus de 20 fois le budget biennal de l’Organisation mondiale de la santé en 2020-21.

Business as usual.

US Public Investment in development of mRNA covid-19 vaccines: retrospective cohort study, The BMJ (2023). DOI: 10.1136/bmj-2022-073747

 

La contamination des vaccins par l’ARNm bien plus grave qu’on ne le pensait

Les vaccins contiendraient « jusqu’à 35 % » d’ADN qui transforme les cellules humaines en usines de protéines de pointe à long terme.

D’après la biologiste moléculaire Dr. Jessica Rose, cela signifie que chaque dose contient des trilliards (des milliers de milliards) de molécules d’ADN, soit 100 fois plus que ce que l’on pensait auparavant […], ce qui a des implications pour l’intégration dans notre génome »

En effet, « cela indique que ces molécules d’ADN (plasmides) sont susceptibles de survivre pendant de longues périodes, d’être absorbées par les cellules à l’intérieur du corps et d’inciter les cellules à produire des protéines de pointes pendant une période indéfinie ».

Bref, le corps humain risque de devenir une véritable usine à protéine de pointe… connue pour sa toxicité. Les conséquences à long terme pourraient être dramatiques.

 

Les vaccins à ARNm sont-ils vraiment utilisés depuis 20 ans par les vétérinaires ? 

Les promoteurs des vaccins à ARNm aiment à rappeler que la technique est connue depuis plus de 20 ans, si bien que ces vaccins seraient surs. Tant pis si Albert Bourla, le PDG de Pfizer, a révélé en 2021 que cela ne faisait que 2 ans que sa compagnie planchait sur la question et que cette technologie « n’avait encore délivré aucun produit jusqu’alors ».

Pour tenter de prouver que cette technologie est largement éprouvée, les pro-vaccins ont alors affirmé que les vaccins ARNm sont utilisés depuis 20 ans par les vétérinaires.

Jean-François Cliche, que nous avons passé dans le tordeur à quelques reprises, fait ici un bon travail en indiquant que cela est impossible puisque la découverte décisive qui a rendu possible l’utilisation de l’ARNm est la mise « au point des nanoparticules de lipides capable de protéger le matériel génétique et d’en faciliter l’entrée dans les cellules ». Cela a été fait en 2012. Mais comme le rappelle M. Cliche, « comme il y a toujours un délai, souvent de plusieurs années, entre une découverte en science fondamentale et son approbation par les autorités réglementaires, cela montre qu’il ne peut pas y avoir eu 20 ans d’usage des vaccins à ARNm en médecine vétérinaire. «Cela remonte à quelques années, pas plus» ».

Le dossier de l’utilisation des vaccins à ARNm depuis des décennies est définitivement clos.

 

Danger des vaccins ARNm pour les femmes enceintes

On savait déjà, dès février 2021, que les données préliminaires récoltées par Pfizer après un mois de vaccination étaient très négatives :

  • Plus de 1 200 rapports de décès supposément en lien avec la vaccination avaient été reçus
  • C’était également le cas de dizaines de milliers d’effets indésirables graves, au point ou Pfizer avait du recruter massivement pour pouvoir traiter tous ces dossiers
  • 270 femmes enceinte avaient été vaccinées. Un suivi n’a pu être effectué que sur 29 d’entre elles. Parmi celles-ci :
    • 23 ont eu un avortement spontané
    • Ce à quoi il faut ajouter 5 autres décès du bébé, pour un total de 28 bébés morts
    • Une seule grossesse est arrivée à son terme

Il y avait donc des signaux d’alarme qui auraient du amener à interdire la « vaccination », au moins aux femmes enceinte. C’est pourtant l’inverse qui a été réalisé.

Depuis, des études ont montré une hausse des morti-naissances et les médias grands public reconnaissent un « baby crash » (qu’ils n’arrivent pas à expliquer).

Aujourd’hui, un nouveau rapport alarmant du CDC montre que non-seulement les injections semblent avoir un impact sur les naissances… mais aussi sur les futures mères. Ainsi, le nombre de femmes américaines décédées pendant l’accouchement ou dans les heures suivantes a augmenté de façon spectaculaire pendant la pandémie de Covid, les femmes de couleur étant les plus touchées.

Plus de 1 200 décès maternels ont été enregistrés en 2021, cela représente une augmentation de 60% depuis 2019. Le taux de mortalité maternelle aux États-Unis, longtemps le plus élevé des tous les pays riches est maintenant à son plus haut niveau depuis 1965. (CDC, Maternal mortality rates in the United States, 2021)

Il faudra juger les responsables de ces crimes!

 

Infertilité due à la vaccination : ce qui était considéré comme une théorie du complot devient probable grâce aux « Pfizer Files »

Ces documents montrent que Pfizer était bien conscient que les nanoparticules issues de la vaccination pouvaient traverser la barrière hémato-testiculaire, s’y accumuler et nuire à la capacité de reproduction.

Les « Pfizer Files », qui donnent un aperçu des documents d’autorisation du fabricant de vaccins, montrent également que les effets sur la fertilité des hommes sur le long terme n’ont même pas été étudiés par « manque de temps ». Mais il y a des indices clairs que Pfizer était au courant des conséquences négatives possibles.

En effet, les hommes qui voulaient participer aux séries de tests de l’étude Pfizer devaient s’engager à « s’abstenir totalement d’avoir des relations sexuelles avec des femmes en âge de procréer ». Ou utiliser dans tous les cas un préservatif ou un autre « moyen de contraception hautement efficace ». Les dons de sperme leur étaient également interdits.

Si l’entreprise pharmaceutique partait du principe que le sperme ne serait pas affecté par la vaccination, pourquoi une telle prudence ?

La fertilité masculine n’a pas été spécifiquement étudiée. On y avait renoncé afin d’accélérer le développement du vaccin, comme le révèlent les « Pfizer Files ».

 

Alberta : fin du consentement parental pour la vaccination des jeunes

L’Alberta autorise dorénavant l’administration des vaccins contre la COVID-19 aux mineurs sans le consentement des parents (MakisMd.Substack.com, 13 mars 2023).

De plus, un comité canadien recommande maintenant l’euthanasie pour les mineurs sans le consentement de leurs parents.

Le Comité mixte spécial sur l’aide médicale à mourir a recommandé d’étendre l’euthanasie au Canada aux « mineurs matures », ce qui soulève des inquiétudes quant à la possibilité que des enfants soient euthanasiés sans le consentement de leurs parents (National File, 26 févr 2023).

 

Comment le Pr Denis Rancourt et son équipe ont calculé les 330 000 décès dus aux vaccins aux États-Unis et les 13 millions de décès dus aux vaccins dans le monde?

Pour le savoir, nous vous invitons à consulter leur article : Taux de létalité de la dose de vaccin COVID-19 stratifié par âge pour Israël et l’Australie. Par Denis G. Rancourt, PhD ; Marine Baudin, PhD ; Joseph Hickey, PhD ; Jérémie Mercier, PhD

Ces auteurs constatent aussi que le taux de létalité de la dose vaccinale (TLDv) augmente considérablement avec l’âge chez les adultes plus âgés, étant exponentiel avec un temps de doublement d’environ 5,2 ± 0,4 ans. En conséquence, le TLDv est d’un ordre de grandeur plus élevé dans la population la plus âgée que la valeur pour l’ensemble de la population, atteignant 0,6 % pour le groupe d’âge des 80 ans et plus en Israël et 1 % pour le groupe d’âge des 85 ans et plus en Australie, comparé à < 0,01 % pour les jeunes adultes (< 45 ans). Leurs résultats impliquent qu’il était imprudent de donner la priorité à la vaccination des personnes considérées comme ayant le plus grand besoin de protection.

 

Découverte de la protéine de pointe vaccinale dans le cerveau et le coeur d’une personne décédée

Dans une étude revue par les pairs, le Dr Michael Mörz de l’Institut de pathologie de Dresde (Allemagne) a découvert de la protéine Spike de l’ARNm de Pfizer dans le cerveau et le cœur d’un homme de 76 ans décédé.

Rapport de cas : Encéphalite nécrosante multifocale et myocardite après vaccination par l’ARNm BNT162b2 contre COVID-19

Mörz, M. A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. Vaccines 2022, 10, 1651. https://doi.org/10.3390/vaccines10101651

 

Pilotes de ligne et « vaccination »

On parle moins actuellement des pilotes vaccinés qui semblent plus à risque de décéder, le problème étant encore plus grace si cela arrive… lorsqu’ils sont aux commandes d’un avion de ligne.

La question refait cependant surface suite au décès d’un pilote chevronné de British Airways qui s’est effondré et est décédé d’une crise cardiaque peu avant de prendre les commandes d’un Airbus A321 bondé reliant Le Caire à Londres. C’est le deuxième incident de ce type au cours du mois. (MakisMd, 11 mars 2023)

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QUESTIONNER - COMPRENDRE - AGIR Collectif de soignants, médecins et citoyens réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée au Québec et ailleurs dans le monde…

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