par Panagiotis Grigoriou
Mars, dieu dévoreur. Semaine de choc en Grèce. Le reportage, même celui de la presse francophone à l’instar du Figaro rapporte ce qui peut être rapporté. Un convoi de marchandises a percuté mardi soir un train de 350 passagers. Le bilan provisoire fait état de 42 morts et de plusieurs dizaines de blessés. « Tout montre que le drame est dû, malheureusement, principalement à une tragique erreur humaine », a affirmé mercredi 1er mars le premier ministre grec Kyriákos Mitsotákis au lendemain de cet accident de train « sans précédent » en Grèce. Il a annoncé un deuil national de trois jours.
L’accident est survenu vers 23h30 mardi 28 février près de la vallée de Témpi en Thessalie, à environ 380 km d’Athènes, sur la principale voie ferroviaire, celle reliant Athènes à Thessalonique au nord, deuxième ville du pays.
« Des personnes couvertes de sang couraient partout en demandant de l’aide. Des gens jonchaient les champs après avoir été éjectés des fenêtres brisées, a-t-il ajouté. Les images des wagons calcinés dans un enchevêtrement de pièces métalliques et de fenêtres brisées étaient diffusées en direct par des médias. D’autres wagons moins endommagés étaient renversés sur le côté tandis que des secouristes utilisaient des échelles pour tenter de dégager des survivants à l’aide de deux immenses grues ».
« Dans le cadre de l’enquête immédiatement ouverte, le chef de gare de Lárissa a été arrêté à la suite de sa déposition au commissariat. Il est poursuivi pour homicide par négligence et pour avoir été à l’origine de blessures corporelles. Par ailleurs, le ministre des Transports Kostas Karamanlis a annoncé sa démission ».
Voilà pour les faits et les gestes… supposés développés. Et quand les médias du Régime en Grèce ont sitôt tenté de faire basculer l’opinion vers le pathos, tout comme vers le macabre, la pression du pays réel ainsi que de nombreux autres médias sur Internet, peu ou pas contrôlés par les pantins criminels qui gouvernent, finissent par établir parfois malgré eux, ce qui n’est guère trop difficile à avérer.
Et d’abord, ce chef de gare à Lárissa. Il a 59 ans, et sur une portion à deux voies, il a aiguillé l’Intercity qui circulait vers Thessalonique, sur la même voie empruntée par le train de marchandises lequel arrivait dans le sens inverse.
L’homme sur qui le Régime par son récit, veut faire porter l’essentiel dans la responsabilité dans « l’accident », est un ancien bagagiste, porteur de valises de la Régie du train OSE, avant son découpage en segments via la privatisation, c’est-à-dire en trois, voire quatre compagnies par le Régime sous la Troïka, entre 2011 et ensuite.
L’homme avait été maintenu au sein de la fonction publique par une suite de vacations au Ministère de la dite Éducation, puis, le réseau népotiste et à ses heures… perdues pédophile du parti du salopard déjà politique Mitsotákis, l’a fait réintégrer la gestion des gares, histoire de finir sa carrière par une meilleure retraite que prévue, après une formation bâclée de quelques mois seulement. Et le voilà chef de gare du nœud ferroviaire de Lárissa, et surtout d’un réseau où aucune signalisation automatique n’est en état de marche au-delà de six kilomètres de la capitale de la Thessalie.
Ensuite, la Grèce avait acheté il y a près de 23 ans, tout un système supposé moderne de signalisation et de gestion des trains, mais il n’a jamais réellement fonctionné. Les partis de gouvernement, ceux de la Loge et de la Xénocratie, ont saucissonné l’appel d’offres en 15 morceaux entre Athènes et Thessalonique. Les promoteurs initiés ayant versé les pots-de-vin nécessaires, ils ont rendu un résultat qui d’emblée dysfonctionnait, car les normes techniques présumées communes n’ont pas été respectées et qu’aucun contrôle, ni audit n’a invalidé leurs œuvres… criminelles.
En attendant, les rames n’ont pas été dotées de GPS, ou sinon il ne fonctionnait pas ; ainsi après le terrible choc entre les deux trains mardi soir, la société italienne gestionnaire de la partie billets et voitures de l’ancienne compagnie grecque jadis unifiée, ne savait pas durant 45 longues minutes où se trouvait son train, et les secours ont été alertés par un passager blessé… éjecté de son wagon de manière moins violente que tant d’autres.
Un autre passager, jeune et étudiant, comme l’immense majorité des passagers et de ce fait des 120 victimes environ, avait entendu le conducteur dire par liaison radio à un chef de gare lui ayant accordé le départ… « Allons-y, et au petit bonheur la malchance ».
Ce qui s’est passé à Témpi est donc « l’accident » le plus meurtrier de l’histoire des chemins de fer grecs, et l’un des plus meurtriers de toute l’histoire des chemins de fer européens depuis le début du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. Sauf que c’est l’aboutissement tragique d’un crime prémédité.
Et pour commencer, qui a-t-il vraiment décidé de n’utiliser qu’une seule voie pour la montée et la descente, alors que depuis des années une double ligne est construite pour éviter des incidents similaires ?
Qui a décidé qu’il n’était pas nécessaire d’opérer depuis une centrale de commandement électronique et numérique, qui puisse surveiller en temps réel le mouvement des trains ? Qui a décidé que toutes ces automatisations qui empêchent les imprévus et permettent l’intervention du contrôle central, pouvaient-elles tout simplement ne pas exister ?
Enfin, quel est le sens de cette « décision financière », quand d’après elle, un organisme s’occuperait de l’infrastructure du réseau ferroviaire – OSE ; et qu’un autre, du projet de transport, l’ex TRENOSE, aujourd’hui Hellenic Train ?
Ainsi l’OSE à l’ancienne resté propriété de l’État, a été condamné « à mourir de faim » et à s’effondrer, sans les investissements nécessaires ou plutôt sabotés, dans les infrastructures, dont l’entretien et l’exploitation du réseau, sans le personnel formé comme nécessaire, puisque tout cela ne contribue ni à la rentabilité, ni à la spéculation et encore moins à l’avènement de l’ultime mafiaïsation occidentale, voire mondialiste.
Ensuite, sous le gouvernement de la… gauche à la Tsípras, l’ancien TRENOSE a été vendu pour 45 millions d’euros à Ferrovie Dello Stato Italiane, le tout, en passant par le TAIPED, la Caisse commune qui brade par une sorte de vol à peine voilé, potentiellement tous les biens de l’État grec. Rappelons que le contrat de cette vente reste depuis secret, autant que celui de l’achat des pseudo-vaccins auprès de Pfizer, comme par hasard quelques années plus tard.
Ce que l’on sait, c’est que l’État grec finançait depuis, à hauteur de 50 millions par an, le fonctionnement du train, et qu’en dix ans depuis 2011, près de 15 milliards d’euros ont été dépensés, c’est-à-dire volés par la mafia locale et des partis, rien que pour moderniser la ligne ferroviaire entre Athènes et Thessalonique. Sans oublier que Ferrovie Dello Stato Italiane a acquis par le même coup, de l’immobilier appartenant à l’OSE, d’une valeur de plusieurs milliards d’euros.
Sur Internet grec de la semaine, on peut aussi lire que cette entreprise italienne… originale, fait preuve d’un bilan particulièrement mauvais dans la gestion des chemins de fer dans d’autres pays – principalement en Amérique latine – avec des conditions coloniales qui permettent une rentabilité monopolistique, au détriment de la sécurité et de la qualité du service. C’est pourquoi de nombreux pays comme la Bolivie a nationalisé les chemins de fer pour se débarrasser des opérateurs privés comme l’entreprise en question.
Et ce ne serait pas tout. « Cette entreprise particulière, laquelle était auparavant un opérateur public des chemins de fer italiens, a commencé à fonctionner sous ces fameux critères dits financiers privés, rien que pour permettre au crime organisé que de l’utiliser comme vitrine dans le blanchiment d’argent. Notamment… entre les mains de la ‘ndrangheta et de son trafic de drogues ».
Avis donc à nos amis et lecteurs, depuis l’Italie pour confirmer… ou pas. On sait déjà que l’actuel PDG de la compagnie Hellenic Train, Dario Lo Bosco, avait déjà été condamné pour corruption en Italie, ceci avant de prendre les commandes à Athènes, avec l’aimable collaboration des mafieux locaux, entre SYRIZA de Tsípras et la Nouvelle Démocratie de Mitsotákis pour ne pas les nommer.
Et au sujet du chef de gare, le vieux journaliste Spýros Hadjáras, écrit non sans raison sur son blog, que la mafia grecque, c’est-à-dire l’État et les partis politiques, a fait connaître à ses homologues Italiens, et pour cause, cet ancien éleveur, puis bagagiste, puis employé vacataire au sein de l’Éducation du Régime… promu chef de gare, pour enfin gagner 3500€ par mois et une retraite plutôt meilleure que la moyenne des éternels perdants qui n’appartiennent pas au bétail ensauvagé des partis.
Cette même compagnie, avait d’ailleurs importé en Grèce les fameuses rames ETR 470, dont celle impliquée dans l’accident de cette semaine, rames jadis circulant entre la Suisse, l’Allemagne et l’Italie mais retirées pour cause de dangerosité, les présentant aux indigènes sous l’Acropole comme étant les rames du futur.
D’autres accidents, faisant peu de morts et quelques blessés, impliquant ces trains ont été devenus plutôt fréquents depuis 2017 en Grèce, dont le déraillement d’un train similaire à Adendro, près de Thessalonique.
Et c’est à cette occasion, que certains sites sur Internet, ont eu la bonne idée de diffuser un documentaire au sujet d’un accident similaire, datant tout de même du 16 janvier 1972. Car à l’époque, il n’y avait qu’une ligne unique pour faire circuler les trains en alternance dans les deux sens et sans communication possible avec les locomotives, c’est alors manuellement et par téléphone entre les chefs de gare, que les rames se plaçaient en voie annexe pour attendre le passage des trains venant d’en face.
Sauf que décidément entre les deux gares… d’ailleurs toujours en Thessalie, Doxarás et Orphaná, les deux chefs de station n’ont pas réussi à se mettre d’accord et que le conflit a été réglé au téléphone par leur supérieur depuis Athènes. Une mauvaise synchronisation a toutefois permis aux deux trains d’emprunter de manière opposée la même rame… et lors du terrible choc il y a eu 17 morts et 38 blessés.
Pour l’histoire et pour la mémoire des victimes, notons que depuis, les trains grecs ont été équipés des liaisons radio et que le chef de gare à Orphaná avait compris in extremis ce qui allait se produire. Il a tenté à trouver un véhicule pour dépasser le train par des chemins non goudronnés, mais en vain. Un berger ayant vu les deux locomotives, avait fait des appels désespérés à destination des deux machinistes en route vers la mort… en s’agitant. Les deux malheureux l’ont salué, croyant qu’il les saluait tout simplement.
En 2023, et quand la moindre entreprise de transport sait via le GPS où se trouvent ses camions et que le Régime sous la tribu des Sodomites et autres Gomorrhéens triomphants, sait parfaitement localiser ses sujets non-vaccinés pour leur interdire par exemple l’accès aux librairies ou aux stades, voire, pour leur infliger une amende de 100€ par mois lorsqu’ils ont plus de 60 ans ; voilà que le chef de gare de Lárissa ne se serait rendu compte de rien pour corriger l’erreur, et qu’il n’y a avait pas de moyen pour joindre les deux conducteurs des rames. Et qu’enfin, durant plus de 40 minutes après la collision, la compagnie ne savait pas où pouvait se trouver… ou pas, son train.
Accessoirement, le… prédateur Ferrovie Dello Stato Italiane, autrement-dit Hellenic Train en Grèce, n’était pas en mesure de communiquer sur le nombre de passagers présents à bord de son train de la mort. Un passager sauvé, estime qu’il y aurait près de 400 personnes à bord, d’après ce qu’il a pu constater. Car entre autres « dysfonctionnements », tout le monde sait que quand les gitans et les migrants illégaux montent à bord des rames et d’ailleurs souvent ils y sont bien nombreux, les contrôleurs de la compagnie reçoivent l’ordre depuis leur hiérarchie pour ne jamais réclamer les billets à ses passagers… de grand chemin.
Et c’est ainsi que sur Internet et même déjà dans les rues d’Athènes, on peut lire et entendre plusieurs jeunes et moins jeunes, crier ce qui au sens figuré et tout de même propre… on estime alors savoir : « Mitsotákis, tu te fais baiser, t’es un criminel, un assassin ».
Ce qui fait encore écrire le journaliste Spýros Hadjáras au soir du 3 mars. « Il n’y a pas de soi-disant erreur humaine tragique à blâmer, pour les morts causés à Témpi. Les chefs de la bande criminelle de la famille Mitsotákis, sont les responsables et ceci à 100%. Eux-mêmes en 1966 ils avaient tué 224 personnes, mais vous les avez élus une nouvelle fois ».
1966, pour évoquer le naufrage d’un ferry assurant la liaison entre la Crète et le Pirée, lequel n’était guère apte à naviguer, sauf que Mitsotákis alors ministre des transports et père de l’actuel sociopathe, avait fait passer l’homologation du cercueil flottant contre toute règle. J’avais d’ailleurs consacré un article – http://www.greekcrisis.fr/2021/12/Fr0932 – sur ce naufrage… criminel en 2021.
En 2023, le chef de gare a été installé à son nouveau poste par une formation bâclée, et surtout contre le règlement qui impose comme âge limite les 42 ans. Mais… l’affaire fut légalisée. Dans la foulée, Kóstas Karamanlís dit junior, ministre des Transports, issu de l’autre famille des mafieux, agents xénocrates et traîtres en pays soumis, vient de démissionner. Il a été remplacé par , un mafieux déjà ministre, proche du clan des Mitsotákis. C’est Gerapetrítis, dont la famille par alliance est le propriétaire d’un grand groupe de BTP, ayant des contrats avec le rail.
En même temps, Doyákos, Procureur autant proche du même clan, et pour cela promu à la dite Haute Cour de Justice en Grèce, vient d’ordonner « une enquête en profondeur afin de d’établir toutes les responsabilités dans l’accident de mardi soir ». Détail… eschatologique, son fils est l’un des avocats à la fois du ministère des Transports que même… de la compagnie du train.
Donc la colère monte de nouveau à travers le pays. Il fut un temps, c’était durant les premières années sous la Troïka, quand tant de Grecs avaient ainsi exprimé de la colère que l’on dit noire, voire, réclamer vengeance… puis le flop, celui du découragement et de l’agitation… numérique. Mais qui sait…
C’est ainsi que le wagon bar, placé en tête de train disposant de nombreuses prises pour charger les smartphones et les ordinateurs fut plein d’étudiants, tout comme pratiquement l’ensemble des wagons. Étudiants lesquels étaient de retour à Thessalonique, après avoir passé le long week-end du début de carême auprès de leurs familles et proches.
C’est justement ce wagon qui fut littéralement pulvérisé, et sitôt brûlé lors du choc, la température ayant atteint les 1300°C d’après les pompiers.
Le Régime a ainsi ordonné aux journalistes ambiants sa propre série… de cause à effets. Tous ces médias ont autant focalisé leurs reportages sur la douleur des familles et sur le macabre. Histoires humaines, mortelles comme parallèles. Dont celle des deux sœurs jumelles âgées de 19 ans et de leur cousine, étudiantes à Thessalonique ayant emprunté pour la première et… dernière fois le train depuis leur Thessalie natale. Leur famille… érigera une chapelle au village, car leurs filles sont mortes pulvérisées… et sans cadavre, sans inhumation, le deuil traditionnel est encore plus difficile à supporter.
Leurs parents tiennent une taverne et un hôtel connus sous les Météores. Le hasard a fait que dans le cadre de mon autre activité greceautrement.fr liée au voyage si possible intelligent, j’avais emmené certains des participants dans cette taverne, après avoir visité les Météores.
Souvent mes participants ayant aperçu la gare en terminus à Kalambáka sous les Météores, me disaient alors que peut-être, il serait logique que de prendre le train depuis Athènes. J’expliquais qu’il n’y a quasiment plus de trains directs et que prendre le train en Grèce… n’est pas sans risque, surtout bien plus élevé qu’ailleurs. Forts de leur expérience française, belge ou suisse, ils pensaient que j’exagérais pour ne plus avoir pris le train en Grèce depuis 2012.
Et au café de ce village du Péloponnèse ce matin, Spýros, un habitant d’une bourgade proche, prétendait que le démissionnaire Karamanlís fut pourtant un bon ministre. Ma réponse, ainsi que celle des amis présents fut rapide et unanime. « Un… couillon comme les autres, un escroc, salopard propulsé par sa mafia ». Spýros n’est ainsi pas resté longtemps au café. La Grèce… c’est autant un certain train de vie, ou de mort, c’est selon, la stupidité en plus.
Pas de cadavre non plus pour la jeune actrice et soprano Elisabeth Hadjivassilíou, 26 ans. Elle est portée disparue. Elle voyageait toujours avec Nábia, sa chatte adoptée chaton et d’ailleurs aveugle. Nábia a été retrouvé morte dans son sac de transport, éjecté du wagon de la mort. La jeune femme restée à l’intérieur a visiblement connu le sort des filles des Météores. Météores, le mot signifie « entre ciel et terre » et il est… d’actualité.
Et par les temps qui courent, certains analystes estiment enfin que « l’accident » n’a pas été disons si fortuit qu’il n’y paraît.
« Chaque fois que les Bandits de la Superstructure Criminelle Internationale veulent détourner l’attention des gens de leur pillage de l’argent public, de leurs outrances et de leurs crimes, ils commettent une hécatombe aux nombreuses victimes, que seuls les autres Bandits peuvent alors reconnaître comme rituels, mais pas… le peuple ».
« Cela se produit parce que le citoyen moyen est incapable de croire qu’il est possible d’y avoir une conspiration aussi énorme, de portée mondiale, dans tous les pays entre les Loges et les para-États, en somme qu’à l’œuvre, il y a cette mafia immorale, impitoyable et satanique, dont les membres sont étroitement liés les uns aux autres ».
« Ainsi, la collision du train à Témpi, d’après le récit du gouvernement, était de la faute d’un mauvais timing, de la malchance, d’un employé irresponsable qui n’a pas bien fait son travail. Les responsabilités du leadership politique ne sont jamais mentionnées, comme si elles n’existaient pas ».
Mars attaque, en dieu dévoreur. Il attaque d’ailleurs davantage les humbles ainsi que leurs chats, que les initiés. Le Régime continue dans sa minimisation du nombre de morts, et ceci dès les premières heures de son crime.
Époque largement calcinée… à l’image de l’ultime Empire romain. Sauf sinon pour l’aspect numérique, dont les multiples traces éphémères des assassinés, n’ont pas eu décidément, la moindre utilité eschatologique.
En Occident et en 2023, il devient plus facile que de changer de sexe, plutôt que de faire changer de voie, à un train en danger. Train… de vie.
source : Greek Crisis
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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