Macron pousse Zelensky, le héros juif de BHL, à négocier

Macron, qui tente maladroitement de se faufiler entre les trois grands (USA, Russie, Chine) pour exister diplomatiquement, pousse Zelensky à négocier. Ce dernier, rasséréné par Biden, ne parle que de victoire, mais pas de victoire russe : il parle bien de victoire ukrainienne. Un effet secondaire de la coke ?

Extrait de L’Opinion du 27 février 2023

Parler de victoire ukrainienne, c’est aussi le cas de BHL, qui a posé le Russe comme ennemi des Occidentaux, des Français et surtout, pardon, « accessoirement », des juifs. Il a sorti ça le 19 février 2023 chez Haziza, le « journaliste » viré du service public audiovisuel pour agressions sexuelles répétées.

BHL  : « C’est une internationale, l’internationale des cinq, j’ai raconté ça dans un livre au titre biblique, tiré d’ailleurs de commentaires rabbiniques, L’Empire et les cinq rois, bien. Les cinq rois, qui sont les cinq que je viens de nommer, ils sont à l’offensive. Contre qui ? Contre leurs peuples, d’abord, mais contre nous ! Contre nous Occidentaux, contre nous Européens, contre nous Français et accessoirement contre nous juifs. »

Ce n’est qu’un extrait. Pour les plus courageux, l’émission complète de propagande américano-sioniste est ici :

En juillet 2022, BHL couvrait Zelensky d’éloges : il en faisait un héros juif.

Le problème de BHL, au-delà de sa dangerosité quand il colle un président français, c’est qu’il raconte n’importe quoi. Si on l’écoute, on court à la catastrophe. C’était déjà le cas pour la Libye en 2011.

Ce chef de guerre sans guerre qui veut à tout prix (mais pas le sien) entraîner la France dans une guerre fratricide contre la Russie, vient de pondre un nouveau flop, Slavia Ukraini. Un flop logique : aucun humain sensé ne peut payer pour voir la propagande inepte de ce multimillionnaire qui joue à la guerre avec la vie des autres. Asselineau se l’est payé.

Négocier, ça veut dire arrêter les frais

Notre président, malgré le harcèlement médiatique de BHL, presse Zelensky d’abandonner le massacre de sa propre population. Il a compris que le leader corrompu d’une Ukraine exsangue ne pouvait pas gagner.

Et puis, il nous coûte un pognon de dingue, le dingo de Kiev : 500 millions en hébergement et allocations pour accueillir les 100 000 Ukrainiens réfugiés en France ! Nos 300 000 SDF attendront… Selon l’agence des Nations unies pour les réfugiés, 8 millions d’Ukrainiens ont quitté leur pays depuis un an.

De leur côté, les Américains commencent eux aussi à compter leurs sous : l’Ukraine semble un puits sans fond pour ce qui concerne les aides militaires et financières… La stratégie de Poutine serait-elle gagnante ?

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation