« Changer de sexe une fois par an » : Qui se cache derrière cette nouvelle loi sur l’autodétermination ?

« Changer de sexe une fois par an » : Qui se cache derrière cette nouvelle loi sur l’autodétermination ?
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par Kla.TV

Le 30 juin, les grandes lignes de la nouvelle loi sur l’autodétermination en Allemagne ont été présentées. La nouveauté de cette loi est qu’une fois par an, toute personne âgée de plus de 14 ans peut faire modifier de manière autonome son inscription de sexe et son nom. Les expertises psychologiques et médicales ne sont plus nécessaires.

De nombreux médecins critiquent cette loi. Pourquoi n’y a-t-il pas ici, comme dans de nombreux autres domaines, de débat ouvert ? Et pourquoi l’organisation des Nations unies UN-WOMAN a-t-elle été créée en 2010 et quel est son objectif ? Vous en saurez plus dans cette émission.

La ministre fédérale de la Famille, Lisa Paus, et le ministre fédéral de la Justice, le Dr Marco Buschmann, ont présenté ensemble le 30 juin les points essentiels de la nouvelle loi sur l’autodétermination. La loi devra être adoptée avant la fin de l’année. Elle remplacera la loi sur les transsexuels de 1980.

La nouveauté de la loi est que, désormais et une fois par an, chacun pourra faire modifier de manière autonome son inscription de genre et son nom.

Les expertises psychologiques et médicales ne seront plus nécessaires. En d’autres termes, toute personne âgée de 14 ans et plus pourra à l’avenir changer de sexe et de nom sur simple demande. Les jeunes de moins de 18 ans ont certes encore besoin de l’accord de leurs parents. Mais si les parents devaient ne pas donner leur accord, le gouvernement prévoit des possibilités juridiques pour les adolescents.

Le politologue Uwe Steinhoff s’est penché en détail sur le contenu des nouveaux projets de loi. Il a constaté que les interventions chirurgicales de modification des organes génitaux sont clairement prévues et peuvent également être imposées contre la volonté des parents par le biais des tribunaux familiaux.

Citation d’un projet de loi de juin 2020 : « Si les personnes ayant l’autorité parentale devaient refuser leur consentement, c’est le juge aux affaires familiales qui donnera l’autorisation… ». En ce qui concerne le traitement hormonal, ni le consentement des parents ni celui du tribunal des affaires familiales ne sont exigés, comme l’indique expressément le projet de loi à la rubrique « Avenant 3 ».

De nombreux médecins critiquent ce projet. Ils mettent en garde contre le fait qu’à l’avenir, des milliers d’adolescents sans identité stable, mais confortés par la nouvelle carte d’identité dans leur poche, exigeront et imposeront également le changement de sexe médical. Aujourd’hui déjà, rien qu’en Allemagne, des milliers de jeunes filles explosent les listes d’attente des cliniques de genre parce qu’elles veulent changer de sexe.

Pourquoi n’y a-t-il pas, comme d’ailleurs aussi dans de nombreux autres domaines, de débat ouvert sur le sujet ?

Pourquoi ici également, les voix critiques ne sont-elles pas entendues ?

Le Dr Paul R. McHugh est médecin-chef en psychiatrie à la clinique universitaire Johns Hopkins de Baltimore considère le transsexualisme comme un trouble psychique de la perception, similaire à l’anorexie par exemple.

Il s’agit de traiter ce trouble et non de l’affirmer. La professeure de médecine américaine Lisa Littmann parle elle aussi de phénomènes de contagion sociale. Le point commun décisif, outre la contagion sociale, serait toutefois des maladies psychiques telles que les dépressions ou les troubles anxieux, qui auparavant ont été diagnostiquées chez la plupart des jeunes filles. Parmi elles, de nombreuses jeunes filles n’ont pas de lien solide avec leurs parents et ne disposent pas d’un espace familial de repli stable.

La sexologue Aglaja Stirn parle d’un véritable engouement pour la transidentité qui ne s’explique pas du point de vue médical. Renate Försterling, spécialiste berlinoise de la médecine des genres, se trouve de plus en plus souvent devant des patientes avec un désir spontanée pour se faire remarquer et qui souhaitaient des noms fantaisistes et extravagants. Elle parle d’une augmentation, au cours des dernières années, de dix à vingt fois le nombre de filles qui aimeraient changer leur corps. Des observations comparables se complètent dans l’ensemble du monde occidental.

Un rapport de la Fondation Rockefeller datant de 1984 montre par exemple que toutes ces évolutions ne sont pas fortuites, mais même voulues.

Il en ressort qu’il existe depuis des décennies des programmes visant à modifier les rôles des hommes et des femmes.

Leur objectif est de réduire la population.

En 2010, l’organisation des Nations unies UN-WOMAN a été créée à cet effet, avec pour objectif d’imposer l’égalité des sexes à l’échelle mondiale et de manière contraignante. Dans la pratique, cela s’avère toutefois être une couverture perfide pour la destruction de l’identité sexuelle naturelle. L’infertilité et l’absence d’enfants en seront les conséquences, au service de l’objectif de réduction de la population dans le monde entier.

Nos politiques, consciemment ou inconsciemment, mettent en œuvre des plans intégrant la transsexualité, que d’autres ont écrits pour eux. Ils ne servent ainsi ni les personnes concernées, ni le peuple dans son ensemble, mais un agenda mondial secret. Celui-ci doit être démasqué et son influence sur la politique et la société doit absolument être rendue transparente.

source : Kla.TV
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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