Claude Janvier et Jean-Loup Izambert : «Le Covid-19 marque le début d’une nouvelle ère»

Claude Janvier et Jean-Loup Izambert : «Le Covid-19 marque le début d’une nouvelle ère»

Journalistes d’investigation, Claude Janvier et Jean-Loup Izambert reviennent sur deux ans (et presque trois désormais) qui ont changé le monde…

Rivarol : Voici deux ans, la crise du covid-19 a provoqué un bouleversement
sans précédent à l’échelle mondiale. Pour
vous, sommes-nous entrés dans une nouvelle
époque ?

Claude Janvier  : Oui car cette crise
marque la fin à venir de l’hégémonie des
États-Unis. Leur économie est en dépôt de
bilan, devenue fictive et réfugiée, pour l’essentiel,
dans des places offshore échappant
à toute réglementation bancaire internationale.
La tête de pont du capitalisme est
affaiblie par une dette totale qui se situait
à hauteur de plus de 92 000 milliards de
dollars au mois d’août 2022 ! Chacun peut
en suivre l’évolution sur le site internet qui
lui est dédié (www.usdebtclock.org). Plus
le capital des entreprises transnationales
(ETN) se concentre, plus leurs centres de
décisions politiques et financiers accompagnent
ce mouvement. Les États libéraux
ne sont plus que les serviteurs endettés des
intérêts financiers de ces grands propriétaires
privés de l’économie et de la finance.
La question qui est posée aujourd’hui aux
cercles impérialistes des milieux politiques
de Washington est celle de leur fin de règne
sur le monde qu’ils rêvaient soumis à leur
diktat. Le problème est qu’ils ne peuvent
accepter que leur politique et leur loi soient
remises en cause et ils sont prêts à tout pour
s’accrocher à leur prétention hégémonique,
quitte à déclencher un nouveau conflit de
haute intensité. Leurs guerres sous toutes
formes possibles — culturelle, diplomatique,
économique, financière, militaire,
médiatique — contre l’Europe aux fins de
la diviser et de la séparer de son cœur, la
Fédération de Russie, pour éviter qu’elle
se retrouve en une grande puissance, le
soutien à des organisations extrémistes en
Ukraine et en Allemagne, l’accaparement
par la guerre et la subversion de richesses
des peuples comme en Irak, en Yougoslavie,
en Libye ou en Ukraine, témoignent de
leur agressivité. Celle-ci ne peut conduire
qu’à une aggravation de la situation dans
laquelle ils ont déjà plongé le monde. En
ce sens, nous sommes entrés dans une nouvelle période qui est celle de la fin du
monde unipolaire.

L’origine du virus et de sa propagation
est encore mystérieuse. Existe-t-il
des éléments nouveaux sur ce point ?

Jean-Loup Izambert  : Effectivement.
La convergence de plusieurs faits dans le temps
permet d’envisager que ce virus soit issu d’un
laboratoire, non pas chinois, mais des États-
Unis. Ce n’est pas parce que le virus SRASCoV2
a été identifié en Chine qu’il vient de
ce pays. Sans pouvoir trop développer dans le
cadre de cet entretien, plusieurs accidents ont
eu lieu dans des laboratoires de l’armée des
États-Unis qui transforment des virus en armes
biologiques offensives. Deux de ces accidents,
parmi de très nombreux autres, ont eu lieu au
mois de mai 2018 et en juin 2019 dans le centre
de recherche biologique de l’armée américaine
de Fort Detrick dans le Maryland. Au même
moment une curieuse épidémie d’infections
pulmonaires s’est déclarée. Le 11 juillet 2019,
le Département de la Santé des États-Unis indiquera
que « cette épidémie se distingue par
le fait qu’elle est survenue en juillet alors que
la plupart des épidémies de ce genre sont en
hiver, saison de la grippe.
 » Les services de
santé de Virginie signaleront entre 16 et 19 épidémies
locales de maladies respiratoires d’origine
inconnue durant l’été 2019. Le 15 juillet
suivant, les laboratoires de classe P3 et P4 de
Fort Detrick seront fermés pour plusieurs mois
alors qu’ils continuaient leurs activités depuis
l’accident du mois de mai 2018. Les causes
exactes de cette fermeture ne seront pas données
par les autorités et le Centre de contrôle et
de prévention des maladies (CDC) se contentera
d’évoquer des « raisons de sécurité nationale
 ». Pourquoi dissimuler les raisons de
la fermeture de ces laboratoires pendant plus
de huit mois s’il n’y a aucun danger pour la
population ? Au moment même de la fermeture
des laboratoires de Fort Detrick, l’épidémie
pulmonaire grave apparue à la fin du mois
de juin s’est développée rapidement. Dans un
premier temps, celle-ci sera attribuée par des
médias aux cigarettes électroniques, puis à
un de leurs composants avant que des scientifiques
montrent qu’elles ne peuvent en être la
cause. Le Département de la Santé du Comté
de Fairfax indiquera le 19 juillet que « les tests
supplémentaires en laboratoire du CDC n’ont
pas permis d’identifier une cause spécifique
de l’augmentation des maladies respiratoires.
Les résultats des tests ont montré que plusieurs
bactéries qui sont connues pour coloniser le
nez et la gorge ne peuvent pas être la cause de
l’infection.
 » Cette nouvelle maladie présente
des symptômes cliniques identiques à ceux
du SRAS-Cov-2. Puis, au mois de septembre
2019, la grippe saisonnière commencera plus
tôt que les autres années aux États-Unis. Selon
le CDC, entre 2,6 et 3,7 millions de cas
de grippe seront recensés entre le 1er octobre
et le 7 décembre 2019, ce qui ne s’est jamais
produit. Pour la même période de deux mois
entre 23 et 41 000 hospitalisations et 1300 à
3300 décès supposés liés à la grippe sont enregistrés.

Et qu’apprend-on trois mois plus tard,
en mars 2020, lors d’une audition du directeur
du CDC et de responsables d’organismes de
la Santé par une commission de la Chambre
des représentants du Congrès ? Qu’en réalité
des personnes auront être déclarées décédées
de la grippe en 2019 alors qu’elles l’ont été en
réalité du SRAS-CoV-2 ! Voilà qui pose question
 : depuis quand et pour quelles raisons les
morts sont-ils enterrés avec de faux diagnostics
et sur consigne de qui ? Depuis l’accident des
laboratoires de Fort Detrick et leur fermeture
ou depuis le début de l’épidémie de grippe
saisonnière qui se mêle avec la précédente
mystérieuse épidémie d’infections pulmonaires
dont les symptômes sont identiques à
ceux du covid-19 ? Sûrement encore une coïncidence
mais cela veut dire dans tous les cas
qu’au mois de septembre 2019 le virus SRASCoV-
2 était actif aux États-Unis alors qu’il
restait inconnu partout ailleurs dans le monde.
Avant les Jeux militaires mondiaux de Wuhan,
en République populaire de Chine, qui se sont
déroulés du 18 au 27 octobre 2019, aucun citoyen
chinois n’était infecté par la maladie du
SRAS-CoV-2. Dès lors, comment ne pas s’interroger
sur le fait de savoir si des éléments
de la délégation états-unienne participant aux
Jeux militaires mondiaux à Wuhan en octobre
2019 n’ont pas été les porteurs — involontaires
ou non pour certains d’entre eux —, du
SRAS-CoV-2 ? Plusieurs sportifs, états-uniens
mais également d’autres nationalités dont des
Français, seront malades et présenteront les
symptômes de la maladie covid-19. Par ailleurs,
plusieurs chercheurs dont des scientifiques
du CNRS ont montré pourquoi ce virus
était issu d’un laboratoire. Si certains membres
de l’équipe états-unienne des 7e Jeux militaires
mondiaux ont été infectés par le virus aux
États-Unis, il est parfaitement envisageable
que, compte tenu de la période d’incubation
en début d’épidémie, leurs symptômes soient
survenus lors des jeux sportifs en Chine. Ceux-ci
ont parfaitement pu à ce stade, tout particulièrement
s’ils étaient porteurs d’une souche
virulente et contagieuse, contaminer des milliers
de résidents dans différents lieux à forte
concentration de population. Ces sportifs ont
notamment visité le marché de gros de fruits
de mer de la ville. Cela expliquerait également
l’impossibilité de localiser le « patient zéro »
qui n’a jamais été découvert pour la simple
raison qu’il y en aurait eu plusieurs
bien avant aux États-Unis lors de
cette « mystérieuse épidémie » survenue
pour la première fois en plein
mois de juillet 2019…

Janvier  : Pour préciser il faut savoir
qu’en science virale, la logique de
base établie veut que le lieu géographique
présentant la plus grande
diversité de souches virales soit la
source d’origine d’un nouveau variant
car une souche ne peut émerger
de rien. Or, seuls les États-Unis
possèdent les cinq souches connues
de coronavirus. Par ailleurs, des dirigeants
de Washington ont déjà utilisé
à plusieurs reprises des virus contre
des populations. Non seulement ils
ont utilisé massivement des armes
chimiques contre le Viêt Nam mais ils
ont fait tester des virus transformés
en armes biologiques dans le métro
de New York en juin 1966. De plus,
ils n’ont pas hésité à utiliser plusieurs
virus contre Cuba tantôt pour détruire
des cultures, tantôt pour saboter des
filières d’élevage ou provoquer des
épidémies. L’hypothèse d’une attaque
contre la Chine doit donc être
envisagée très sérieusement à un moment
où les dirigeants états-uniens
attaquent la Fédération de Russie et
la République populaire de Chine
d’autant que la ville de Wuhan est
l’un des centres chinois de la production
et de la recherche informatique
dont les entreprises et instituts sont l’objet d’attaques
répétées de services états-uniens qui essaient
d’en piller les travaux scientifiques.

Comment expliquez-vous l’apparente
panique des gouvernements qui entraîne les
premières mesures de confinement en Occident
(en particulier en France) ? C’est un
enseignement sur la capacité de réaction des
démocraties face à une menace pour vous ?

Janvier  : De quelle démocratie parle-t-on ? Il
n’existe quasiment plus de démocraties en
Occident. En France, l’État de droit est devenu
une sorte de monarchie avec ses phénomènes
de cour et ses recours au « fait du
prince », preuve en est que depuis la fondation
de la Ve République jusqu’à ce jour aucun
gouvernement n’a eu autant recours à l’article
49-3 qui permet l’adoption d’une loi sans
vote des parlementaires. Par ailleurs, les pouvoirs
exécutif, législatif et judiciaire censés
être indépendants ne le sont plus du tout depuis
quelques décennies. Et comment parler
de démocratie alors qu’entre 2017 et le début
de l’année 2022, sur les 4 417 votes qui ont eu
lieu en séance publique à l’Assemblée nationale,
seuls 18 % des 577 députés en moyenne
y ont participé et que nombre d’entre eux
sont injoignables dans leurs circonscriptions !
Quant aux médias, censés arbitrer, canaliser et
tempérer ces trois pouvoirs, la plupart d’entre
eux sont la propriété des grands propriétaires
de l’économie et de la finance et ils ont basculé
dans un fondu inconsistant des corps
d’État. L’apparente panique, début 2020, des
gouvernements en Occident et de la planète
entière — à quelques exceptions près —, face
au SRAS-CoV-2 est la résultante de trois facteurs
principaux : la confiscation du pouvoir
politique par une nomenklatura apatride qui
n’a d’autre objectif que la protection des privilèges
de la grande finance, la perte de souveraineté
de la France et sa soumission aux
Grandes orientations des politiques économiques,
les Gopés, de l’Union européenne, la
corruption au sein de l’Organisation mondiale
de la santé (OMS) et de divers centres de pouvoir
occidentaux. Il est nécessaire de comprendre
que dès que l’OMS s’exprime, la plupart
des gouvernements obéissent. D’une part,
parce que les gouvernements s’en remettent à
des « spécialistes » et d’autre part, parce que
l’OMS est sous influence des laboratoires
pharmaceutiques et des monopoles financiers
planétaires, tels que BlackRock, Vanguard et
State Street. Ces derniers dictent et imposent
mondialement leurs volontés et leurs stratégies
au travers de multiples influences qui
touchent les populations dans leur vie quotidienne.
Nous traitons de cette question dans
notre nouvel ouvrage qui paraîtra au premier
trimestre 2023 chez IS Édition sous le titre de
L’abandon français. Dans une France sous
influence permanente des grandes puissances
économiques et financières états-uniennes, il
faut du temps pour que les énergies mobilisatrices puissent se manifester, s’organiser et
engager l’action.

Izambert  : Pour ce qui est de la capacité de réaction
de notre société, un seul exemple est
révélateur de la situation
 : n’est-il pas
honteux de voir que
des fonctionnaires —
infirmières, médecins,
sapeurs-pompiers,
gendarmes,
militaires — qui
consacrent leur vie
à sauver celle des
autres puissent être
renvoyés du jour
au lendemain de leur
travail car ils refusent
de se faire injecter des
produits expérimentaux
dangereux sans
que des actions à la
mesure de l’outrage
se développent ? À
l’Assemblée nationale
les députés communistes
ont déposé une
proposition de loi le
25 juillet dernier demandant
l’abrogation
des dispositions de la
loi n° 20211040 du 5
août 2021 relatives à
l’obligation vaccinale et la réintégration immédiate
des agents du service public suspendus en
conservant l’état d’avancement qui était le leur
au moment de leur suspension. Qui en parle et
qui la soutient ? N’est-ce pas là l’occasion que
des députés de différents partis qui partagent le
bon sens de cette proposition unissent leur voix
pour la faire aboutir ?

Quel est le véritable bilan au niveau de
la mortalité du covid-19 en France ?

Janvier  : Les chiffres annoncés par la plupart des
autorités officielles sont entièrement faux. Selon
les statistiques officielles transmises par les
États, de 2020 à octobre 2022, 6,59 millions de
personnes seraient décédées du covid-19 dans le
monde pour 635 millions de cas déclarés avec
12,9 milliards de doses de vaccins injectées
dans une population d’environ 8 milliards d’habitants.
Mais il y a une différence entre décéder
« du » covid-19 ou « avec ». En effet, en 2 ans et 10
mois d’épidémie, 6,59 millions d’individus très
âgés et souvent déjà malades ont été déclarés décédés
« du » covid-19. Or, les données publiées
par les États montrent toutes que 88 % des décès
déclarés « du » covid-19 auraient pu être attribués
à une comorbidité et 12 % au seul covid-19. La
plupart des personnes qui avaient une comorbidité
ne seraient pas décédées si elles n’avaient
eu que le covid-19. Cela veut dire qu’en 2 ans
et 10 mois 1 million de décès environ peuvent
être attribués de manière presque certaine au
covid-19. Nous sommes bien loin des chiffres
annoncés par des dirigeants français, Premiers
ministres et ministres de la Santé, et les médias.
En France, Santé publique France rapporte dans
son rapport du 1er avril 2021, page 43, tableau
10, que le nombre de décès imputés au covid-
19 seul, sans comorbidités, s’élevait, entre
le 1er mars 2020 et le 29 mars 2021 à 14 471 personnes.
Très, très loin des plus de 100 000 décès
annoncés par certains médias subventionnés par
l’Élysée et Matignon ! Nous rendons compte
également d’une autre étude, très peu médiatisée
et publiée en octobre 2021 par l’Agence
technique de l’information sur l’hospitalisation
(Atih). Celle-ci précise qu’« au cours de l’année
2020, 218 000 patients ont été hospitalisés
pour prise en charge
du covid-19. Les patients
COVID représentent
2 % de l’ensemble
des patients
hospitalisés au cours
de l’année 2020,
tous champs hospitaliers
confondus. En
moyenne, ces patients
COVID ont été hospitalisés
sur une durée
de 18,2 journées
au cours de l’année
2020.
 » Ce constat est
également celui que
font des organismes
de la santé publique
d’autres pays. En
Italie, par exemple,
le 4 novembre 2021
l’Institut supérieur de
la santé italien (ISS)
a revu drastiquement
à la baisse le nombre
de morts covid-19 recensés
depuis février
2020. Les médias
italiens à l’époque
annonçaient 130 468 décès alors que l’ISS chiffrait
3 783 décès imputés au covid seul ! Idem en
Grande-Bretagne où, le 26 janvier 2022, coup
de théâtre « so British ». Le dirigeant politique
et analyste Nigel Farrage a annoncé que la mortalité
covid-19 en Grande-Bretagne sur 24 mois
est à peine de 17 300 décès sans comorbidités.
Bien, bien loin des 153 000 décès annoncés par
certains médias anglais. Il y a donc une similitude
avec notre voisin outre-Manche et la botte
italienne. Après un rapide calcul, il est évident
qu’à peine 12 % des chiffres des décès imputés
au covid-19 seul sont corrects. À la lumière des
révélations de Santé publique France, de l’ISS
Italien et de Nigel Farrage, appliquons 12 % à
ce chiffre. Le résultat est incontestable : 678 962
décès réels au niveau mondial imputés au seul
covid-19 depuis le début de cette « épidémie »
planétaire. À titre de comparaison, la grippe saisonnière
affecte, chaque année, 3 à 5 millions
de personnes dans le monde et l’OMS estime
qu’une moyenne d’environ 500 000 personnes
en décèdent chaque année, dont entre 9 à 15 000
en France selon les années. D’ailleurs, selon
cette « vénérable » institution, le covid-19 ne serait
pas plus dangereux que la grippe. Ce constat
est fait par de nombreux scientifiques, des organisations
comme le Groupe d’Expertise et d’Information
sur la Grippe (GEIG) qui étudient depuis
des années l’évolution de ces virus. En bref,
le covid-19, c’est un peu comme la grippe !…

Izambert  : Ces chiffres ne sont d’ailleurs pas sans
poser de questions. Tout ce cirque planétaire
pour ça ? Pourquoi avoir paralysé une planète
entière ? Pourquoi avoir fait tant d’efforts pour
fragiliser des secteurs entiers de l’économie
mondiale et française ? Pourquoi avoir mis dans
la difficulté, la détresse et le chagrin des millions
de Français ? Et surtout, une question
essentielle qui ne manquera pas d’être posée :
pourquoi la direction de l’OMS, les dirigeants
de l’Union européenne — et particulièrement
les français — et du Conseil de l’ordre des
médecins ont-ils entravé la diffusion massive
du traitement Ivermectine ? Il a été prouvé par
près d’une centaine d’études menées par plus
de mille chercheurs à travers le monde que ce
traitement était efficace et sûr pour soigner du
covid-19. De plus, une quarantaine d’États qui
ont employé l’Ivermectine en ont fait la démonstration
ainsi que je le rapporte dans mon
enquête publiée sous le titre Le scandale Ivermectine
(IS Edition) [1] ! On ne nous fera pas
croire que les dirigeants de l’Union européenne,
dont les français, ignoraient ces données. Mais
vous connaissez la différence entre une bande
d’énarques au pouvoir et un train qui déraille : le
train, lui, s’arrête.

L’impact social et psychologique
semble au final plus important et négatif que
la mortalité liée au covid. Comment les Français
ont-ils été touchés dans leur mental selon
vous ?

Janvier  : Vous avez entièrement raison. Le drame
est profond car les Français commencent seulement
à s’apercevoir qu’ils ont été trompés,
et continuent de l’être, par les dirigeants d’institutions
dans lesquelles ils avaient placé leur
confiance : l’OMS, l’Union européenne, les dirigeants
qu’ils ont élus, des administrations dont
celle du ministère de la Santé, des organisations
professionnelles et même des professionnels de
la santé. Deux ans après le début de l’épidémie,
il y a encore des pharmaciens qui pratiquent le
test RT-PCR qui ne peut pas dire si vous êtes
infecté ou pas et contagieux ou pas et des médecins
qui conseillent à des patients de se faire
vacciner sans les alerter sur les dangers qu’ils
courent ! Les institutions censées protéger les
citoyens ont déserté leur mission et se sont révélées
soumises au lobby très puissant de l’industrie
pharmaceutique et à leurs représentants
au sein du pouvoir politique. Jamais la collusion
entre des sociétés transnationales privées et des
dirigeants politiques n’a été aussi flagrante, exception
faite de la Seconde Guerre mondiale.
Les médias occidentaux, et tout particulièrement
français, ont joué un rôle détestable dans
cette affaire.

Alors que des succès étaient obtenus par plusieurs
pays avec le médicament Ivermectine et
que le rôle des journalistes est aussi de montrer
les avancées de la science, les médias subventionnés
ont observé le silence sur ce traitement
qui aurait permis de sauver des dizaines de milliers
de vies. La censure a été totale sans parler de
la désinformation. Ainsi, par exemple, l’AFP a
été jusqu’à diffuser à plusieurs reprises, en 2021
et encore en 2022, de fausses informations sur le
traitement Ivermectine. Celles-ci seront reprises
ensuite par leurs médias abonnés puisque cela
vient de l’AFP, source on ne peut plus officielle
et proche du pouvoir qui permet à l’agence de
presse de boucler son budget en lui offrant une
dotation annuelle de près de 140 millions. Ainsi
que nous le rappelons dans Covid-19 — Le bilan
en 40 questions
, selon le rapport annuel 2020 du
Reuters Institute Digital News qui analyse les
relations des populations avec leurs différents
medias, sur 40 pays, la France se classe à la…
39e place : « La confiance dans l’information en
France est parmi les plus faibles (23 %) en Europe

 », soit le plus bas niveau de confiance des
pays occidentaux. Nous répondons de manière
détaillée à cette question de la désinformation
en passant en revue, par les interventions de
scientifiques, de chercheurs de divers instituts,
de journalistes d’investigation, d’avocats, les
fausses informations massivement diffusées.

Izambert  : Au fil de nos deux ans d’enquête, nous
avons vu évoluer les comportements des gens
et leur manière de penser. À la suite du premier
livre de notre trilogie, Le virus et le président
publié par IS Edition, de nombreux lecteurs,
dirigeants d’associations, médecins nous ont
contactés. En allant à la rencontre des gens dans
différentes régions, nous avons constaté entre
2020 et la fin 2021 un changement de mentalité
face à cette crise sanitaire qui est surtout celle de
la politique de santé publique du président, de
ses gouvernements et de l’Union européenne :
réduire les dépenses de santé publique au nom
de la « libéralisation des entreprises » et au détriment
de la santé des Français.

Les gens ont commencé à se poser des questions
sur la réalité des informations diffusées par
les dirigeants et les médias. Puis ils se sont interrogés
sur le fait de savoir comment se défendre
face aux mesures gouvernementales qu’ils jugeaient
exagérées et/ou sans fondement. Il y a
encore beaucoup de chemin à faire pour faire
bouger les choses d’autant que de nombreuses
personnes qui sont conscientes d’avoir été trompées,
par exemple sur la réelle efficacité et la sûreté
des « vaccins » à ARNmessager, ne veulent
pas le reconnaître et vivent dans le déni. Quant
à l’Ivermectine qui permet de sauver des vies, la
plupart n’ont pas connaissance de son existence
et de son efficacité !

Existe-t-il des chiffres sur les effets négatifs
des vaccins ? Pensez-vous que cela est
une bombe à retardement pour le système ?

Janvier  : Nous rapportons dans Covid-19 — Le
bilan en 40 questions
différentes études menées
par des chercheurs, scientifiques et analystes de
plusieurs pays, dont ceux publiés en France par
l’Agence nationale de sécurité des médicaments
(ANSM). Les vaccins à ARNm sont responsables
en France de 2600 effets secondaires par
semaine dont plus d’un quart sont graves depuis
le début de la campagne d’injection. Du jamais
vu dans l’histoire de la vaccination ! Pourtant,
depuis le début de l’année 2020, aucun membre
des gouvernements successifs et aucun haut
fonctionnaire n’a dénoncé le caractère dangereux
de ces produits. Aucun n’a proposé de
stopper leur injection et exigé des explications
de l’OMS et des dirigeants de la Commission
européenne sur la mise à l’écart de l’Ivermectine
ou du vaccin russe Sputnik V qui est un
vaccin classique efficace approuvé par 71 pays.
En novembre 2022, les directions départementales
de la Sécurité sociale continuent d’appeler
les assurés à se faire injecter ces produits sans
même les alerter sur les dangers et effets secondaires
qui peuvent en résulter, tout particulièrement
pour les personnes retraitées et âgées et en
leur dissimulant qu’il existe un traitement contre
cette maladie qui peut également être efficace
en prophylaxie. Or, au mois de mars 2021, le
ministre de la Santé Olivier Véran avait lui-même
alerté, dans un mémoire déposé devant
le Conseil d’État, sur le fait que les personnes
vaccinées étaient « les plus exposées aux formes
graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale
du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de
la virulence d’un variant
 ». De plus, ces 2600
effets secondaires ne représentent, comme l’expliquent
des chercheurs dans notre enquête, que
de 1 à 5 % du nombre réel ! Nous invitons à
ce sujet les lecteurs à voir le film Effets secondaires
 : la face cachée des vaccins
réalisé par
notre ami Raphaël Berland avec son équipe.

Izambert  : C’est extrêmement grave, car ce qui
se passe en France, se passe au niveau international.
Le docteur Nicole Delépine dont nous
rapportons des extraits de ses travaux dans notre
enquête, constatait au mois de septembre 2021
que « depuis décembre 2020, donc essentiellement
en 2021, alors que 3,3 milliards de doses
avaient été administrées à 2 milliards de personnes
pour toutes les tranches d’âges pour
lesquelles les “vaccins” anti-covid ont été autorisés
 : le nombre d’effets indésirables déclarés
en lien avec les vaccins anti-Covid a déjà largement
dépassé, en quelques mois, le total des
effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.
 »
Le Vaccine Adverse Event Reporting System —
VAERS — (www.openvaers.com) qui est un
système national d’alerte précoce permettant
de détecter d’éventuels problèmes de sécurité
dans les vaccins homologués aux États-Unis,
indiquait au 4 novembre dernier 1,458 million
d’effets secondaires depuis le début de la campagne
d’injection dont 182 907 hospitalisations
et 31 961 décès. Les chiffres publiés par VAERS
étant gênants, à la demande des régulateurs européens,
le CDC et la Food and Drug Administration
— FDA — chargée de la commercialisation
des médicaments aux États-Unis, ont
supprimé certains champs de données afin de
réduire le nombre de rapports collectés sur les
effets secondaires en supprimant ceux issus de
l’Union européenne et du Royaume-Uni ! C’est
donc bien une bombe à retardement car les politiciens
et des hauts fonctionnaires peuvent
dissimuler la vérité pendant un certain temps,
tant sur le danger de ces vaccins, les effets secondaires
ou le médicament Ivermectine mais
celle-ci finit toujours par remonter à la surface.
Pour la France, elle met en cause le président de
la République, ses Premiers ministres, ministres
et hauts fonctionnaires du ministère de la Santé
publique ou d’organismes proches de la présidence
et du gouvernement et des dirigeants du
Conseil de l’Ordre des médecins.

L’obligation de vaccination et le passe
sanitaire nous ont montré un État capable
d’être ultra-sécuritaire. De même, l’intervention
des GAFA pour renforcer la vigilance
sur le Net envers les thèses alternatives
renforce l’impression d’un basculement vers
une société du contrôle social. Ce glissement
vers une « démocratie de la surveillance »
est-il pour vous irrémédiable et va-t-il se renforcer
 ?

Janvier  : Les mesures liberticides décidées, votées
ou non, entre l’été 2021 et la fin de l’année
2022 dont nous faisons le bilan dans un chapitre
de notre prochain ouvrage L’abandon français
marque un renforcement du caractère autoritaire
du régime. Celles-ci ont été prises, bien souvent
par des minorités de députés ou en recourant à
l’article 49-3. D’autres sont en préparation et
le pouvoir ne peut persévérer dans sa tentation
totalitaire que par l’absence d’opposition résolue
au Parlement comme dans la rue. Toutefois,
même si les médias n’en rendent pas compte à
leur juste importance, des luttes se développent
dans tous les secteurs de la société et les propositions
de lois transpartisanes, communes à
plusieurs partis, peuvent laisser espérer bloquer
le gouvernement dans ses attaques contre les libertés
et faire avancer le débat dans la société
sur les questions essentielles.

Izambert  : Il n’y a rien d’irrémédiable et tout dépend
en dernier recours de la mobilisation populaire
pour placer chaque parlementaire devant
ses responsabilités. Sans doute faut-il plus de
monde et de délégations dans les permanences
des députés ? Par ailleurs, si vous lisez les programmes
politiques de plusieurs partis, celui des
communistes du Pôle de Renaissance Communiste
en France, des Patriotes, de l’Union populaire
républicaine, de Debout la France, vous
constaterez qu’ils ont en commun des propositions
similaires pour sortir le pays de la crise et
de la guerre, c’est-à-dire de l’Union européenne
et de l’OTAN. Pour le moment chacun appelle
à l’union du peuple de France dans sa chapelle
sans que les dirigeants de ces partis arrivent à
se parler pour envisager une plate-forme commune
de propositions et d’actions. Le drame ne
serait-il pas assez profond ?

À l’échelle mondiale et nationale, qui
sont les gagnants de cette crise au final ?

Janvier  : Incontestablement, du moins pour le
moment, l’oligarchie mondiale financière apatride.
Au-delà de quelques familles connues —
Rothschild, Rockefeller, Warburg — pour leur
fortune, il est nécessaire de souligner que, depuis
les années 2000, celle-ci a pris l’aspect de
groupes financiers transnationaux tentaculaires
dirigés au sommet par la City de Londres et
Wall Street. Ceux-ci possédant des actions
dans presque toutes les sociétés transnationales
(ETN) qui leur permettent un enrichissement
maximum immédiat. Leurs dirigeants ultra-friqués
tels que Bill Gates, George Soros, les GAFAM
— Google, Apple, Facebook, Amazon
et Microsoft — et bien d’autres pratiquent la
culture du secret, le noyautage des institutions,
le captage des négociations par des hauts fonctionnaires
non élus à leur service, l’opposition à
toute tentative de gestion démocratique de l’économie.
Ils constituent la première puissance collective
mondiale, loin devant les gouvernements
dont beaucoup, comme en France, leur sont inféodés.
Vanguard, BlackRock, State Street sont
les nouveaux empires financiers tentaculaires.
Time Warner, Comcats, Disney, News Corp
appartiennent aux deux premiers, contrôlant
ainsi plus de 90 % des médias états-uniens. À
eux trois, ils détiennent des participations dans
1 600 entreprises états-uniennes avec des revenus
combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards
de dollars. Bagatelle ! Les actions des plus
grandes entreprises du monde sont détenues par
ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires
interactifs. Ils ont tous bien profité de la
crise sanitaire au point qu’un rapport de Bloomberg
indique que ces Vanguard et BlackRock
auront ensemble, en 2028, des investissements
d’un montant de 20 000 milliards de dollars.
BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma.
En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient
les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline,
avec respectivement 7 % et 3,5 %
des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée,
Vanguard étant le premier investisseur et
BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.
Un exemple intéressant : Merckgroup. Voici
le slogan publicitaire figurant sur leur page :
« C’est une équipe vibrante de spécialistes dans
les domaines de la santé, des Sciences de la vie
et des Matériaux de haute performance. Chez
Merck, nous partageons le même amour de la
science et la même passion pour la technologie.

 » Dieu, que c’est beau ! Sauf que le premier
actionnaire de Merck est The Vanguard Group,
Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts
dans des grandes sociétés comme Michelin,
Amazon, American Express, Pernod-Ricard,
Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical
ou encore Foxconn, liste non exhaustive.
Les grandes sociétés françaises du CAC-40 sont
aussi gangrenées. Blackrock Inc., est n°1 mondial
de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de
dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant
devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards
de dollars d’actifs sous gestion au début
de 2020. Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait
penser qu’un gouvernement mondial serait
une bonne solution, car il éviterait les querelles
et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous
les citoyens de cette planète bénéficieraient de
la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques
 ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs
âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf
altruistes. La meilleure preuve en est qu’avec
autant d’argent empilé dans des actions, des
comptes bancaires offshore numérotés et des
stock-options, la misère, la faim, l’illettrisme et
la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète
et sont même en augmentation.

Izambert  : Effectivement, comme le souligne
Claude, la situation se détériore rapidement dans
de nombreux domaines. Un exemple : l’édition
2022 du rapport de l’ONU sur « L’état de la sécurité
alimentaire et de la nutrition dans le monde »
rapporte que « 828 millions de personnes souffraient
de la faim en 2021 — soit 46 millions de
plus qu’un an auparavant et 150 millions de
plus qu’en 2019.
 » Quelle campagne de presse
dans les médias occidentaux sur les quelque
2,3 milliards de personnes — 29,3 % de la population
mondiale quand même ! — qui sont
en situation d’insécurité alimentaire modérée
ou grave et sur les raisons de cette situation ?
L’appauvrissement du plus grand nombre est
le pendant de leur enrichissement, un enrichissement
qui se fait par l’accaparement violent
des richesses des peuples. Cela va-t-il durer ?
Rien n’est moins sûr et ils commencent
à avoir de gros problèmes. D’une part
leur recherche du profit maximum immédiat
les contraint à recourir au secret,
notamment par l’utilisation des places
financières offshore qui protègent leur
système. Ils pillent les États en détournant
une partie des bénéfices de sociétés
vers ces places financières, en pratiquant
une fraude fiscale très élaborée dont
seuls les initiés peuvent connaître les
mécanismes mais aussi par l’évitement
fiscal. Il s’ensuit que les États dont ils se
servent pour accaparer des entreprises,
des richesses du sous-sol, agro-alimentaires,
archéologiques ou autres, sont de
plus en plus pauvres et endettés. Leur
tête de pont, les États-Unis, sont endettés
début novembre 2022 à hauteur de
93 100 milliards de dollars. Ce qui veut
dire qu’ils ne peuvent plus rembourser
leur dette et que le seul moyen de l’effacer
réside dans le déclenchement d’un
nouveau conflit majeur. Dans le même
temps, la Fédération de Russie dédollarise
son économie et de grands pays
comme la République populaire de
Chine, l’Inde et d’autres comme la Turquie
font de même. Selon une étude de
l’École de Guerre Économique de Paris
de 2021, si 90 % des transactions mondiales
l’étaient en dollars en 2015, elles
ne l’étaient plus qu’à hauteur de 51 % en 2019,
puis à 46 % début 2020. En 2021, un rapport du
Fonds Monétaire International (FMI), indique
que la part du dollar américain dans les réserves
des banques centrales a chuté de 70 % à 59 %.
C’est son plus bas niveau depuis 25 ans, au profit
d’autres devises telles que l’euro mais surtout
du rouble, le renminbi (yuan) et l’or. C’est l’une
des principales raisons de la guerre ouverte
contre la Fédération de Russie par Ukraine interposée.

À l’heure actuelle, le Covid est rangé
dans les placards. Un retour d’un variant est-il
possible pour vous ? De nouveaux scénarios
sont-ils au contraire déjà en préparation
pour faire peur aux populations ?

Janvier  : Cette crise sanitaire gouvernementale
est bien loin d’être terminée. En effet, si elle est
achevée au plan médical, elle s’est installée dans
le paysage et les pouvoirs politiques de l’Union
européenne et de Paris continuent insidieusement
à conditionner les esprits. Doublée d’une
crise énergétique factice fabriquée de toutes
pièces avec l’appui d’écolos-allégés à courte
vue, d’une menace de récession et de pénurie, la
majorité de la population semble être anesthésiée,
voire atomisée. Les employés des pharmacies,
les infirmières des laboratoires d’analyses,
des médecins, le personnel hospitalier, certaines
caissières de supermarchés, et certains ostéopathes
vous reçoivent toujours masqués. Cela
est la résultante de la peur entretenue dans la population
par le pouvoir et les médias généralistes
d’information politique et générale d’influence
qu’il subventionne. Le message envoyé est :
« attention, le virus circule toujours ». Ajoutez à
cela les informations mensongères toujours diffusées
dans les grandes chaînes de TV à propos
des « vaccins », doublées de la menace constante
d’apparition de nouveaux variants annoncés à
grand renfort d’articles sur Internet et vous obtenez
une population de plus en plus docile et
servile, prête à se faire injecter sans broncher
une dose tous les ans.

Izambert  : Je dois dire qu’en cinquante années
de journalisme, même lors des guerres contre
l’Irak, la Yougoslavie ou la Libye, je n’ai jamais
vu une telle campagne de désinformation et de
diffusion de fausses nouvelles. Notre enquête,
Covid-19 — Le bilan en 40 questions dérange
car nous donnons la parole à des scientifiques,
des chercheurs, des médecins, des analystes, des
journalistes de différents pays mais aussi à des
avocats et à des associations pour répondre aux
questions principales que se posent les gens. Il
apparaît alors clairement, chapitre par chapitre,
que le pouvoir politique a menti sur de nombreuses
questions, que les médias ont relayé
massivement ces fausses informations et surtout
qu’il en résulte un drame humain et économique
pour la société. C’est aussi la raison pour laquelle
nous allons continuer à dénoncer ce pouvoir
du mensonge et de la liquidation nationale
dans nos prochains ouvrages.

Entretien réalisé par Monika BERCHVOK.

Retrouvez Claude Janvier en conférence le 21 janvier près de Rouen :


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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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