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par Valentin Vasilescu
Les actions des HIMARS et des obusiers M777 ont jusqu’à présent été couronnées de succès car dès que l’artillerie russe tirait sur les positions ukrainiennes, les radars de contre-batterie occidentaux envoyaient automatiquement les coordonnées des pièces d’artillerie russes aux obusiers M777 ou MLRS de type HIMARS. Et ils les ont frappés avec une précision extrême. Les radars de contre-batterie détectent la trajectoire du projectile ennemi et calculent d’où il a été tiré. La plupart des radars de ce type détectent la position des obusiers jusqu’à 25 km de distance, avec une erreur circulaire de 0,35%.
Dans un article précédent, nous avons montré que le général Sergueï Sourovikine a créé une liste de priorités pour les objectifs ukrainiens ciblés. Il est conscient du danger de l’artillerie occidentale. Sa liste de priorités comprend une chasse intensive aux pièces d’artillerie envoyées par l’OTAN au cours des deux dernières semaines.
L’armée ukrainienne utilise plusieurs types de radars de contre-batterie : AN/TPQ-48, AN/TPQ-36, ARTHUR d’origine occidentale et aussi NVK Iskra 1L220UK Zoopark-3, produit en Ukraine. Ils font partie de l’équipement de la 15e brigade de reconnaissance d’artillerie de l’armée ukrainienne. Parmi ceux-ci, le radar allemand Cobra est le plus puissant, car il est capable de détecter le site de lancement de 40 pièces d’artillerie en 2 minutes, jusqu’à une distance de 40 km. Le prix d’un système Cobra est de 50 millions d’euros, les radars de contre-batterie sont donc chers et leur nombre est limité. Il est donc impossible de remplacer ceux qui ont été détruits par l’armée russe.
L’armée russe a détruit plus de 3000 pièces d’artillerie et mortiers ukrainiens depuis le début de l’opération spéciale. L’Ukraine a reçu en retour plus de 500 obusiers et mortiers lourds de gros calibre, ainsi que plus de 100 lanceurs MLRS qui compensent avec précision l’absence de pièces d’artillerie détruites.
Outre la chasse aux pièces d’artillerie produites par l’OTAN, l’armée russe est arrivée à la conclusion qu’en l’absence de radars de contre-batterie, la précision et l’efficacité automatique de l’artillerie ukrainienne sont fortement réduites. L’utilisation des radars de contre-batterie présente plusieurs inconvénients, que l’armée russe a entrepris d’exploiter au maximum. Il s’agit de l’émission d’ondes électromagnétiques qui permet de les localiser et leur positionnement à proximité de la ligne de front ce qui les rend plus faciles à atteindre. En conséquence, le 30 décembre, l’armée russe a détruit 6-7 radars de contre-batterie ukrainiens, et le 1er janvier, 2 autres. Plus tôt en novembre, 8 radars de contre-batterie ukrainiens avaient été démantelés.
traduction Avic – Réseau International
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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